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Présentation de la commune de Sainte-Radegonde
France > Nouvelle-Aquitaine > Vienne > Sainte-Radegonde
L'église et le presbytère vus depuis l'est.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Localisation de la commune sur la carte dite de Cassini (1765-67).
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Gallica.Bnf
Le bourg de Sainte-Radegonde sur la feuille B1 du cadastre de 1833.
Rezé Charles, Archives Départementales de la Vienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Archives départementales de la Vienne
L'ancien étang du Gâtineau sur le cadastre de 1832.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Archives départementales de la Vienne
Carte des structures antiques ou supposées antiques connues.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Carte du relief et des altitudes de la commune.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Carte de l'occupation des sols (d'après CORINE Land Cover 2018).
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue partielle du bourg, sur une carte postale du début du 20e siècle (avant 1924).
Rezé Charles, Caillaud G.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Collection particulière
Les enfants de l'école sur une carte postale ancienne (années 1900 ?).
Rezé Charles, Lambert (photographe), Garnier (éditeur)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Collection particulière
Le presbytère, l'église et le mur du cimetière sur une carte postale ancienne (années 1920 ou 1930 ?).
Rezé Charles, Combier Imprimerie Mâcon (CIM )
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Collection particulière
Vue aérienne du bourg.
Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) 4 Vents - Photographie aérienne
Vue aérienne du bourg.
Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) 4 Vents - Photographie aérienne
Entrée sud du bourg et rue Principale.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Entrée de chemin située dans le bourg face au 7, rue Principale.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'école de la rue Principale (aujourd'hui maisons), en service de 1958 à 2011.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Salle communale construite au milieu des années 1970.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le centre du bourg vu depuis l'angle sud-ouest du cimetière.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La monument aux morts érigé vers 1924.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'église Sainte-Radegonde et l'entrée du cimetière.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Puits public situé au nord de l'église.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le presbytère vu depuis le chemin conduisant de l'église au château de la Salle.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La mairie et les maisons bordant la rive sud de la route d'Archigny.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Les maisons bordant la rive sud de la route d'Archigny.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Église, presbytère et maisons bordant la route d'Archigny.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue depuis le nord-ouest des locaux d'Acime Technology et de la salle des fêtes.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue depuis le nord-ouest de la salle des fêtes.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La Commanderie vue depuis le nord-est.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Entrée ouest de l'écart de la Touche.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'entrée sud de l'écart de la Boutallerie.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Ruisseau vu depuis le chemin menant de l'église au château de la Salle.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue aérienne de l'écart de Monteil.
Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) 4 Vents - Photographie aérienne
L'écart du Gâtineau vue depuis la route de Chauvigny à La Puye (D2).
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue vers le nord-est de la vallée de l'Espinasse, depuis les abords de la Touche.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vallée de l'Espinasse et écart de la Touche vus depuis les Philippières.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Paysage (vue vers le nord depuis l'allée menant de la D2e à la ferme de la Saunerie).
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le ruisseau de Monteil depuis l'entrée de l'écart du même nom.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le Bois de la Motte et les Philippières vues depuis le chemin de la Croix Blanche.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
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Titre : Présentation de la commune de Sainte-Radegonde
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Localisation : Vienne , Sainte-Radegonde
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Type de dossier : Dossier d'aire d'étude
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Date d'enquête : 2024
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Auteur du dossier : Rezé Charles
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Historique
Le territoire de Sainte-Radegonde a conservé quelques traces d’occupation attribuables à la période gallo-romaine, mais il faut attendre le 14e siècle pour que soient clairement mentionnés l’église et le village de Sainte-Radegonde-en-Gâtine. Ce dernier tire son nom de la forêt de Gâtine (de « Gastine », signifiant autrefois terre inculte), en bordure de laquelle il se trouvait. Ce massif forestier aujourd’hui disparu se situait sur les actuelles communes de Saint-Pierre-de-Maillé, La Bussière et La Puye.
Durant l’Ancien Régime, la paroisse relève de la baronnie de Chauvigny et de l'archiprêtré de Mortemer. L’église et le prebytère constituent comme partout ailleurs le siège de la paroisse et revêtent un rôle spirituel, social et administratif essentiel. La Commanderie et le Charrault de la Lande constituent également un lieu de pouvoir et d’activité important. La Commanderie est le centre d’une seigneurie dépendant de la commanderie hospitalière de Roche-Villedieu, et son domaine comprend plusieurs fermes des alentours. Une fête s’y tient le jour de la Saint-Jean-Baptiste, un champs contigu accueille des foires et des messes sont régulièrement célébrées dans la chapelle, qui sert probablement de lieu de culte aux habitants du secteur. La Commanderie sera affermée durant plusieurs décennies aux propriétaires occupants du Charrault, à l’époque où ceux-ci sont également sieurs de la Salle (fief tout proche du bourg mais situé sur la commune limitrophe d’Archigny).
Le bourg, qui en 1832 n’est occupé que par l’église, le cimetière, le presbytère et une ferme, compte 5 maisons pour 21 habitants en 1846. Le renouveau symbolique qu’a constitué le rétablissement de la paroisse en 1839 (qui avait été supprimée à la Révolution puis regroupée en 1801 avec celle de La Puye) a probablement contribué à son développement. Il reste cependant moins peuplé que les hameaux de Monteil, la Boutallerie ou le Gâtineau, où sont recensés cette année-là respectivement 49, 43 et 38 habitants. Le "village" de La Lande, formé par la Commanderie, le Charrault et les fermes les plus proches en compte quant à lui 47.
L’habitat traditionnel de la commune a été en grande partie créé, remanié ou reconstruit totalement entre le début du 19e et le milieu du 20e siècle. Il conserve peu de traces évidentes des périodes précédentes, et le bâti postérieur à la seconde guerre mondiale est relativement peu important.
À l’exception de l’église et du presbytère, les équipements et les monuments qui structurent aujourd’hui le bourg datent du 20e siècle. Le monument aux morts est érigé autour de 1924, la mairie est installée en 1950 dans une maison construite en 1909 et l’école, ouverte dans les années 1860, est transférée en 1958 dans un édifice neuf (qui ferme ses portes en 2011). Les salles communales et les locaux industriels d’ACIME Technology ont quant à eux été construits entre la fin des années 1970 et le début des années 1990.
Description
La commune de Sainte-Radegonde est située sur le seuil du Poitou, au cœur de la région des brandes, à 25 km au nord-est de Poitiers, dans une zone de plateaux calcaires et marneux légèrement vallonnée. Son altitude varie de 100 à 140 mètres du nord au sud, et c’est sur ses marges ouest, nord et nord-est que le relief est le plus accentué, là où se trouvent trois vallées accueillant de petits cours d’eau intermittents. Ces derniers font partie du bassin versant de l’Ozon, qui rejoint la Vienne à Châtellerault.
Les sols plutôt hydromorphes (bornais et terres fortes) sont réputés pauvres et difficiles à travailler mais sont cependant majoritairement occupés par des terres agricoles (environ 90% du territoire). Plutôt tournées vers l'élevage jusqu'aux années 1980, celles-ci sont aujourd'hui essentiellement consacrées aux céréales et à la polyculture. Les champs et les prés concernés sont parfois assez vastes, notamment au centre et au sud où le relief est le moins marqué, et le paysage est alors assez ouvert.
Ailleurs, les alignements d'arbres et haies bocagères peuvent rester significatifs, notamment au nord-est. Environ 10 % du territoire sont boisés. Il s’agit de bois fermés composés de chênes et de mélanges de feuillus (bois de la vallée de l’Espinasse et bois de Courtepré essentiellement) et d’alignements essentiellement constitués de chênes.
L’habitat se compose en majorité d’anciennes fermes. La population (178 habitants en 2021 pour 13,2 km2) est répartie entre le bourg, quatre hameaux principaux (Monteil, la Boutallerie, le Gâtineau, la Touche) et douze écarts d’importance variable. Les actifs travaillent aujourd'hui en majorité dans le secteur de l’industrie.
