1811 (10 janvier). [orthographe d'origine conservée] "Département des Landes. Commune de Poyartin. / Verbal de visitte de l'eglize constatant les réparations intérieures à y faire et les objets meubles qui manquent, avec leur valeur approximative. / L'an mil huit cent onze et le dix janvier aux dix heures du matin, Nous François Ducos maire de la commune de Poyartin, vû la lettre de Mr le sous-préfet du 3ème arrondissement en datte du 14 novembre dernier, qui, pour l'exécution des ordres de son Excellence le ministre de l'Intérieur, et afin de parvenir à l'alliénation de l'oratoire de St-Sevret supprimé, nous charge 1° de faire procéder à l'estimation de cet édifice, 2° de faire procéder à un devis estimatif des réparations qu'exige succursalle l'eglize de Poyartin, 3° à un devis estimatif des objets achetter pour l'exercice du culte. / Déclarons en premier lieu que l'évaluation de l'oratoire supprimé a été faite de 8 décembre d[erni]er, et portée à neuf cens soixante dix francs seize centimes, ainsy qu'il conste du verbal de trois experts réunis, joint au présent. / Considérant en outre que pour connoitre les réparations à faire, les objets meubles à achetter, et éviter le soupçon de vouloir donner à l'eglize succursalle une somptuosité au dessus des ressources, nous avons pansé de faire déterminer ces objets par Mr le desservant en présence de Mr le curé du canton. / Sur notre invitation ces messieurs se sont rendus avec nous dans l'eglize, en ont fait la visitte détaillée et déclaré avec nous que les réparations à faire consistent dans les travaux cy après. / Réparer la boiserie, armoires, et vestières de la sacristie. / Réparer le maître autel, en substituant un massif en pierre de taille à une carcasse d'autel en bois fait à la romaine, qui ne présente aucune solidité, et dont les peintures ont besoin d'être rafraichies. / Le troisième autel, dédié à Ste Catherine, a besoin d'être fait à neuf. / Le tablau suspendu au dessus du maître autel rafraichi. / Diverses réparations en peinture à faire sur les murs du sanctuaire. / La voute de l'eglize reblanchie et le cordon jaune rafraichi. / Le vitrage réparé. / La boisure autour de l'eglize réparée sur certains points et repeinte. / Deux confessionaux à faire avec une armoire, destiné à recevoir les meubles de l'eglize, papiers &a. / Le carrelage de l'eglize relevé sur certains points pour le niveler. / La chaire a réparer à neuf. / Nous avons renvoyé l'évaluation de ces objets au devis estimatif qui en sera fait par des personnes de l'art. / Et passant aux objets meubles nécessaires pour le culte, et qui conséquament doivent être achettés, nous déclareons que ceux cy après détaillés sont indispensables pour l'exercice des cérémonies religieuses et l'entretient et l'usage soit journalier soit solennel. / Un calice en argent. / Un encensoir et sa navette, flaqué. / Une écharpe. / Un dai. / Deux ornemens dont un violet et un à toutes couleurs. / Trois aubes. / Six napes d'autel. / Deux surplis. / Deux douzaines serviettes. / Et attendu que pour évaluer ces objets, il faudroit diverses personnes propres à les estimer, que ces formalités entraineroient des dépenses inutiles, nous déclareons en porter la valeur approximative d'après l'expérience de chacun de nous soit comme objets de ménage soit comme d'objets d'eglize à la somme de quinze cent francs cy... 1500 f. / D'où nous pensons que l'autorisation d'alliéner l'oratoire supprimé de St-Sevret peut être accordée, et que son produit sera au dessous des besoins de l'eglize succursalle de Poyartin, pour la mettre dans un état décent, cestadire [c'est à dire] exempt de toute somptuosité. / De tout quoy nous avons dressé le présent verbal que nous avons signé avce Mr le desservant et Mr le curé du canton invité comme il est dit, d'assister à la présente opération pour lui donner un caractère non équivoque de sincérité. / Poyartin les jour, mois et an que dessus. / J. Bustarret p[rê]tre dess[ervan]t. Danglade curé. F. Ducos maire."
