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Abbaye Saint-Pierre, aujourd'hui église paroissiale Saint-Nicolas de Cellefrouin
France > Nouvelle-Aquitaine > Charente > Cellefrouin
La façade est animée par quatre contreforts-colonnes et cinq hautes arcades en plein cintre.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan de l'église, 1844 (dessin de P. Abadie).
Maulny Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Ministère de la culture, Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine
La façade en 1970.
Reible Marcel
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chevet de l'église. Cliché de 1970.
Reible Marcel
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le portail occidental de l'église a été refait au 15e siècle.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le mur sud de la nef est percée de quatre baies en plein cintre romanes. Deux épais contreforts épaulent la première travée de la nef, à l'ouest et un troisième consolide la dernière travée, à l'est.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Comme toutes les fenêtres de l'église, la baie en plein cintre de la deuxième travée du mur sud de la nef est dépourvue de décor.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les grands arcs brisés du mur sud de la nef ferment partiellement la baie de la troisième travée de la nef. Ils témoignent de l'existence d'un ancien bâtiment édifié vraisemblablement à la fin du Moyen Âge.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Un puissant massif contrefort, construit dans le prolongement du bras sud du transept, épaule la dernière travée de la nef et ferme en partie la baie qui l'éclaire.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le mur sud du court bras sud du transept est épaulé par des contreforts plats fréquemment utilisés dans l'art roman. Il a été construit avec soin, comme en témoigne l'utilisation de la pierre de taille.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le chevet est composé d'une abside semi-circulaire précédée d'une travée droite. Sur les murs de celle-ci prennent appui les absidioles (petites chapelles semi-circulaires) qui ouvrent sur les bras du transept. L'ensemble est dominé par un massif clocher carré, reconstruit au 17e siècle, qui s'élève sur la croisée du transept.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'absidiole du bras sud du transept.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Absidiole sud, vue de l'est.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Inscription insérée dans le mur de l'absidiole du bras sud du transept (REPARATION de L'EGLISE / en 1865 / WARIN ARCHITECTE | NADAUD MAIRE | MAIGRET ENTREPRENEUR. Le modillon sculpté (une femme découronnée aux yeux bandés) date de la restauration.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Des éléments sculptés (anciens modillons ?) ont été utilisés en remploi dans l'élévation sud de l'abside.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'archivolte (arc externe faisant saillie sur le mur) de la baie centrale de l'abside du chevet est très sobrement ornée d'un petit tore torsadé.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La dalle insérée au-dessus de la baie centrale du chevet est ornée de l'Agneau avec une auréole crucifère. Cette figure symbolise le Christ.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le chevet a été construit avec soin. La pierre de taille a été utilisée et des contreforts-colonnes ou plats rythment l'abside.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La fenêtre nord de l'abside du chevet.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'absidiole du bras nord a été restaurée au 19e siècle, comme en témoignent les pierres blanches de la baie, des contreforts plats et de la corniche.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le mur nord du bras nord du transept est construit avec des pierres de taille et des moellons, ce qui pourrait indiquer une construction antérieure au bras sud du transept, entièrement en pierre de taille.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bras nord du transept est prolongé par un massif contrefort, construit postérieurement, qui épaule la dernière travée du mur nord de la nef.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le mur nord de la nef est éclairé par deux baies en plein cintre et rythmé par trois petits contreforts plats qui s'arrêtent à la hauteur primitive du mur. Comme au sud, deux épais contreforts épaulent les premières et dernières travées de la nef.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La nef, vue depuis l'entrée, à l'est, vers le choeur, à l'ouest. Elle est composée d'un vaisseau central et, de chaque côté, de collatéraux (couloirs latéraux, utilisés souvent pour la circulation).
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le vaisseau central de la nef, vu du choeur vers l'entrée. Il est couvert d'une voûte en berceau plein cintre légèrement surbaissé qui repose sur de massifs piliers.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le collatéral nord de la nef est couvert d'une voûte en berceau plein cintre construit à même hauteur que la voûte du vaisseau central de la nef. Le mur est conforté par des pilastres contreforts.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le collatéral sud est, comme au nord, couvert d'une voûte en berceau plein cintre. La lumière pénètre à l'intérieur de la nef par les baies des collatéraux.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bras sud du transept est couvert en berceau plein cintre (comme le bras nord).