Informations complémentaires
| Type de dossier |
Dossier d'aire d'étude, communal |
|---|---|
| Référence du dossier |
IA86014364 |
| Dossier réalisé par |
Rezé Charles
Chargé d'inventaire du patrimoine au sein de la Direction de la Coordination Culture - Patrimoine de Grand Poitiers, entré en fonction le 1er juillet 2019. |
| Cadre d'étude |
|
| Date d'enquête |
2024 |
| Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine |
| Citer ce contenu |
Présentation de la commune de Sainte-Radegonde, Dossier réalisé par Rezé Charles, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/78875cc8-8fc0-4824-9917-1eac7f6f8dc3 |
| Titre courant |
Présentation de la commune de Sainte-Radegonde |
|---|
Documents d'archives
AD86. C 833/1. Administrations provinciales. Élection de Poitiers. Paroisse de Sainte-Radegonde-en-Gâtine. Rôles des tailles. 1766.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : C 833/1
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. C 833/1. Administrations provinciales. Élection de Poitiers. Paroisse de Sainte-Radegonde-en-Gâtine. Rôles des tailles. 1766.
AD86. 2 C 3172/1. Table de successions Paroisses de Pleumartin, Crémille, Cenon, La Puye, La Chapelle-Roux, Sainte-Ragedonde, Leigné-les-Bois 1787-an VIII.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 2 C 3172/1
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 2 C 3172/1. Table de successions Paroisses de Pleumartin, Crémille, Cenon, La Puye, La Chapelle-Roux, Sainte-Ragedonde, Leigné-les-Bois 1787-an VIII.
AD86 3 H 1/937. Baux à rente, etc. 1445-1784
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 3 H 1/937
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 3 H 1/937. Baux à rente, etc. 1445-1784
Archives départementales de la Vienne. 1 J 117. Notes diverses sur Chauvigny en général (délimitation des paroisses, etc.) par l'abbé Chambert et autres. 1505-1920.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 1 J 117. Notes diverses sur Chauvigny en général (délimitation des paroisses, etc.) par l'abbé Chambert et autres. 1505-1920.
AD86. 8 M 3/313/1 à 20. Recensement de population de la Vienne : listes nominatives. Sainte-Radégonde.
Mention : Années 1836 à 1962
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 8 M 3/313/1 à 20
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 8 M 3/313/1 à 20. Recensement de population de la Vienne : listes nominatives. Sainte-Radégonde.
AD86. 4 P 3148. Sainte-Radegonde. Cadastre Tableau indicatif des propriétaires, des propriétés foncières et de leur contenance : sections A-D.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 4 P 3148
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. Répertoire méthodique du fonds du cadastre de la Vienne. Documentation cadastrale. Sainte-Radegonde. Cadastre napoléonien. Matrices. Cadastre Tableau indicatif des propriétaires, des propriétés foncières et de leur contenance : sections A-D.
AD86. 4 P 3149. Sainte-Radegonde. Augmentations et diminutions (1839-1866).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 4 P 3149
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. Répertoire méthodique du fonds du cadastre de la Vienne. Documentation cadastrale. Sainte-Radegonde. Cadastre napoléonien. Matrices. Matrice des propriétés bâties et non bâties. Matrice des propriétés bâties. Table alphabétique des propriétaires. Augmentations et diminutions (1839-1866).
AD86. 4 P 3150. Sainte-Radegonde. Augmentations et diminutions (1867-1914).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 4 P 3150
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. Archives départementales de la Vienne. Répertoire méthodique du fonds du cadastre de la Vienne. Documentation cadastrale. Sainte-Radegonde. Cadastre napoléonien. Matrice cadastrale. Augmentations et diminutions (1867-1914).
AD86. 4 P 3151. Sainte-Radegonde. Augmentations et diminutions (1883-1891).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 4 P 3151
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. Répertoire méthodique du fonds du cadastre de la Vienne. Documentation cadastrale. Sainte-Radegonde. Cadastre napoléonien. Matrices. Matrice des propriétés bâties et non bâties. Matrice des propriétés bâties. Table alphabétique des propriétaires. Augmentations et diminutions (1883-1891).
Archives départementales de la Vienne. 4P 5243 à 4P 5247. Cadastre de Sainte-Radégonde-en-Gastine, 1832-33. Hervet, géomètre de 1ère classe, Loriot et Férandou géomètres secondaires.
Contributions : Hervet , Loriot , Ferandou P.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 4P 5243 à 4P 5247. Cadastre de Sainte-Radégonde-en-Gastine, 1832-33. Hervet, géomètre de 1ère classe, Loriot et Férandou géomètres secondaires.
AD86. 2 O 245/5. Administration et comptabilité communales dans la Vienne. La Puye. Biens communaux bâtis. Autres immeubles. 1818-1938.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 2 O 245/5
ISBD/Commentaire :
AD 86. 2 O 245/5. Administration et comptabilité communales dans la Vienne. La Puye. Biens communaux bâtis. Autres immeubles. 1818-1938.
AD86. 2 O 292/3. Administration et comptabilité communales dans la Vienne. Sainte-Radégonde. Administration générale ; biens communaux bâtis. - 1818-1938.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 2 O 292/3
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 2 O 292/3. Administration et comptabilité communales dans la Vienne. Sainte-Radégonde. Administration générale ; biens communaux bâtis. - 1818-1938.
Fiches classées par commune des immeubles vendus comme bien nationaux. Communes de Polignyà Saint-Secondin.
Mention : Sainte-Radegonde-en-Gâtine
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 1 Q 1275
ISBD/Commentaire :
Fiches classées par commune des immeubles vendus comme bien nationaux. Communes de Poligny à Saint-Secondin.
AD86. 601 w 794. Sainte-Radégonde. Administration générale ; travaux publics ; biens communaux non bâtis ; biens communaux bâtis. - 1940-1963.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 601 W 794
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 601 w 794. Sainte-Radégonde. Administration générale ; travaux publics ; biens communaux non bâtis ; biens communaux bâtis. - 1940-1963.
Monuments aux morts de l'arrondissement de Montmorillon. [Saint-Germain, Angles-sur-l'Anglin, Lathus, Jouhet, Saulgé, Pindray, La Bussière, Montmorillon, Saint-Rémy-en-Montmorillon, Saint-Savin, Nalliers, Gouex, Persac]
Mention : Sainte-Radegonde
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 9 T 92
ISBD/Commentaire :
Monuments aux morts de l'arrondissement de Montmorillon. [Saint-Germain, Angles-sur-l'Anglin, Lathus, Jouhet, Saulgé, Pindray, La Bussière, Montmorillon, Saint-Rémy-en-Montmorillon, Saint-Savin, Nalliers, Gouex, Persac]
Archives historiques du diocèse de Poitiers. Q 1 Chauvigny 5.2
Mention : Sainte-Radégonde-en-Gâtine
Lieu de conservation : Archives diocésaines de la Vienne, Poitiers
Côte : Q 1 Chauvigny 5.2
ISBD/Commentaire :
Archives historiques du diocèse de Poitiers. Q 1 Chauvigny 5.2
Documents figurés
Carte d'État-Major, feuille de Poitiers N-E, 1842.
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
Carte d'État-Major, feuille de Poitiers N-E, 1842. IGN - Remonter le Temps. [en ligne]. [27.11.2020]. Accès internet : <URL : https://remonterletemps.ign.fr/telecharger/?lon=0.863563&lat=46.518886&z=12.1&layer=ETATMAJOR&pointer=true
Carte d'État-Major, feuille de Châtellerault S-E (1842).
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
Carte d'État-Major, feuille de Châtellerault S-E (1842). [en ligne] [06.11.2023]. Accès internet : <URL : https://remonterletemps.ign.fr/telecharger/?lon=0.856292&lat=46.693457&z=12&layer=ETATMAJOR&pointer=true
Carte générale de la France. [Poitiers]. N°67. Établie sous la direction de César-François Cassini de Thury.
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
Carte générale de la France. 067, [Poitiers]. N°67. Flle 92/ gravé par Chalmandrier ; [établie sous la direction de César-François Cassini de Thury], 1765-67. BNF - Gallica [en ligne]. [04.11.2020]. Accès internet : <URL : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095214p
Carte économique du département de la Vienne [...]1905.