1811 (15 janvier). [orthographe d'origine conservée] "Commune de Poyartin. Devis estimatif des réparations à faire dans l'intérieur de l'eglize succusalle. / Nous soussignés Jean Dubourdieu, maître-menuisier, & François Labat, maître-maçon, pourvus de pattente habitans de Monfort, experts nommés par Monsieur le Maire de la Commune de Poyartin, pour estimer les travaux reparatoires à faire dans l'intérieur de l'eglize succursalle, et ce en exécution des ordres de Son Excellence le Ministre de l'intérieur, ennoncés dans la lettre ecritte le quatorze Novembre dernier par Monsieur le Sous-Préfet du troisième arrondissement audit sieur Maire de Poyartin. / Nous sommes rendus dans ladite eglize, où étant en présence de Messieurs les Maire & Desservant, nous avons procédé au devis estimatif des dits ouvrages comme suit. / Maçonnerie. / La voute de l'eglize, les pilliers des arçeaux & les murs jusqu'à la boisure, le tout portant cent quatre vingt huit mètres carrés, doivent être reblanchis à la chau vive. Nous estimons pour fourniture de chau, êchafaudage & main-d'œuvre la somme de cent quatre vingt dix francs ci... 190 f. / Les divers cordons d'architecture peints en jaune, doivent être repeints à l'ocre, & à deux couches, nous estimons pour fourniture de d'ocre & main-d'œuvre la somme de soixante dix francs ci... 70. / Les plafonds de la sacristie & du sanctuaire... sur [blanc] mètres carrés doivent être reblanchis au blanc d'Espagne, fourniture & façon neuf francs ci... 9. / Le maître-autel est en bois, il menace ruine parce qu'il est assis sur un socle en planche[s] de pin ruinées, il faut nécessairement un massif en pierre de taille sur épaisseur, longueur & largeur réduites à cinq mètres carrés ; fourniture de la pierre de taille, mortier & main-d'œuvre, la somme de vingt cinq francs ci... 25. / Le carrelage de l'eglize en pierre de Bidache est affaissé sur certaines parties, qui réunies forment environ douze mètres carrés, il doit être relevé pour le niveler, main-d'œuvre six francs ci... 6. / Total de la maçonnerie... 300 f. / Menuiserie. / Les armoires & vestières de la sacristie sont en bois de chêne ; ils sont posés sur un marche-pied qui est pourri sur le derrière, en sorte que tout s'est affaissé en arrière de plus de cinquante dix centimètres, les portes ne peuvent plus s'ouvrir, les corniches & les panaux de derrière sont dejoints. Il faut refaire à neuf le marche-pied, démonter tous les armoires, les rejointer, les remonter, ainsi que les prie-dieu & la boisure de l'appartement, nous estimons le tout e, fourniture de bois & main-d'œuvre cent francs, ci... 100 f. / La chaire de l'eglize doit être refaite à neuf et en bois de chêne, fourniture du bois & main-d'œuvre cent cinquante francs ci... 150. / Il n'existe dans l'eglize aucun confessionnal, il y en avait avant trois. Il faut les rétablir à neuf & en bois de pin, les placer sur un marche-pied de douze centimètres de hauteur ; & le tout ensemble de deux mètres douze centimètres de large, sur deux mètres de hauteur, pour atteindre la corniche de la boisure qui fait le tour des collatéraux de l'eglize, fourniture de bois, cloux & main-d'œuvre, cent trente francs ci... 130. / Au fond du collatéral coté du midi il faut réparer la boisure sur une longueur de trois mètres et hauteur soixante centimètres & placer un armoire à quatre portes, fait à neuf, pour servir à renfermer divers objets et meubles ; cet armoire portant deux mètres vingt cinq centimètres de hauteur, et trente trois centimètres de profondeur, avec corniche correspondante à celle de la boisure de l'eglize, et trois serrures ; le tout en bois de pin, fourniture du bois, cloux, ferrure & main-d'œuvre cent vingt cinq francs ci... 125. / Total de la menuiserie... 