"22 avril 1845. Érection de l'église de Lacajunte en succursale. / Dans une ordonnance du roi Louis-Philippe, il est dit : Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit : l'église de Lacajunte est érigée en succursale. La circonscription paroissiale est le territoire de la commune. / Ordonnance épiscopale du 22 juin 1845. Par ordonnance de Mgr Lanneluc en date du 22 juin 1845, l'église de Lacajunte précédemment annexe de celle d'Arboucave, est érigée en succursale. La nouvelle succursale aura pour territoire de sa juridiction le territoire de la commune actuelle de Lacajunte. / [...] Le conseil de fabrique de l'église de Lacajunte fut installé et organisé régulièrement, en date du 1er dimanche du mois de juillet de l'an 1845. [...]
Lacajunte possède une église à deux nefs, dans un état convenable. Le cimetière est attenant à l'église. Il doit appartenir à la fabrique. Nous n'avons pas de motif de penser qu'il en soit autrement. Jusqu’au 15 avril 1861, ce cimetière était fort restreint et bien mal tenu. Depuis 1863, année de l'arrivée du desservant actuel dans cette paroisse, il était question d'agrandir le cimetière et de le mettre dans un état plus convenable. Le conseil de fabrique et le conseil municipal se concertèrent dans ce but, et parvinrent à obtenir de M. [illisible], propriétaire voisin, une parcelle de son champ en faveur de l'agrandissement de l'ancien cimetière. Les travaux de déblais et de clôture furent entrepris immédiatement. Le prix d'achat et d'une partie des travaux ont dû être payés par le desservant. [...]
Confréries. / Confrérie du Saint-Sacrement. La confrérie du Saint-Sacrement fut établie dans l'église paroissiale de St Michel de Lacajunte par M. l'abbé Peyré, curé d’Arboucave, avec autorisation spéciale de Mgr Jean Jacques Loison, évêque de Bayonne, en date du 18 [...] 1811. [...] / Le Scapulaire. La confrérie de N.D. du Mont Carmel a été établie dans l'église de Lacajunte, le 30 novembre 1845, par Mgr Lanneluc, sur la demande de M. l'abbé Daugreilh. / Chemin de la Croix. Le chemin de la Croix se trouvait établi depuis longtemps, disent les anciens, dans l'église paroissiale ; mais il a été érigé de nouveau dans l'église de Lacajunte, en date du 18 septembre 1849, sur le demande de M. Brethous, par autorisation de Mgr Lanneluc. / Rosaire. La confrérie du St Rosaire de St Dominique a été établie sur la demande du desservant dans l'église paroissiale de Lacajunte, le 15 septembre 1864, par autorisation de Mgr Louis Marie Olivier Epivent, évêque d'Aire. [...]
Église de Lacajunte. Il n'est pas possible de dire jusqu'à quelle époque remonte l'antiquité de l'église de Lacajunte comme paroisse. Les pièces justificatives telles que registres ou autres actes à ce sujet nous font défaut. / Dans les plus mauvais jours de la révolution de 1793, les partisans de la Terreur s'emparèrent des croix, tableaux, ornements, des archives et autres objets de l'église de Lacajunte. Ils en firent un bûcher et firent brûler le tout devant les portes de l'église. [...] / Nous trouvons le plus ancien document sur l’antiquité de notre église dans l'histoire de notre province où il est dit que le Protestantisme a laissé à Lacajunte, comme dans tout le midi de la France, et en particulier dans plus de deux cents églises du seul diocèse d'Aire, les plus douloureuses traces de son passage. Une cloche enlevée de l'église de Lacajunte fut brisée par les ennemis de notre religion et un calice en argent fut pris par un nommé Pompes de Pécorade.