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
Carte économique du département de la Vienne / dressée par les soins de la commission d'enquête de la Société "La Loire navigable" sous les auspices de la Chambre de commerce de Poitiers et de la Vienne ; M. Louis Laffitte, commissaire enquêteur. L. Sigas, Nantes, Chauvet et Cie, Paris, 1905. [en ligne]1886 "Collections patrimoniales numérisées de Bordeaux Montaigne" [30.06.2023]. Accès internet : <URL : https://1886.u-bordeaux-montaigne.fr/s/1886/item/245858#?c=&m=&s=&cv=&xywh=-1500%2C306%2C5787%2C4299
HONDIUS, Jodocus. Poictou. Pictaviensis comitatus. Amsterdam, 1618.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : CA 10 Magasin 2
ISBD/Commentaire :
HONDIUS, Jodocus. Poictou. Pictaviensis comitatus. Amsterdam, 1618. [en ligne]. [26.05.2025]. Accès internet : <URL : https://www.mediatheques-grandpoitiers.fr/search.aspx?SC=DEFAULT2&QUERY=hondius&QUERY_LABEL=#/Detail/(query:(Id:'0_OFFSET_0',Index:1,NBResults:9,PageRange:3,SearchQuery:(FacetFilter:%7B%7D,ForceSearch:!f,InitialSearch:!f,Page:0,PageRange:3,QueryGuid:'2d110189-41cd-4b6f-b4e6-262d0196aada',QueryString:hondius,ResultSize:10,ScenarioCode:DEFAULT2,ScenarioDisplayMode:display-standard,SearchGridFieldsShownOnResultsDTO:!((Id:740,Label:Nouveaut%C3%A9),(Id:741,Label:'En%20ligne')),SearchLabel:'',SearchTerms:hondius,SiteCodeRestriction:BMVR,SortField:!n,SortOrder:0,TemplateParams:(Scenario:'',Scope:Default,Size:!n,Source:'',Support:'',UseCompact:!f),UseSpellChecking:!n)))
PICQUET, Charles. Département de la Vienne décrété le 3 février 1790 par l'Assemblée Nationale.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 1 Fi 16
ISBD/Commentaire :
PICQUET, Charles. Département de la Vienne décrété le 3 février 1790 par l'Assemblée Nationale. [en ligne] [11.06.2025] Accès internet : https://archives-deux-sevres-vienne.fr/ark:/28387/vta00a0579fc52d8fd6/dao/0/1?id=https%3A%2F%2Farchives-deux-sevres-vienne.fr%2Fark%3A%2F28387%2Fvta00a0579fc52d8fd6%2Fcanvas%2F0%2F1&vx=2995.18&vy=-3701.06&vr=0&vz=1.19261
ROGIER, Pierre. Poictou. Paris, 1579.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : CA 1 Magasin 2
ISBD/Commentaire :
ROGIER, Pierre. Poictou. Pictonum vicinarumque regionum fidiss[ima] descriptio / Auctore Nobili Dno Petro Rogiero Pictone, Regi Mis Galliae confiliario, etc. Ioan Le Clerc execudit, Paris, 1579. [en ligne]. [26.05.2025]. Accès internet : <URL : https://www.mediatheques-grandpoitiers.fr/search.aspx?SC=DEFAULT2&QUERY=hondius&QUERY_LABEL=#/Detail/(query:(Id:'0_OFFSET_0',Index:1,NBResults:7,PageRange:3,SearchQuery:(CloudTerms:!(),FacetFilter:%7B%7D,ForceSearch:!t,InitialSearch:!f,Page:0,PageRange:3,QueryGuid:'3c87b4b4-7a03-44aa-b94a-1c2d01a28664',QueryString:'pierre%20rogier',ResultSize:10,ScenarioCode:DEFAULT2,ScenarioDisplayMode:display-standard,SearchGridFieldsShownOnResultsDTO:!((Id:740,Label:Nouveaut%C3%A9),(Id:741,Label:'En%20ligne')),SearchLabel:'',SearchTerms:'pierre%20rogier',SiteCodeRestriction:BMVR,SortField:!n,SortOrder:0,TemplateParams:(Scenario:'',Scope:Default,Size:!n,Source:'',Support:'',UseCompact:!f),UseSpellChecking:!n)))
Périodiques
Almanach administratif du département de la Vienne. Edité par J. Ressayre. Poitiers - 1877.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : Magasin -2 M 78/f
ISBD/Commentaire :
Almanach administratif du département de la Vienne. Edité par J. Ressayre. Poitiers - 1877.
Almanach du département de la Vienne. Édité par Catineau. Poitiers, 1796 -1797 (an V).
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : M 78/s Magasin 2
ISBD/Commentaire :
Almanach du département de la Vienne. Édité par Catineau. Poitiers, 1796 -1797 (an V).
Almanach des foires et marchés du département de la Vienne. Édité par Catineau. Poitiers, 1806.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : Magasin -2 M 78/r
ISBD/Commentaire :
Almanach des foires et marchés du département de la Vienne. Édité par Catineau. Poitiers, 1806.
Almanach des postes du département de la Vienne. Edité par Oberthur. Rennes - 1860 -1867 (lacune : 1863).
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : Magasin -2 M 78/h
ISBD/Commentaire :
Almanach des postes du département de la Vienne. Edité par Oberthur. Rennes - 1860 -1867 (lacune : 1863).
Almanach de la Vienne. Dépierris, Poitiers - 1840 -1844
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : Magasin -2 M 78/n
ISBD/Commentaire :
Almanach de la Vienne. Dépierris, Poitiers - 1840 -1844
Almanach - annuaire du département de la Vienne par d'Argoly romain et poitevin, grand astrologue [...). Édité par Amassard, Faulcon, Barbier, Oudin, 1660-1939.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : M 63 Magasin 2
ISBD/Commentaire :
Almanach - annuaire du département de la Vienne par d'Argoly romain et poitevin, grand astrologue [...). Édité par Amassard, Faulcon, Barbier, Oudin, 1660-1939.
BARBIER, Christian. Un inédit de saint André-Hubert Fournet à propos de Sainte-Radegonde-en-Gâtine. Le Pays Chauvinois, n°25, 1987.
Mention : p. 403-405
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
BARBIER, Christian. Un inédit de saint André-Hubert Fournet à propos de Sainte-Radegonde-en-Gâtine. Le Pays Chauvinois, n°25, 1987. [en ligne]. [08.10.2024]. Accès internet : <URL : https://www.chauvigny-patrimoine.fr/Editions/pdf/Bulletin_S.R.A.C._25.pdf
JOLLET, André. Évolution du paysage rural du département de la Vienne, de 1830 à nos jours. Norois, n°11, Juillet-septembre 1956. p. 305-316.
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
JOLLET, André. Évolution du paysage rural du département de la Vienne, de 1830 à nos jours. Norois, n°11, Juillet-septembre 1956. p. 305-316. [en ligne] [02.02.2023]. Accès internet : <URL : https://www.persee.fr/doc/noroi_0029-182x_1956_num_11_1_1139
MOULINIER-BROGI, Laurence. Un témoin supplémentaire du rayonnement de sainte Radegonde au Moyen Âge ? La Vita domnae Juttae (XIIe siècle)
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
MOULINIER-BROGI, Laurence. Un témoin supplémentaire du rayonnement de sainte Radegonde au Moyen Âge ? La Vita domnae Juttae (XIIe siècle). [en ligne]. Bulletins de la Société des Antiquaires de l'Ouest et des musées de Poitiers, 5e série, tome XV, 3e et 4e trimestres de 2001. p. 181-197. [13.06.2025]. Accès internet : <URL : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t5345956q/f1.item
SAILHAN, Pierre. "Préinventaire de la commune de de Sainte-Radégonde", Le Pays chauvinois (SRAC), n°10, 1971.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : M 137 Magasin 2
ISBD/Commentaire :
SAILHAN, Pierre. "Préinventaire de la commune de de Sainte-Radégonde", Le Pays chauvinois (SRAC), n°10, 1971.