505 f. / Vitrage. / L'eglize est éclairée, savoir, par quatre croisées en verre dormant de deux mètres hauteur sur un mètre vingt centimètres largeur ; de deux autres aussi en verre dormant de deux mètres hauteur sur quatre vingt centimètres largeur ; de deux autres aussi en verre dormant de deux mètres hauteur sur soixante dix centimètres largeur, et de trois autres à chassis ouvrant d'un mètre trente centimètres hauteur sur soixante centimètres largeur, et enfin par un œil de bœuf portant un mètre soixante dix centimètres de circonférence. Ce vitrage a besoin d'être décrassé et réparé en verre neuf sur quelques points où il est cassé. Nous estimons cet ouvrage et fourniture de verre en plomb & main-d'œuvre la somme de quatre vingt dix francs ci... 90 f. / Peinture & Dorure. / Toutes les peintures ont besoin d'être fait à neuf tant sur les murs du sanctuaire qu'à la chapelle dédiée à Ste Catherine, la peinture à fresque étant la plus économique, nous disons que c'est celle qu'on doit employer. La peinture & dorure du maître-autel doit être rafraichie ainsi que celle de la chapelle ci-dessus rappellée. Et d'après la connaissance que nous avons sur le cout des ouvrages de ce genre faits dans les eglizes voisines, nous estimons qu'ils doivent couter trois cents francs ci... 300 f. / La peinture de la boisure sur les murs autour de l'eglize porte cinquante-six mètres vingt centimètres carrés, elle doit être rafraichie, nous estimons cet ouvrage soixante francs ci... 60 f. / - / Récapitulation. Maçonnerie... 300 f. Menuiserie... 505 f. Vitrage... 90. Peinture & Dorure... 300. Peinture de la boisure... 60. / Total général ci... 1255 f. / Nous pensons, en outre, que ces ouvrages effectués par régie, pourront emmener une économie sensible & couter moins. / Fait à Poyartin le quinze janvier mil huit cent onze. / Labat - Dubourdieu. / Taxés pour nos vacation, y compris le papier timbré, douze francs quatre vingt centimes. / Vû. A Poyartin le 18 janvier 1811. Le maire, F. Ducos."
1823 (11 mai). Délibération du conseil municipal : le maire Jean Camps "a fait procéder par M. le chevalier de Caupenne, directeur des travaux communaux de l'arrondissement, à un devis estimatif des réparations à exécuter à notre clocher, lesquelles s'élèvent à la somme de 468 francs [...]." Le devis date du 4 mai précédent. Les ressources consistent en une coupe de 69 chênes "à prendre dans notre forêt communale".
1823 (20 juin). Arrêté du comte de Puységur, préfet des Landes : autorise l'adjudication des travaux de "réparations du clocher" (flèche) pour la somme de 468 francs, sur devis du chevalier de Caupenne.
1823 (13 juillet). "Commune de Poyartin. Extrait du procès-verbal d'adjudication des réparations à faire au clocher de l'église de l'église de la présente commune" : adjugé à Jean Parcabe aîné, charpentier à Poyartin, pour 460 francs, avec pour cautionnaire son frère Jean Parcabe "premier cadet" (autres soumissionnaires écartés : Jean Marie Bedout, charpentier à Poyartin, et Bertrand Bloy, charpentier à Sort).
1824 (18 mars). Certificat de Peyris, officier de santé à Poyartin : l'entrepreneur Jean Parcabe, malade ("fièvre ataxique, douleurs rhumatismales, hémorragie nasale, crachement de sang), épuisé et affaibli", est "hors d'état encore de quelque temps d'exercer aucune espèce de travail laborieux ni pénible".