Noms des prêtres, curés ou vicaires qui ont desservi l'église de Lacajunte. / Ladone, prêtre, 1704. [...] / Dupouy, curé, vers l’an 1790. [...] / Lalanne, prêtre assermenté, 1793. [...] / Titon Junca, prêtre, 1793. […] / M. Ducéré, curé, 1801. [...] Vers l'an 1802, M. Ducéré fut transféré à Pimbo, puis au Doyenné de Geaune. Il est mort chanoine à Aire. / Vacance. [...] Lacajunte fut desservie jusqu'à l'an 1807, chacun sa semaine, par M.M. les curés d'Arboucave et de Philondenx. [...] / Eglise de Lacajunte annexe d’Arboucave. L'an 1807 l'administration annexa l'église de Lacajunte à celle d'Arboucave. A peine l'église de Lacajunte devint-elle annexe d'Arboucave qu'elle eut la douleur de se voir sérieusement menacée de destruction par l'autorité municipale d'Arboucave. Dès l'an 1807, le conseil municipal de cette commune prit une première délibération dans ce but. L'an 1808, nouvelle délibération du conseil municipal d'Arboucave, demandant l'aliénation de l'église de Lacajunte pour en employer les fonds et produits aux réparations de l'église et du presbytère d'Arboucave. [...] / De Juncarot, curé 1809. M. Joseph Dupin de Juncarot, né à Samadet le 4 août 1762, fut nommé curé d'Arboucave en... [...] / M. Peyré, vicaire en 1810 et curé en 1811. M. Jean-Baptiste Peyré de Lalonquette envoyé vicaire en 1810, reçut en 1811 le titre de curé d'Arboucave. [...] / M. Capbern, vicaire en 1836. [...] / M. Dupouy vicaire, 1838. [...] / M. Cassaigne, vicaire en 1839. [...] / M. Dauga, curé, 1841. [...] / M. Lubel, curé en 1843. [...] / M. Daugreilh, curé, 1845. M. l'abbé Daugreilh, né à Hauriet l’an 1813, ordonné prêtre l'an 1831 (sic), fut nommé vicaire de Grenade, où il resta jusqu'à l’année 1845, époque où il fut nommé curé de Lacajunte. L'an 1847, M. Daugreilh fut transféré à la cure d'Audignon. En 1865, il fut nommé curé de Ste-Marie-de-Gosse [...] Il avait établi dans cette église de Lacajunte la confrérie du très saint sacrement, il avait érigé le chemin de la croix, il avait obtenu que le maître-autel fût privilégié. / M. l'abbé Brethous, curé en 1847. M. l'abbé Brethous Pierre, né à Vielle en 1808, ordonné prêtre en 1833, nommé vicaire à St-Pierre-du-Mont, fut nommé curé de Bats, d'Arboucave, d'Audon et puis de Lacajunte, où il arriva le 1er juillet 1847. [...] Enfin, M. Brethous fut nommé vicaire du Mas d’Aire en 1859. [...] / Il lui arrivait de revenir quelquefois à Lacajunte. Dans ses dernières années, il offrait généreusement une cloche en faveur d'une sonnerie harmonieuse telle qu'il désirait la voir établie au clocher de l'église de Lacajunte. Le desservant actuel avait fini par entrer dans ses vues. Le clocher allait voir venir une nouvelle cloche déjà fondue au nom de M. Brethous, lorsque certains habitants, des principaux, toujours ennemis du prêtre, créèrent des difficultés en faisant fermer l'ouverture du clocher où devait être suspendue la nouvelle cloche. On refusa l’objet de nos générosités par pur esprit de contradiction. [...] M. Brethous [...] est décédé dans sa maison au Mas d'Aire en 1887. / M. Cassaigne, curé, 1859. M. l'abbé Cassaigne Jean-Baptiste Firmin, né à Renung en 1823, ordonné prêtre en 1850, fut nommé [...] curé de Lacajunte en 1859 [...]. L’an 1863, il fut envoyé curé à Arthez, et en 1867 à Classun. Sous M. Cassaigne, la commune vota près de deux mille francs pour l'église. On fit plafonner la nef principale, peindre le sanctuaire, et l'autel de la Ste Vierge. [...] / M. l'abbé Dezest, curé, 10 juin 1863. M. l'abbé Dezest, né à Momuy le 18 juin 1825, ordonné prêtre en 1853, fut nommé vicaire de Grenade ; en 1857, il fut envoyé curé de Callen où il y avait à construire une église centrale. Depuis longtemps, il en était question. Enfin, toutes les difficultés furent levées. L'église centrale fut construite. [...] Le nouveau desservant prit possession de la paroisse de Lacajunte le 10 juin 1863. [...]