Bibliographie
CHAMPAGNE, Alain. L'artisanat rural en Haut-Poitou : milieu XIVe-fin XVIe. Presses universitaires de Rennes, 2007, 243 p.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : CP 4970 - 944.02 CHA POI
ISBD/Commentaire :
CHAMPAGNE, Alain. L'artisanat rural en Haut-Poitou : milieu XIVe-fin XVIe. Presses universitaires de Rennes, 2007, 243 p.
Creuzé-Latouche. Description topographique du district de Chatelleraud, département de la Vienne, 1790.
Mention : p. 7
Lieu de conservation : Archives nationales, Paris
ISBD/Commentaire :
Creuzé-Latouche. Description topographique du district de Chatelleraud, département de la Vienne, 1790.
DEODATA. La Puye, son prieuré de Fontevristes, son couvent de Filles de la Croix. Poitiers : Société française d'imprimerie et de librairie, 1919, 421 p.
Mention : p. 281, 282
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : BP 803 MAgasin-2
ISBD/Commentaire :
DEODATA. La Puye, son prieuré de Fontevristes, son couvent de Filles de la Croix. Poitiers : Société française d'imprimerie et de librairie, 1919, 421 p.
DEVÈZE, Michel. Les forêts royales du Poitou au XVIIIe siècle.
Lieu de conservation : Internet
ISBD/Commentaire :
DEVÈZE, Michel. Les forêts royales du Poitou au XVIIIe siècle. Dans Actes du 87e Congrès national des sociétés savantes, Poitiers, 1962. Section d'histoire moderne et contemporaine. Paris : Imprimerie Nationale, 1963, p. 543-556.
DOUSSET, Patricia. Origine des propriétés Le Charrault de la Lande, La Commanderie de la Lande, L'Espinasse de la Lande, La Basse Lande, Le Puy de la Lande.
Lieu de conservation : Collection particulière
Côte : no coté
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DOUSSET, Patricia. Origine des propriétés Le Charrault de la Lande, La Commanderie de la Lande, L'Espinasse de la Lande, La Basse Lande, Le Puy de la Lande. Ouvrage réalisé et reprographié par l'autrice, 2021.
Longuemar, Alphonse Le Touzé de. Études géologiques et agronomiques sur le département de la Vienne, deuxième partie, Poitiers, 1872.
Mention : p. 284-285
ISBD/Commentaire :
Longuemar, Alphonse Le Touzé de. Études géologiques et agronomiques sur le département de la Vienne, deuxième partie, Poitiers, 1872.
Mineau R., Racinoux L., La Vienne légendaire et mythologique, Poitiers, librairie ancienne Brissaud, 1995.
ISBD/Commentaire :
Mineau R., Racinoux L., La Vienne légendaire et mythologique, Poitiers, librairie ancienne Brissaud, 1995.
PAIN, Armelle, FORESTIER, Carine (coord.). Le patrimoine des communes de la Vienne. Paris: Flohic, 2002, 2 vol., 1135 p.
Mention : p. 159
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : 709.446 3 PAT POI
ISBD/Commentaire :
PAIN, Armelle, FORESTIER, Carine (coord.). Le patrimoine des communes de la Vienne. Paris : Flohic, 2002, 2 vol., 1135 p.
PROVOST, Michel. Carte archéologique de la Gaule. La Vienne. 86/1 et 86/2. Académie des Inscriptions et Belles-Lettres diffusion Maison des Sciences de l'Homme. Paris, 2021, 2 vol., 927 p.
Mention : 86/1, p. 83, 91 et 112. 86/2, p. 730 et 731
Lieu de conservation : Centre de documentation de la direction Culture-Patrimoine de Grand Poitiers
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
PROVOST, Michel. Carte archéologique de la Gaule. La Vienne. 86/1 et 86/2. Académie des Inscriptions et Belles-Lettres diffusion Maison des Sciences de l'Homme. Paris, 2021, 2 vol., 927 p.
RÉDET, Louis. Dictionnaire topographique du département de la Vienne [...], Paris: Imprimerie nationale, 1881. (Réédition Paris: J.-M. Williamson, 1989), 526 p. Version ancienne consultable sur Gallica https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110098j dernière consultation 18/08/2025].
Mention : p. 389
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : 914.463 RED
ISBD/Commentaire :
RÉDET, Louis. Dictionnaire topographique du département de la Vienne [...], Paris : Imprimerie nationale, 1881. (Réédition Paris : J.-M. Williamson, 1989), 526 p. Version ancienne consultable sur Gallica https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110098j dernière consultation 18/08/2025].
SYNDICAT MIXTE POUR L’AMÉNAGEMENT DU SEUIL DU POITOU. SCOT du Seuil du Poitou – Tome 3 : Analyse de l’état initial de l’environnement. Février 2020, 514 p.
ISBD/Commentaire :
SYNDICAT MIXTE POUR L’AMÉNAGEMENT DU SEUIL DU POITOU. SCOT du Seuil du Poitou – Tome 3 : Analyse de l’état initial de l’environnement. Février 2020, 514 p.
URBAGO Atelier d'urbanisme. Plan local d'urbanisme. Rapport de présentation. Commune de Sainte-Radégonde.
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
URBAGO Atelier d'urbanisme. Plan local d'urbanisme. Rapport de présentation. Commune de Sainte-Radégonde, département de la Vienne. 2019, 89 p.
Multimédia
DÉPARTEMENT DE LA VIENNE. Atlas des paysages de la Vienne.
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
DÉPARTEMENT DE LA VIENNE. Atlas des paysages de la Vienne. [en ligne] [02.06.2025]. Accès internet : <URL : https://atlas-de-paysages.lavienne86.fr/
PARVIS : visitez les églises du diocèse de Poitiers.
Mention : Sainte-Radegonde-en-Gâtine
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
PARVIS : visitez les églises du diocèse de Poitiers. [en ligne]. Association PARVIS (PAtrimoine Religieux VIenne Deux-Sèvres), fiches établies entre 1996 et 2022. [22.05.2024]. Accès Internet https://www.poitiers.catholique.fr/parvis/
SIEFAR (Société Internationale pour l’Étude des Femmes de l’Ancien Régime). Dictionnaire des Femmes de l'ancienne France.
Mention : Radegonde
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
SIEFAR (Société Internationale pour l’Étude des Femmes de l’Ancien Régime). Dictionnaire des Femmes de l'ancienne France. [en ligne] [06.03.2025]. Accès Internet : https://siefar.org/personnages/
Annexes
Quelques données historiques sur la commune de Sainte-Radegonde (Vienne).
Synthèse des notes prises dans le cadre de l’inventaire du patrimoine de la commune, mises en formes par période.
Néolithique, Protohistoire et Antiquité
Aucun habitat néolithique n’a encore été retrouvé à Sainte-Radegonde ou dans les communes voisines. La présence humaine est cependant attestée dans ce secteur par des polissoirs trouvés à Archigny, Paizay-le-Sec et Bonnes, et des dolmens recensés à Chauvigny, Archigny, La Puye et La Bussière (certains d’entre eux sont aujourd’hui détruits).
Un établissement rural protohistorique a été identifié, ainsi que plusieurs établissements ruraux et un ferrier gallo-romain (ferrier : monticule formé de déchets issus d'anciens bas-fourneaux).
La voie ancienne qui traversait la commune du sud-ouest au nord-est (dont le plus long tronçon conservé aujourd’hui est connu sous le nom de chemin de la Croix Blanche) pourrait être antique mais n’est pas datée archéologiquement.
Moyen Âge et Ancien Régime
La présence d’une église, déjà dédiée à sainte Radegonde, est attestée à partir de 1300.
Le village « Sainte-Radegonde-en-Gâtine » est mentionné à partir de 1383. La grande forêt de Gâtine (de gâtine, terre inculte, inhabitée en ancien français), s'étendait surtout sur Saint-Pierre-de-Maillé, La Bussière et La Puye. La paroisse relève de l’archiprêtré de Morthemer et de la baronnie de Chauvigny.
La forêt de Gâtine figure sur les cartes du Poitou de Pierre Rogier (1579) et de Jodocus Hondius (1631). Exploitée pour produire du combustible et du bois d’œuvre pour l’industrie et l’artisanat du secteur, elle disparaît et ne figure plus sur la carte dite de Cassini (levée en 1765-67). Sur cette dernière, le territoire de ce qui deviendra la commune de Sainte-Radegonde (1317,55 ha) compte environ 313 ha de landes, répartis en deux vastes zones à l’est et au sud-est, et environ 100 ha de bois.