1824 (29 avril). Lettre de Jean Parcabe au sous-préfet de Dax : expose la maladie qui l'a atteint alors qu'il avait commencé les travaux du clocher de Poyartin, demande à être déchargé de l'entreprise et "à ce qu'il soit procédé à une nouvelle adjudication".
1824 (11 mai). Avis du sous-préfet de Dax refusant la démission de Parcabe : "Les empêchements allégués par le pétitionnaire ne sont point de nature à le dégager de ses engagements, non plus que la caution." Les travaux devront être exécutés "jusqu'à leur entier perfectionnement" sous peine de poursuites.
1825 (14 avril). "Procès-verbal de réception des travaux de réparation exécutés au clocher de la commune de Poyartin [...] d'après le devis dressé par nous le 4 mai 1823", par le chevalier de Caupenne.
1825 (26 avril). Avis du sous-préfet de Dax : le conducteur des travaux, le chevalier de Caupenne, atteste que "l'entrepreneur a satisfait entièrement aux obligations qui lui étaient imposées par le devis et le cahier des charges".
1831 (8 mai). Délibération du conseil municipal : "[...] Les dépenses ordinaires & annuelles de la fabrique absorbent toutes les recettes précaires, les administrateurs ont été absolument forcés de contracter cette dette [314 francs] afin de faire face aux dépenses ordinaires et ensuite pour l'achat de certains objets indispensables qui furent enlevés en 1822, époque à laquelle tous les vases sacrés & plusieurs autres objets de notre eglize [sic] furent volés". Vote d'une somme de 200 francs en faveur de la fabrique.
1838 (6 mai). Délibération du conseil municipal : "Réparations au clocher. Approbation et renvoi du devis, mise à prix de 66 f. 25 le 8 juin 1838". "Une grande partie du clocher a besoin d'être recouverte."
1889 (13 avril). Avis du sous-préfet de Dax, accusant réception d'une demande de secours formulée par la commune de Poyartin dans sa délibération du 30 mars "portant approbation des plans et devis dressés par M. Madray, architecte [...]".
1889 (27 avril). "Préfecture des Landes. Conseil général. Commune de Poyartin. Restauration du clocher de l'église. Demande de secours" : la commune demande un secours de 1.200 francs à l'État "pour l'aider à restaurer le clocher de l'église dont la dépense doit s'élever en totalité à 2.000 francs".
1889 (5 juillet). Le Directeur des Cultes au préfet des Landes : l'État accorde un secours de 1.000 francs à la commune de Poyartin.
1889 (29 septembre). "Procès-verbal d'adjudication relatif à la restauration du clocher de Poyartin". Adjugé à Pierre Mora aîné, de Sort, grâce à un rabais de 23 %. Autres soumissionnaires : Joseph Ducasse (Gamarde), Mora cadet (Sort), Pierre Lesbruguères (Préchacq), Théodore Lataste (Gamarde), Damien Lalanne (Préchacq).
1890 (21 avril). Certificat de "Justin Pierre Madray, géomètre demeurant à Préchacq", directeur des travaux de restauration du clocher de Poyartin", attestant de l'exécution des travaux.
1890 (2 mai). Arrêté du préfet des Landes : autorise le remboursement du cautionnement versé par l'entrepreneur Mora aîné ; "les travaux ont été exécutés conformément aux clauses et conditions imposées à l'adjudicataire par le cahier des charges".
1904 (21 mars). Délibération du conseil de fabrique sur "les travaux les plus urgents de l'église, qui d'un côté principalement menace ruine". Un devis a été dressé le 12 août 1895 par "M. Millet, entrepreneur de travaux publics à Bordeaux", "lequel devis n'a pu et ne saurait être exécuté à cause de la trop forte somme de 15.000 francs qu'il exige et qui dépasse les ressources soit de la fabrique, soit de la commune. / Vu le nouveau devis dressé le 20 mars 1904 par M. Lafaury, architecte à Saugnac-lès-Dax, lequel devis ne s'en tenant qu'aux travaux absolument indispensables, ne s'élève qu'à la somme de quatre mille francs [...]." La fabrique n'a aucune ressource "à cause de la refonte des cloches et certaines autres dépenses". La fabrique prie le conseil municipal d'accepter le devis Lafaury, de l'aider financièrement et de solliciter un secours au ministre des Cultes.