Travaux de l'église de Lacajunte. / Dans les guerres de religion de 1562 à 1570, l'église de Lacajunte avait eu beaucoup à souffrir des protestants. Dans un temps plus favorable, de grands travaux furent faits pour en réparer les dégâts, et le service divin continua d'y être célébré. / Depuis le 16ème siècle jusqu'au 19ème on ne dut faire aucune réparation importante à cette église. De 1807 à 1845, temps où elle était restée annexe d'Arboucave, cette église était restée fort négligée. La décence du culte demandait de sérieuses réparations. / Par ordonnance de Mgr Savy, M. l'abbé Peyré, curé d'Arboucave, fit faire, en 1836, des réparations aux ouvertures, aux lambris de l'église. Il fit faire à neuf le maître-autel. Au fond du bas côté de l'autel de la Ste Vierge, se trouvait une chambre où l'on faisait l'école. Cette chambre avait une petite croisée, et sa porte d’entrée s'ouvrait du côté de la terrasse du presbytère. M. l'abbé Peyré fit disparaître cette chambre et l'église s’agrandit d’environ cinq mètres de long sur quatre de largeur vis-à-vis l'autel de la Ste Vierge. / M. l'abbé Brethous fit faire l'autel actuel de la Ste Vierge, sous le vocable de Notre-Dame des SS. Anges ; il fit plafonner le bas côté, le tout en 1854, par M. Spazzy, plâtrier à St-Sever. En 1857, M. Brethous fit renouveler le pavé de l'église. Pour sa part, il fit un don (?) de 140 francs dont il n'avait jamais été remboursé. Sous M. Brethous, la vieille cloche du poids de 133 kilogrammes s'était brisée. On la fit refondre à Samadet. / L'an 1862, M. l'abbé Cassaigne fit plafonner la nef principale de l'église. On dut refaire alors le mur fortement du chevet de l'église. On y trouva une grande croisée murée, derrière le tableau à fresque de St Michel. Les pierres de taille servirent à la construction d'une nouvelle porte faite à la sacristie, pour communiquer directement avec le presbytère, travail bien utile. La sacristie trop petite venait aussi d'être agrandie. [...] / Encouragé par ce qui venait d'être fait, tout le sanctuaire ayant été bien décoré par des peintures murales faites par M. Fortuné, bien connu dans le pays, le successeur de M. Cassaigne, dès son arrivée dans cette paroisse, se mit à l'œuvre pour procurer ce qui manquait. / Il s'occupa d'abord de la sacristie où la plupart des ornements étaient en lambeaux et déclarés depuis longtemps hors d'usage. Le vestiaire était fort petit. Il n'y avait pas d'armoire convenable. [...] Il fallait recourir à des souscriptions volontaires. C'est ce qu’il fit, tout le monde voulut y prendre part. Un beau vestiaire fut fait, et les ornements nécessaires furent acquis. En 1866 et 1867, on s'occupa, autant que possible, à assainir les murs de l'église fort humides. On enleva beaucoup de terres au cimetière le long des murs de l'église ; on pose des dalles tout le long du bas côté et à la façade principale du presbytère. [...] / Vers la fin du 18ème siècle, la foudre était tombée sur le clocher et avait brisé une croix de pierre qui le couronnait. Depuis lors, selon l'expression de M. le doyen de Geaune, prêtre délégué en 1836 par Mgr Savy, il n'y avait pas à l'église pour ainsi dire de clocher. En 1867, on fit faire certains travaux. On plaça au sommet une belle croix en pierre et, sur les côtés, deux jolis clochetons en pierre surmontés d'une boule et d'une petite croix en fer battu, le tout peint à l'huile. / Les murs extérieurs de l'église étaient noirs, n'ayant jamais été crépis. Les cailloux dont ils sont faits étaient à découvert. En 1867, on fit crépir, polir et blanchir ces murs. / La façade de l'église ressemblait, selon l'expression de M. le doyen, à un pigeonnier. En 1868, on fit disparaître, devant le porche, les parois ou cloisons en chaume. L'intérieur du porche fut crépi et blanchi. On dressa un arceau pour de nouvelles portes. Cet arceau fut surmonté d'un clocheton en maçonnerie où l'on ménagea une niche convenable à recevoir une statue de la Ste Vierge avec bouquets. Ce qui fut fait à la grande satisfaction de tout le monde. La boiserie placée au-dessus des portes, garnie de vitraux en couleur, une belle guirlande en peinture avec l'inscription encadrée : O Marie, notre mère, priez pour nous. Et une nouvelle inscription au-dessus des secondes portes : Domus mea, domus orationis, avec la représentation d’un bel ostensoir et autres décors en peinture, tout cela présente un aspect fort gracieux [...]