Comme partout en France, l’église et le presbytère sont le siège de la paroisse et revêtent un rôle spirituel, social et administratif essentiel. La Lande (c’est-à-dire la Commanderie, le Charrault et les fermes les plus proches) est un centre de pouvoir et d’activité important durant l’Ancien Régime. Une assemblée (fête patronale) se tient chaque année à la Commanderie (seigneurie dépendant de la commanderie hospitalière de Roche-Villedieu) le jour de la Saint-Jean-Baptiste (soit le 24 juin). Des messes sont célébrées dans la chapelle aux frais du fermier du domaine, mais les archives ne précisent pas la fréquence des offices. Est-elle suffisante pour que l’édifice serve de lieu de culte régulier aux habitants du secteur, comme c’est le cas de la chapelle d’Aillier à Chauvigny ?
Dans les années 1640, le fermier du domaine de la Commanderie est Philibert Paris (né vers 1580), propriétaire du Charrault de Lande (appelé alors le « Charreau Grandmère »). Il déclare sa résidence au Charrault mais détient également la seigneurie de la Salle.
Peu de professions artisanales apparaissent dans les archives d’Ancien Régime consultées (mais celles-ci ont été peu nombreuses dans le cadre de l’étude d’inventaire). La polyvalence des agriculteurs, avérée par ailleurs, peut cependant masquer certaines activités artisanales. On note un drapier à La Lande en 1615, un tisserand (peut-être au bourg) décédé en 1797 à plus de 70 ans.
Les exploitations agricoles sont évoquées en tant que métairies ou borderies. Les productions mentionnées au milieu du 17e siècle dans les documents concernant les dépendances de la Commanderie sont le blé, le chanvre, les agneaux. Dans le rôle des tailles de 1766 les métairies sont en général exploitées par des laboureurs à quatre bœufs, tandis que les laboueurs à deux bœufs exploitent de « petites » métairies ou des borderies.
Un « Estang du Gastineau », est mentionné en 1547 dans les archives relevant du temporel de l’évêché (cité par Louis Rédet en 1881 ; son article ne comporte aucune mention des usages de cet étang, pisciculture et/ou meunerie hydraulique). Cet aménagement disparaît au plus tard au milieu du 18e siècle, puisqu’il n’est pas représenté sur la carte de Cassini, malgré une surface qui l’aurait justifié. Celle-ci est en effet comparable à celle du Petit Étang de La Puye, qui figure sur le document.
Un document de 1655 mentionne une pièce de terre appelée « le moulin à vent », située à l’ouest de la Fretaiserie. Aucun moulin à vent ne s’y trouve mais cela permet de supposer –prudemment– qu’il a pu en exister un antérieurement (il en existe un à La Puye a début du 19e siècle).
Révolution
Le presbytère et ses dépendances, ainsi que le domaine de la Commanderie sont saisis en 1789 suite à la nationalisation des biens du clergé. Ils seron vendus quelques années plus tard à des particuliers.
La cure de Sainte-Radegonde est supprimée en 1790, suite à l’adoption de la Constitution civile du clergé, qui conduit à la réorganisation des diocèses.
Au même moment, le député Jacques Antoine Creuzé de La Touche, dit Creuzé-Latouche, décrit le district de Châtellerault, dont fait partie Sainte-Radegonde. Le paysage y semble dominé par des terres incultes et inhabitées :
« Mais au-dessus de ces collines règne un vaste plateau, qui s’unissant aux coteaux de la rive droite de la Vienne au-dessous de Châtelleraud, s’étend à l’Est au Nord jusqu'à la Creuse. Cette triste contrée, presque toute en lande & en déserts, comprend les paroisses de Sainte-Radegonde, Cenan, Archigni, la Chapelle-Roux, Fressineau, Chenevelle, Pleumartin, Crémille, Légné-les-Bois, Coussai, Saint-Hilaire, Oyré ; avec celles de Posé-Ie-Vieil, la petite ville de la Roche-Posé, Lésigni, Méré, Leugni & Saint-Remi, situées sur les bords même de Creuse ».
Les propos de l’auteur sont peut-être à nuancer en ce qui concerne Sainte-Radegonde. La carte du département de la Vienne dressée par Charles Picquet en 1790, si elle ne comporte pas d’erreurs, semble indiquer que les landes y avaient déjà reculé par rapport aux années 1765-67 (leur moindre surface ou leur discontinuité a pu conduire le cartographe à ne pas les représenter). On dénombre de plus 261 habitants en 1793, et l’activité bat son plein puisque l’almanach 1796-97 mentionne six foires à la Lande, les 12 mai, 4 juin, 6 juillet, 4 août, 5 septembre et 1er octobre.
19e siècle
En 1801, la Constitution civile du clergé est abrogée et le Concordat est instauré. Les paroisses de Sainte-Radegonde, Cenan et de La Puye sont regroupées dans une nouvelle cure. Les trois municipalités (Cenan n’est intégré à La Puye qu’en 1819) décident d’acheter un presbytère commun, situé à La Puye.
La distance à parcourir entre Sainte-Radegonde et La Puye, ainsi que les pluies qui rendent impraticables les routes pendant une grande partie de l’année, rendent difficile voire impossible l’exercice du culte. En 1826, les habitants font parvenir à l’évêque une pétition pour réclamer le rétablissement de leur paroisse. Ils sont soutenus en 1830 par André-Hubert Fournet (cofondateur, avec Élisabeth Bichier des Âges, de la Communauté des Filles de la Croix). À cette époque, il n’y a pas de curé à Sainte-Radegonde, mais des Filles de la Croix venues de La Puye assurent messes, instruction religieuse des enfants et soins aux malades et aux vieillards.
L’évêque propose en 1836 le rétablissement de la paroisse, qui aura lieu en 1839. La commune rachète alors l’ancien presbytère pour lui redonner sa fonction.
Le renouveau symbolique que constitue le rétablissement de la paroisse contribue probablement au développement du bourg, qui n’est occupé en 1832 que par l’église, le cimetière, le presbytère et une ferme. Même si le conseil municipal le qualifie toujours de « peu considérable » en 1843, il est en train de s’agrandir et compte 5 maisons pour 21 habitants en 1846. Cela reste beaucoup moins que les hameaux de Monteil, la Boutallerie, La Lande ou le Gâtineau, qui comptent respectivement 12, 9, 8 et 8 maisons pour 49, 43, 47 et 38 habitants. Dans les années 1860 (1866 au plus tard), la commune recrute un instituteur et crée une école mixte publique dans une ancienne ferme du bourg (voir l’annexe intitulée L'école à Sainte-Radegonde).
Le cadastre dit « napoléonien », dressé en 1832-1833, permet de se faire une idée précise de l’occupation des sols de la commune à cette époque. Sur un total de 1284,782 ha, elle compte 992,919 ha (77,283 %) de labours, 30,544 ha (2,377 %) de vignes, 46,528 ha (3,621 %) de prés, 101,460 ha (7,897 %) de bois, 58,465 ha (4,551%) de bruyères (localement appelées brandes), 39,183 ha (3,050 %) de pâtures, 5,228 ha (0,407 %) d’incultes, 5,986 ha (0,466 %) de jardins et 4,469 ha (0,348 %) de bâti.
La population, qui peut parfois fluctuer de plusieurs dizaines d’habitants entre deux recensements si plusieurs familles quittent la commune, s’élèvent à 259 habitants en 1800, 328 en 1831 (le maximum jamais atteint), 259 en 1866, 294 en 1896.
Les activités des habitants sont liées majoritairement à l’agriculture. La plupart des recensements du 19e siècle ne permettent pas de compter le nombre d’habitants travaillant dans ce secteur de façon précise, car la profession du chef de famille est en général la seule à être déclarée. Au sein des exploitations, les femmes n’apparaissent le plus souvent qu’en tant qu’épouse ou fille, et l’activité exacte des domestiques n’est pas précisée. Le statut social semble aussi primer et certains individus sont déclarés simplement « propriétaires » et non pas « agriculteurs ».