1904 (19 juin). Délibération du conseil municipal : "Objet. La Commune et la Fabrique prendront à leur charge les deux tiers de la dépense de 4000 fr. nécessitée par la restauration de l'église."
1904 (14 novembre). "Préfecture des Landes. Comité des Bâtiments civils. Séance du 14 novembre 1904. Présidence de M. Darrasse, vice-président du conseil de préfecture. Commune de Poyartin. Restauration de l'église. / Le comité émet un avis favorable à l'exécution du projet."
1904 (31 décembre). L'État accorde un secours de 1.500 francs à la commune de Poyartin.
1905 (13 mai). Procès-verbal d'adjudication au rabais des travaux de l'église : adjugé à "Mages père er fils" (Pierre et Marcel), entrepreneurs de travaux publics à Saugnac-et-Cambran. Autres soumissionnaires : Roche frères à Montfort.
1905 (20 juin). "Commune de Poyartin? Travaux de grosses réparations à exécuter à l'église de cette commune. Détail estimatif. Dressé par le soussigné : Montfort, le 20 juin 1905. Signé : Arnaudin."
1905 (3 décembre). Délibération du conseil municipal : "Objet. Abandon par l'État, pour la réparation du clocher de l'église, de la somme revenant au Trésor dans le rabais de 682 f. 20 auquel l'adjudication du 13 mai 1905 a donné lieu. [...] Le clocher de l'église est en mauvais état. Vu le sacrifice consenti par le Desservant de Poyartin, qui a versé la somme de 500 francs nécessaire pour parfaire le montant de la dépense de 4000 francs prévue dans le prix de restauration de l'église dressé le 20 juin 1904 [...]." "L'escalier du clocher menace ruine." Le devis consiste en : "1° Repiquage des murs. 2° Cimentage du parement intérieur du mur du clocher jusqu'à la hauteur de 1m40 au-dessus des dalles. 3° Crépissage de ces murs au-dessus de la porte cimentée. [...] 5° Peinture en blanc mat à la colle des murs intérieurs des piliers et des voûtes. 6° Remaniement de la couverture en tuiles de la nef, des bas-côtés, du porche, de la sacristie, &c. 7° Réfection du plancher dans le porche et de celui du clocher."
1908 (16 novembre). Lettre de Marcel Mages, entrepreneur de travaux publics à Saugnac-et-Cambran au préfet des Landes : adjudicataire des travaux le 13 mai 1905, il a achevé les travaux de l'église de Poyartin sous la direction de "M. Arnaudin, agent-voyer cantonal en résidence à Montfort", et demande le remboursement de son cautionnement.
1925 (6 mars). Traité de gré à gré avec "M. Pellerin à Nantes, rue Santeuil, n° 1" pour la fourniture d'une "horloge Pèlerin n° 9, marchant bien et garantie dix ans", pour la somme de 1.800 francs.
1926 (1er septembre). "Commune de Poyartin. Réparations à la charpente du clocher de l'église et réfection de la couverture en ardoises. Devis descriptif des travaux", par Jean Temboury, agent-voyer ("architecte") à Mugron, 1er septembre 1926, montant à la somme de 18.500 francs. Approuvé par le préfet des Landes le 10 septembre suivant.
1926 (13 décembre). Traité de gré à gré entre Dimulle, adjoint au maire, et Léopold Lantrade, zingueur à Montfort, pour l'exécution des travaux de couverture au clocher de l'église, pour la somme de 17.000 francs après rabais.
1926 (14 décembre) et 1927 (1er juin). Mandats de paiement à Léopold Lantrade.
1928 (2 août). Réception définitive des travaux du clocher par Lantrade, signé par l'agent-voyer Temboury.
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