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le choeur est composé d'une travée droite couverte d'une voûte en berceau plein cintre et d'une abside semi-circulaire couverte en cul-de-four. Le choeur est largement éclairé par trois baies et les murs sont animés par des colonnes aux chapiteaux ornés de sobres feuillages.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Un passage couvert en plein cintre, réalisé à une date inconnue dans le mur sud de la travée droite, communique avec la chapelle du bras sud du transept. Un passage identique existe au nord.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'absidiole (chapelle avec abside semi-circulaire) du bras nord du transept.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'absidiole du bras sud du transept.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La croisée du transept est couverte par une coupole sur trompes. Elle est éclairée par deux oculi ouverts à l'est.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau de la colonne ouest du deuxième pilier sud de la nef. Il est sobrement orné de volutes dans les angles et de deux crossettes. Le reste de la corbeille est lisse.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau de la colonne ouest du pilier sud-est de la croisée du transept. Le registre inférieur est orné d'un motif de vannerie ; la pierre supérieure est ornée de feuillages qui se détachent assez peu du fond à l'exception de ceux qui font saillie aux angles.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteaux des colonnes du pilier sud-est de la croisée du transept. Ils sont composés de deux pierres superposées et ornés de feuillages.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau de la colonne nord du pilier sud-est de la croisée du transept.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteaux du pilier nord-est de la croisée du transept. Comme leurs vis-à-vis, ils sont composés de deux pierres superposées.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau de la colonne ouest du pilier nord-est de la croisée du transept. Des palmettes sortent de la bouche d'un masque et se détachent nettement du fond du chapiteau.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau de la colonne sud du pilier nord-est de la croisée du transept. Le décor (palmettes, petits "arbres") rappelle la sculpture poitevine de la fin du 11e siècle.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Choeur.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Travée droite du choeur, mur nord.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le premier modillon du mur nord de la travée droite du choeur est orné d'une tête de chèvre. Les autres modillons sont dépourvus de décor.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau de la colonne tronquée du mur nord de la travée droite du choeur.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau orné de feuillage stylisé. Colonne à gauche de la baie centrale de l'abside du choeur.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Colonne sud entre la travée droite et l'abside du choeur. La corbeille du chapiteau est ornée d'un rang de feuillage et, dans la partie supérieure, d'une petite tête humaine et de volutes.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau orné de feuilles grasses de la colonne nord de l'absidiole nord.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau orné de feuillage de la colonne sud de l'entrée de l'absidiole nord.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau de la colonne nord de l'entrée de l'absidiole sud.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Colonne sud de l'entrée de l'absidiole sud. Les arêtes juste épannelées de la corbeille sont ornées de fleurons qui encadrent une palmette centrale.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapiteau de la colonne est du mur sud du collatéral sud.
Sarrazin Christine
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Remploi inséré dans le mur nord du bras nord du transept. Lion à la tête retournée. Ce motif orne très souvent les modillons des corniches romanes.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Remploi inséré dans le mur nord du bras nord du transept. Dalle ornée de deux quadrupèdes (agneaux ?).
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Historique
Détail de l'historique
| Périodes |
Principale : 1er quart 11e siècle Principale : 4e quart 11e siècle Secondaire : 17e siècle Secondaire : 4e quart 18e siècle Secondaire : 3e quart 19e siècle |
|---|---|
| Auteurs |
Auteur :
Warin Édouard, |
Description
Détail de la description
| Murs |
|
|---|---|
| Toits |
|
| Plans |
plan en croix latine |
| Étages |
3 vaisseaux |
| Couvrements |
|
| Couvertures |
|
| Décors/Technique |
|
| Décors/Représentation |
Précision sur la représentation : Le décor sculpté de l'église est essentiellement porté par les chapiteaux du chœur et de la croisée du transept. Les corbeilles sont ornées de feuillages gras entrelacés, palmettes ou demi-palmettes, motifs de vannerie, feuilles d'acanthe. Les chapiteaux de la nef sont souvent dépourvus de décor sculpté. Les quelques motifs ornementaux existants sont des feuilles d'eau, des crossettes. Deux remplois sculptés l'un lion, le second de deux quadrupèdes (agneaux ?) sont insérés dans le mur nord du bras nord. Dans le mur sud du bras sud un médaillon circulaire porte une croix avec la main de Dieu bénissant. |
Informations complémentaires
Au cœur du village de Cellefrouin, se dresse sur les bords du Son l'imposante église Saint-Nicolas. Construite à la fin du 11e siècle, elle est un des plus anciens édifices entièrement voûtés de l'Angoumois et conserve également des rares chapiteaux sculptés en cette période.