En 1836, sur les 277 habitants de la commune, 118 déclarent une profession, dont seulement 53 dans le secteur agricole. On peut probablement y ajouter une centaine de personnes en comptant les épouses, les filles, les domestiques ainsi que les « propriétaires », qui exploitent probablement tous eux-mêmes leurs terres. L’usage de préciser la profession de chaque individus apparaît à partir de la fin du siècle. Ainsi, en 1896, la commune compte 294 habitants et 222 d’entre eux déclarent une profession. Celle-ci est agricole dans 175 cas.
En dehors du secteur agricole, l’éventail des professions est peu étendu (il reste le même jusqu’au milieu du 20e siècle). Les plus régulièrement citées sont curé, instituteur, maréchal, marchand, épicier, couturière et lingère. Ces deux dernières sont longtemps les seules, avec celle de rentière, qui apparaissent au féminin. Les artisans et les commerçants semblent peu nombreux, mais les recensements ne mentionnent qu’une seule profession par individu, sans rendre compte d’une éventuelle pluri-activité.
La champ de foire, situé à la Lande près de la Commanderie, accueille quatre foires par an dans les années 1840 (les 12 mai, 4 juin, 5 juillet et 5 septembre).
Un questionnaire émanant du diocèse, non daté et non signé mais probablement rempli par le curé à la fin des années 1840, nous apprend qu’il n’y avait pas d’assemblée en 1839. Les habitants en instaurent une sans autorisation en 1846, le dimanche de la Trinité (celui qui suit la Pentecôte, c'est-à-dire le huitième dimanche après Pâques, donc entre mi-mai et mi-juin). Elle ne semble pas avoir les faveurs de l’auteur des réponses, qui déclare qu’ « Elle n’a d’autre objet que le plaisir et l’intérêt des marchands ».
20e siècle
Sainte Radegonde compte 313 habitants en 1911. En 1912, on dénombre 33 enfants en âge scolaire, c’est-à-dire de 6 à 13 ans (voir l’annexe intitulée L'école à Sainte-Radegonde). La commune est qualifiée de « pays agricole », et sa population de « toute agricole ». Son paysage est en 1914 le produit d’une polyculture à forte prépondérance de labours (76 à 96 %). Les dates des foires restent les mêmes qu’au 19e siècle (12 mai, 4 juin, 5 juillet, 5 septembre), puis elles disparaissent au lendemain de la Première guerre mondiale.
Jusqu’au milieu du 20e siècle, en dehors du secteur agricole, l’éventail des professions est peu étendu et reste le même qu’au siècle précédent. Les recensements ne mentionnent toujours qu’une seule profession par individu, mais la pluri-activité peut-être ici mise en évidence chez certains d’entre eux. C’est ainsi qu’en 1912 un sabotier établi dans le bourg est également sacristain, aubergiste, épicier, mercier et marchand d’étoffes. De même, un aubergiste est également épicier, mercier, fermier du bureau de tabac et conseiller municipal.
En 1962, les 257 habitants vivent toujours majoritairement de l’agriculture. Le spectre des professions s’est étendu. Certaines d’entre-elles sont nouvelles et reflètent les changements de la société d’après-guerre : apprenti agricole, apprenti cultivateur, apprentie cultivatrice, chef de culture, cultivateur, aide-cultivateur, cultivatrice, aide-cultivatrice, entrepreneur de travaux agricoles, manœuvre en travaux agricoles, ouvrier agricole, réparateur de machines agricoles, bonne à tout faire, cantinière scolaire, cantonnier, chauffeur de poids lourds, éducateur en maison de repos, épicier détaillant, épicière détaillante, étudiant, étudiante, femme sans profession, homme sans profession, insituteur, institutrice, manœuvre, plâtrier.
Les terres agricoles, tournées vers l’élevage jusque dans les années 1980, sont aujourd’hui consacrées essentiellement aux céréales et à la polyculture. Il ne reste plus qu’une seule exploitation sur la commune (un élevage de 650 brebis), et 81, 818 % des 178 habitants (chiffre INSEE 2021) travaillent dans le secteur de l’industrie.
Sources : se reporter aux références documentaires du dossier de présentation de la commune.
L'école à Sainte-Radegonde (Vienne)
La loi Guizot oblige en 1833 les communes à entretenir au moins une école mixte ou de garçons. Malgré la possibilité qui leur est offerte de se regrouper pour y parvenir, le texte est très lentement et très inégalement appliqué, si bien que dans les années 1860, Sainte-Radegonde est toujours dépourvue d'établissement publique. Cette absence n'exclue pas les initiatives privées ou religieuses, et l'action en matière de soins à la population et d'instruction des Filles de la Croix, dont la Maison-Mère se trouve dans le village voisin de La Puye, est attestée à Sainte-Radegonde dans les années 1830.
En 1866 au plus tard, conformément au souhait des habitants, la commune recrute un instituteur et crée une école mixte dans une ferme du bourg. L'édifice, d'abord loué, est acheté en 1869. Il accueille à cette époque une quarantaine d'enfants en âge scolaire (6 à 13 ans), dont une part habite la commune voisine d'Archigny. Il ne semble pas satisfaire entièrement aux normes requises, mais l’académie est conciliante compte-tenu de l'absence d'école jusque-là et de la bonne volonté de la commune, qui dispose de peu de moyens mais reconnaît les bienfaits et la nécessité de l'instruction. Le corps de bâtiment principal, construit en 1839-1840 à l'emplacement d'anciennes dépendances agricoles du presbytère, abrite le logement de l'instituteur et une salle de classe (ainsi que la mairie, d'une date indéterminée à 1950). La grange (qui est également une ancienne dépendance du presbytère) sert de préau. Elle est détruite en 1880 pour laisser place à une salle de classe (toujours visible aujourd'hui).
L'état sanitaire de l'établissement et sa situation géographique deviennent problématiques à la fin du 19e siècle et au début du 20e. En 1894, l’instituteur demande l’amélioration de son logement, qui est mal clos. En hiver, l’air froid y pénètre par les huisseries et par le plancher du grenier, qui laisse de surcroît passer la poussière dans les pièces d’habitation. Aucune solution durable ne semble avoir été apportée, puisque qu’en 1911 un instituteur refuse le logement (que l’inspecteur primaire reconnaît officiellement trois ans plus tard « insuffisant et particulièrement malsain »). L'établissement est mal aéré, mal exposé au soleil, impossible à agrandir et situé à proximité immédiate du cimetière qui, selon les instructions officielles, devrait être éloigné d’au moins 100 mètres. Son implantation dans le bourg, très excentré par rapport au centre géographique de la commune, est de plus jugée désavantageuse pour les élèves habitants les hameaux les plus éloignés.
En 1912, le conseil municipal, soutenu par la majorité des habitants, approuve donc un projet de construction d'une nouvelle école à la Croix du Gâtineau. Elle serait située à 1 500 mètres du bourg mais à un emplacement sain, facile d'accès et proche du centre réel de Sainte-Radégonde. Personne ne remet en cause la nécessité de construire une nouvelle école, mais ce déplacement radical ne fait en revanche pas l'unanimité au sein des habitants. Les opposants au projet, menés par les commerçants du bourg, craignent notamment qu’il n’engendre la mort du commerce et donc du bourg lui-même. L'examen des pétitions des deux parties, les exigences de l’État en matière de contrôle de la qualité de l'eau de la citerne du futur établissement (contrôle impossible puisque le projet n’est pas approuvé définitivement et que la citerne n’est donc pas encore construite) et probablement la survenue de la première guerre mondiale ont raison du projet. Celui-ci est repris en 1922 sur la base des mêmes arguments. Le conseil municipal pointe également l’exguïté de la cour, qui est un obstacle aux jeux des enfants et aux séances de gymnastique, que l'instructeur est obligé de tenir sur un terrain extérieur à l'école.