C'est au début du 11e siècle qu'un monastère de chanoines réguliers de l'ordre de saint Augustin est établi près du Son. L'église est érigée à la fin du 11e siècle ; les bâtiments monastiques (disparus) sont construits sur son flanc nord. Les religieux ont la charge de la paroisse qui se développe autour du monastère. Si celui-ci est dédié à saint Pierre, la paroisse est placée sous le patronage, toujours actuel, de saint Nicolas.
Le monastère subit durement les guerres de Religion. Le clocher de l'église, partiellement détruit, est restauré au 17e siècle. De nouveaux travaux sont entrepris dans l'église à la fin du 18e siècle ; le sol est rehaussé d'1,30 mètre. L'abbaye est fermée à la Révolution. L'église est rouverte au culte au 19e siècle. Des restaurations y sont entreprises entre 1865 et 1878 (chevet, clocher...). En 1907, l'église est protégée au titre des monuments historiques.
L'église, seul bâtiment subsistant du monastère, est un des plus grands édifices romans du 11e siècle conservés en Angoumois. Elle présente une large nef construite en pierre de taille, un court transept et un chevet en abside aux murs plus hétérogènes, mêlant pierres de taille et moellons équarris. Les bras du transept sont dotés d'absidioles (petites chapelles semi-circulaires) qui s'appuient sur le chevet.
L'extérieur de l'édifice est sobre à l'exception de la large façade qui est animée par un décor architectural assez monumental. 5 hautes arcades se déploient de part et d'autre d'un portail gothique ; prenant appui sur les pilastres des arcades, 4 demi-colonnes montent jusqu'à la hauteur primitive du pignon. Le pourtour du chevet est également rythmé par des contreforts ou des demi-colonnes. Des éléments sculptés ont été insérés dans les mur. Une plaque ornée de l'Agneau avec une auréole frappée d'une croix est encastrée au-dessus de la fenêtre centrale du chevet ; cette image symbolise le Christ. Trois pierres sculptées sont visibles dans le mur de l'absidiole sud. Il s'agit peut-être de modillons de l'ancienne corniche romane, disparue.
À l'intérieur, l'église semble trapue du fait de l'important rehaussement du sol. La nef est divisée en un vaisseau central et deux collatéraux. Ils sont couverts à même hauteur de voûtes en berceau plein cintre qui se contrebutent mutuellement. Le chœur et les chapelles du transept sont couverts de voûtes en cul de four et une coupole, peut-être plus tardive, s'élève à la croisée du transept.
Les chapiteaux sculptés de l'église comptent parmi les plus anciens exemples romans connus en Angoumois. Ils se concentrent dans le transept et dans le chœur, les chapiteaux de la nef étant souvent nus à l'exception de quelques corbeilles ornées de feuilles d'eau ou des crossettes
Les chapiteaux des piliers orientaux de la croisée du transept porte une ornementation plus riche : feuillages, tête humaine, décors géométriques. Ces mêmes motifs se retrouvent sur certains chapiteaux des colonnes qui rythment les murs du chœur et des absidioles. Ces feuillages gras, gonflés de sève, rappellent la sculpture poitevine du 11e siècle.
Deux remplois sculptés l'un lion, le second de deux quadrupèdes (agneaux ?) sont insérés dans le mur nord du bras nord. Dans le mur sud du bras sud un médaillon circulaire porte une croix avec la main de Dieu bénissant.
| Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
|---|---|
| Référence du dossier |
IA16008585 |
| Dossier réalisé par |
Dujardin Véronique
Chercheur, service Patrimoine et Inventaire Sarrazin Christine |
| Cadre d'étude |
|
| Aire d'étude |
Poitou-Charentes |
| Phase |
étudié |
| Date d'enquête |
2014 |
| Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel |
| Citer ce contenu |
Abbaye Saint-Pierre, aujourd'hui église paroissiale Saint-Nicolas de Cellefrouin, Dossier réalisé par Dujardin Véronique, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/a9e9fb4f-434a-4132-9f07-b8d74a2240ce |
| Titre courant |
Abbaye Saint-Pierre, aujourd'hui église paroissiale Saint-Nicolas de Cellefrouin |
|---|---|
| Dénomination |
abbaye église paroissiale |
| Genre du destinataire |
de chanoines réguliers de saint Augustin |
| Vocable |
saint Pierre saint Nicolas |
| Statut |
|
|---|---|
| Protection |
|
Localisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente , Cellefrouin
Milieu d'implantation: en village
Cadastre: 1846 G 46, 2011 G 36