L’établissement de la Croix du Gâtineau ne verra jamais le jour. En 1941, l'école est toujours au même endroit et toujours impossible à agrandir, mais la commune loue un terrain d'éducation physique et de jeux pour les élèves. La durée du bail n'est cependant que d'un an et les archives ne permettent pas de savoir s'il a été prolongé. En 1950, il est fait mention d'une deuxième classe, ouverte dans le local réservé auparavant à la mairie, mais elle est trop petite et mal aérée. Le reste de l’établissement est décrit comme il l'était trente ans auparavant : le logement est en mauvais état et les cours sont trop petites. En octobre, le conseil municipal approuve donc à l’unanimité le principe de la construction d’une nouvelle école, pour pouvoir accueillir une population scolaire qui augmente rapidement (48 élèves en 1951, 58 en 1955). La construction du groupe scolaire de la rue Principale (voir dossier IA86014373) débute en mars 1956, et s’achève trois ans plus tard. Sur le terrain choisi se trouve déjà une maison (construite en 1909), dans laquelle seront installées la cantine scolaire et la mairie (voir dossier IA86014371).
L’école de Sainte-Radegonde ferme définitivement ses portes en août 2011.
Sources : Archives départementales de la Vienne 2 O 292/3 (Administration et comptabilité communales dans la Vienne. Sainte-Radegonde. Administration générale ; biens communaux bâtis. - 1818-1938) et Archives départementales de la Vienne 601 w 794 (ainte-Radégonde. Administration générale ; travaux publics ; biens communaux non bâtis ; biens communaux bâtis. - 1940-1963), https://univ-numerique.fr/.
Le bâti de la commune de Sainte-Radegonde (Vienne)
Le bâti de Sainte-Radegonde est en grande partie créé, remanié ou reconstruit totalement entre le début du 19e siècle et le milieu du 20e. Il conserve peu de traces évidentes des périodes précédentes et en dehors du bourg, seule une maison située à Courtepré pourrait dater de la toute fin du Moyen Âge.
Dans le bourg, l’observation des façades et la consultation du cadastre ancien indique que le bâti voit le jour pour l’essentiel entre les années 1830 et le premier quart du 20e siècle, à l’exception de l’église (15e ou 16e siècle ?) et du presbytère (18e siècle).
Les principaux édifices publics et industriels apparaissent ensuite. Le monument aux morts est érigé en 1923, la mairie est installée en 1950 dans une maison construite en 1909 et l’école est transférée en 1958 dans un édifice neuf (qui ferme ses portes en 2011 ; voir l’annexe intitulée L'école à Sainte-Radegonde). Les salles communales et les locaux industriels d’ACIME Technology ont quant à eux été construits entre la fin des années 1970 et le début des années 1990 (la salle des fêtes est installée dans l’un d’entre eux en 2005).
La commune ne compte pas de lotissement et, de façon générale, relativement peu de maisons de la deuxième moitié du 20e siècle et du début du 21e. Dans les fermes, de l’après-guerre à nos jours, l’augmentation de la surface bâtie est essentiellement due à la construction de stabulations ou de hangars.
Le bâti traditionnel est constitué d’un mélange de moellon de calcaire et de silex, souvent partiellement ou entièrement enduit, la pierre de taille étant réservée aux encadrements d’ouvertures et aux chaînes d’angle (on trouve également quelques encadrements d’ouvertures en bois).
La façade principale des maisons et des logis de fermes observés est majoritairement placée sur un des murs gouttereaux*. Ces édifices peuvent être en rez-de-chaussée et surmontés d’un comble à surcroît*, ou bien pourvus d’un étage, carré ou en surcroît* (la deuxième configuration est la plus fréquente entre 1800 et 1950). La présence de portes et de lucarnes gerbières* indiquent que le niveau supérieur servait souvent à l’origine de grenier.
Les toits sont le plus souvent à longs pans* et couverts de tuile creuse (traditionnelle ou mécanique), de fibrociment ou de tôle, mais la tuile plate et l’ardoise sont également représentées.
Les puits sont rares (le bourg n’en compte qu’un seul en 1912) et l’arrivée de l’eau courante est tardive (moins des deux-tiers des logements de la commune en bénéficient au début des années 1960). Les besoins en eau sont donc à l’origine couverts par des citernes recueillant les eaux de toiture et par des fosses à boire pour le bétail.
Les fermes se composent d’un logis, parfois d’un ou plusieurs logements secondaires, d’une ou plusieurs grange-étables, d’écuries et de toits à cochons. Ces fonctions sont localisées dans des corps de bâtiments différents, qui peuvent être jointifs ou bien dispersés dans une cour ouverte et de forme irrégulière.
Ces deux types d’organisation existaient durant l’Ancien Régime. Le bâti de cette époque a le plus souvent disparu mais des descriptions nous sont parvenues. En voici deux, datées de 1655 et tirées d’un procès-verbal de visite du domaine de la Commanderie de la Lande :
« [...] Plus la mestairie de l'Hospitaux concistant en un corps de logis ou il y a deux chambre basse avec cheminé et grenier dessus planchonnés de planchon fort uzé avec un petit cellier par le derrière un four et fourniou le tout tenant ensemble couvert de tuille courbe. Plus une grande grange ou il y a huit estalons et couverte de tuille courbe. Plus une estable à mettre des bœufs et un toit à pourceaux qui tient à lad. estable le tout couvert de tuille courbe et les portes estant où il y en a besoing tous lesquels bastiment sont près les uns des autres avec les charière et chènevière le tout renfermé de fossées contenant en tout huit booicellés (sic) ou environ ».
[...]
«Premièrement une maison concistant en chambre basse et aux grenier et les estables avec la grange, four, fourniou, charières et autre apartenances, dépendance, le tout ce joygnant appellé la Grande Métairie de la Lande size au village de la Lande en lad. paroisse de Sainte-Radegonde [...] ».
La seule différence est que dans la première description la métairie se trouve dans une enceinte close par un fossé, dont la présence peut s’expliquer par le contexte particulier de la commanderie hospitalière.
Ces descriptions renvoient également au généralités décrites par Alphonse Le Touzé de Longuemar en 1872 dans ses Études géologiques et agronomiques sur le département de la Vienne :
« Les maisons d’habitation et les bâtiments d'exploitation pour abriter le bétail et les récoltes sont en général construits en maçonnerie et couverts en tuiles dans ce département, où la pierre abonde et où les tuileries sont nombreuses.
La maison du fermier ou du colon consiste en une ou deux chambres servant à sa famille et à ses domestiques de chambre à coucher, de cuisine et de pièces où se prennent les repas en commun. À l’un des pignons est ordinairement adossé le four à cuire le pain, mais quelquefois aussi il forme un bâtiment à l’écart des autres, ce qui diminue le danger des incendies.
Les bâtiments d'exploitation, comprenent [sic] des écuries pour les chevaux ou mulets, des étables pour les bœufs et les vaches, des bergeries pour les moutons, et des toits à porcs et à volailles qui sont assez fréquemment placés sous le prolongement des toits des bâtiments principaux. Très souvent aussi les écuries, vacheries et bergeries occupent les parties latérales d’une grange où s'entassent les gerbes et les fourrages.
Une mare à abreuver le bétail et un puits pour les usages ménagers complètent l'ensemble de la cour d'exploitation qui est rarement close de murs ou de haies vives ».
* Mur gouttereau : mur latéral portant les gouttières, par opposition au mur pignon.
* Comble à surcroît : le plancher est situé au-dessous de la base du toit et du sommet des murs.
* Étage en surcroît : proche du précédent, mais l’espace y est suffisamment haut pour être doté de fenêtres ou de lucarnes.
* Porte ou lucarne gerbière : ouverture servant à engranger des récoltes, dont la partie inférieure se trouve sous l’égout de la toiture.
* Toit à longs pans : toit de forme allongée à deux versants principaux.
Vie de sainte Radegonde et légendes mettant la sainte en scène ayant pour cadre Sainte-Radegonde
Sainte Radegonde, née vers 520, est la fille du roi de Thuringe Berthaire. En 531, lors d’une expédition franque, le roi Clothaire 1er la fait prisonnière l'emmène dans sa villa d’Athies (Somme). Il l’épouse après la mort de la reine Ingonde en 538. La princesse devenue reine des Francs vit à la cour, tout en prenant soin des plus pauvres et en désapprouvant le mode de vie et la violence du roi. En 555, elle découvre qu’il avait assassiné son frère et décide d’entrer au couvent.
Après avoir séjourné à Noyon (Oise), Tours et Candes (Indre-et-Loire), elle s’installe à Saix (Vienne) dans une villa qui lui appartient. Entre 552 et 557, elle fonde à Poitiers (Vienne) un des tout premiers monastères féminin. D’abord placé sous le vocable de Sainte-Marie, il est placé sous celui de Sainte-Croix en 568, après l’obtention d’une relique de la Vraie Croix.
Radegonde fait également construire à l’extérieur des remparts de la ville, à proximité du monastère, l’église Sainte-Marie-hors-les-murs, destinée à abriter les tombeaux des religieuses. Elle y est enterrée après sa mort, le 13 août 587. Elle est canonisée peu de temps après, et l’église est alors placée sous son vocable actuel de Sainte-Radegonde.
La patronne de Poitiers est à l’origine de plusieurs légendes. Certaines d’entre-elles concernent directement la commune de Sainte-Radegonde ou sa voisine immédiate Archigny.
Le Miracle des Avoines. Cette légende, qui est une des plus populaires, apparaît au 14e siècle et a pour cadre Sainte-Radegonde ou d’autres communes selon les versions. Installée à Saix, Radegonde apprend que Clotaire est en route pour venir la chercher et la ramener à la cour. Elle s’enfuit à travers champs avec ses compagnes Agnès et Disciole, et croise un laboureur en train de semer de l’avoine. Elle lui demande de déclarer, si on l’interroge, qu’il n’a vu passer personne depuis qu’il a semé. Les plantes se mettent à pousser instantanément par la volonté de Dieu et les trois femmes se cachent dans le champ, se dérobant ainsi à la vue de Clotaire. Celui-ci arrive, interroge le laboureur et, émerveillé par le miracle, se dit qu’il vaut mieux laisser son épouse aller librement plutôt que s’opposer à la volonté divine.
Le Pas-de-l’Âne est le nom donnée à une pierre située à la frontière entre Archigny et Sainte-Radegonde, qui présente deux dépressions rappelant la forme d’un pied humain et d’un sabot de mule. Ces dépressions passent pour être les empreintes laissées par la sainte et sa monture alors qu’elle cheminaient –en faisant un considérable détour– de Chinon à Poitiers. L’eau de pluie retenue par les empreintes, utilisée en friction, permettrait de lutter contre les fièvres malignes et les maux de dents et de gencives.
La Chaussée de sainte Radegonde est un alignement de blocs de pierre, également situé à Archigny, à 150 mètres au nord de l’église de Sainte-Radegonde. Il aurait été construit selon la tradition locale à la demande de la sainte, désireuse de se rendre plus facilement à l’église lorsqu’elle séjournait à l’abbaye de l’Étoile (fondée par les cisterciens au début du 12e s.).
Galerie d'images 39
Localisation de la commune sur la carte dite de Cassini (1765-67).
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Le bourg de Sainte-Radegonde sur la feuille B1 du cadastre de 1833.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles, Archives Départementales de la Vienne
Carte des structures antiques ou supposées antiques connues.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Carte de l'occupation des sols (d'après CORINE Land Cover 2018).
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Vue partielle du bourg, sur une carte postale du début du 20e siècle (avant 1924).
Auteur de l'illustration : Rezé Charles, Caillaud G.
Les enfants de l'école sur une carte postale ancienne (années 1900 ?).
Auteur de l'illustration : Rezé Charles, Lambert (photographe), Garnier (éditeur)
Le presbytère, l'église et le mur du cimetière sur une carte postale ancienne (années 1920 ou 1930 ?).
Auteur de l'illustration : Rezé Charles, Combier Imprimerie Mâcon (CIM )
Entrée de chemin située dans le bourg face au 7, rue Principale.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
L'école de la rue Principale (aujourd'hui maisons), en service de 1958 à 2011.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Le centre du bourg vu depuis l'angle sud-ouest du cimetière.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Le presbytère vu depuis le chemin conduisant de l'église au château de la Salle.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
La mairie et les maisons bordant la rive sud de la route d'Archigny.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Vue depuis le nord-ouest des locaux d'Acime Technology et de la salle des fêtes.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Ruisseau vu depuis le chemin menant de l'église au château de la Salle.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
L'écart du Gâtineau vue depuis la route de Chauvigny à La Puye (D2).
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Vue vers le nord-est de la vallée de l'Espinasse, depuis les abords de la Touche.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Vallée de l'Espinasse et écart de la Touche vus depuis les Philippières.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Paysage (vue vers le nord depuis l'allée menant de la D2e à la ferme de la Saunerie).
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Le ruisseau de Monteil depuis l'entrée de l'écart du même nom.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Le Bois de la Motte et les Philippières vues depuis le chemin de la Croix Blanche.
Auteur de l'illustration : Rezé CharlesLocalisation de la commune sur la carte dite de Cassini (1765-67).
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Gallica.Bnf
Le bourg de Sainte-Radegonde sur la feuille B1 du cadastre de 1833.
Rezé Charles, Archives Départementales de la Vienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Archives départementales de la Vienne
L'ancien étang du Gâtineau sur le cadastre de 1832.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Archives départementales de la Vienne
Carte des structures antiques ou supposées antiques connues.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Carte du relief et des altitudes de la commune.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Carte de l'occupation des sols (d'après CORINE Land Cover 2018).
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue partielle du bourg, sur une carte postale du début du 20e siècle (avant 1924).
Rezé Charles, Caillaud G.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Collection particulière
Les enfants de l'école sur une carte postale ancienne (années 1900 ?).
Rezé Charles, Lambert (photographe), Garnier (éditeur)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Collection particulière
Le presbytère, l'église et le mur du cimetière sur une carte postale ancienne (années 1920 ou 1930 ?).
Rezé Charles, Combier Imprimerie Mâcon (CIM )
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Collection particulière
Vue aérienne du bourg.
Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) 4 Vents - Photographie aérienne
Vue aérienne du bourg.
Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
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Entrée sud du bourg et rue Principale.
Rezé Charles
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Entrée de chemin située dans le bourg face au 7, rue Principale.
Rezé Charles
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L'école de la rue Principale (aujourd'hui maisons), en service de 1958 à 2011.
Rezé Charles
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Salle communale construite au milieu des années 1970.
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Le centre du bourg vu depuis l'angle sud-ouest du cimetière.
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La monument aux morts érigé vers 1924.
Bellet Jérôme
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L'église Sainte-Radegonde et l'entrée du cimetière.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Puits public situé au nord de l'église.
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Le presbytère vu depuis le chemin conduisant de l'église au château de la Salle.
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La mairie et les maisons bordant la rive sud de la route d'Archigny.
Rezé Charles
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Les maisons bordant la rive sud de la route d'Archigny.
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Église, presbytère et maisons bordant la route d'Archigny.
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Vue depuis le nord-ouest des locaux d'Acime Technology et de la salle des fêtes.
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Vue depuis le nord-ouest de la salle des fêtes.
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La Commanderie vue depuis le nord-est.
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Entrée ouest de l'écart de la Touche.
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L'entrée sud de l'écart de la Boutallerie.
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Ruisseau vu depuis le chemin menant de l'église au château de la Salle.
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Vue aérienne de l'écart de Monteil.
Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
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L'écart du Gâtineau vue depuis la route de Chauvigny à La Puye (D2).
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue vers le nord-est de la vallée de l'Espinasse, depuis les abords de la Touche.
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Vallée de l'Espinasse et écart de la Touche vus depuis les Philippières.
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Paysage (vue vers le nord depuis l'allée menant de la D2e à la ferme de la Saunerie).
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Le ruisseau de Monteil depuis l'entrée de l'écart du même nom.
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Le Bois de la Motte et les Philippières vues depuis le chemin de la Croix Blanche.
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Emplacement de l'ancien étang du Gâtineau, le long de la route de Chauvigny à La Puye (D2).
Rezé Charles
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Vaste parcelle cultivée située entre le Puy de la Lande et la Fretaiserie
Rezé Charles
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L'église et le presbytère vus depuis l'est.
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Dossiers en lien avec Présentation de la commune de Sainte-Radegonde
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