. / En 1875, feu Damazon (?) Lafargue de Nougué avait laissé quatre cents francs pour une mission. Il fallait s'y préparer le mieux possible. Au fond de l'église, une simple échelle d'emprunt conduisait à la tribune. Bien sûr, en temps de mission, il y aurait eu des accidents. Il fallait un escalier. Les fonts baptismaux n'étaient pas fermés et occupaient de la place au bas de l’église. Certaines croisées avaient aussi besoin de réparations. [...] Sans retard on se mit à l’œuvre. On établit un escalier tournant vers la tribune ; on plafonna tout le tour de cet escalier et le dessous de la tribune. Pour les fonts baptismaux, on fit une jolie chambrette voûtée en dehors du corps de l'église, du côté du cimetière, au moyen d'une ouverture pratiquée dans le mur par un plâtrier de Samadet. Deux tableaux de Notre Dame de Lourdes et de St Jean-Baptiste ornent le sanctuaire et les fonts baptismaux. Les sujets à fresques furent rafraîchis ainsi que les peintures murales des deux autels. Quatre statues du Sacré-Cœur, N.D. du sacré cœur, de St Joseph, de St Louis de Gonzague, avec des inscriptions analogues, placées le plus convenablement possible ; trois vitraux à la place de trois croisées abîmées, tous ces objets donnent à l'église un aspect qui porte à la piété et au recueillement. [...] / Vers la même époque, les vases sacrés (calice, St ciboire, ostensoir) en mauvais état, furent réparés et redorés. Une partie de l'argent laissé par feu Dassazou (Damazon ?) Lafargue de Nogué servit à payer cette dépense. L'église de Lacajunte ne possédait qu'un petit calice dont le pied est en cuivre. En 1869, un calice plus convenable fut demandé pour Lacajunte à Sa Majesté l'Empereur Napoléon III. La demande fut favorablement accueillie et l'église de Lacajunte reçut un magnifique calice en vermeil estimé plus de 300 francs.
Clocher et cloches de Lacajunte. / Le clocher de l'église de Lacajunte d’un seul mur a été exhaussé d’environ 3 mètres en 1877. On y a ménagé deux ouvertures égales de 2m de haut et 1m de large pour y suspendre deux cloches nouvelles, l’une d'un poids de 316 kilogrammes, l'autre du poids de 164 kilogrammes. Depuis longtemps, l'église de Lacajunte ne possédait qu'une cloche du poids de 133 kilogrammes, bien insuffisante pour le service paroissial. L'an 1876, la commune voulut la remplacer par un autre plus grande. Elle s'entendit avec M. Dencausse, fondeur de cloches à Tarbes. Lacajunte reçut une bonne cloche d'airain du poids de 316 kilogrammes, au prix de 4 francs le kilogramme, et un joug, système nouveau en fonte, au prix de 50 francs les 100 kilogrammes... prix total 1421 francs, somme que la commune trouva dans la caisse municipale, y compris 399 francs, prix estimé de la vieille cloche à raison de 3 francs le kilogramme. Lorsque le moment de payer la nouvelle cloche arriva, les gens de Lacajunte regrettèrent d'avoir engagé la vieille cloche. On désirait la conserver. Dans ce but, on proposa une souscription volontaire qui fut acceptée. Les principales familles se mirent en tête de cette souscription, en versant chacune la somme de 40 francs. M.M. le desservant, le Maire et l'Adjoint firent le tour de la commune et la collecte produisit la somme de 478 francs, plus qu'il n’en fallait pour retenir la vieille cloche. Tout le monde fut satisfait de cet heureux résultat. On restait maître de la vieille cloche. L'harmonie de ces deux cloches laissait beaucoup à désirer. Le desservant profita de cette circonstance pour offrir à la commune de lui abandonner une bonne partie de ses avances faites en son nom dans d'autres temps et pour des besoins urgents. [...] Il partit bientôt pour Tarbes. Il alla trouver M. Dencausse. Il lui demanda une nouvelle cloche, faite dans les meilleures conditions, pour la mettre en bonne harmonie avec celle déjà fournie à l'église de Lacajunte. Tout fut convenu au mieux, et une nouvelle cloche arriva. La première avait été bénie le 21 9bre 1876 [...] et la seconde fut bénie le 7 8bre 1877. [...]. Par cette nouvelle acquisition, l'église de Lacajunte jouit d’une bonne sonnerie. [...] La sonnerie de la vieille cloche ne se mêlait pas trop mal à la sonnerie des deux cloches neuves. Le desservant en profita pour faire de nouvelles propositions favorables à la commune, comme les registres de la fabrique le constatent. (La commune avait enfin consenti à laisser au desservant la propriété de la vieille cloche, en échange de la 2ème cloche neuve qu’il ferait venir). Les nouvelles propositions faites alors à la commune furent rejetées d'une façon peu convenable. Le desservant, peu satisfait, fit disparaître cette vieille cloche et en disposa en faveur de sa paroisse natale [Momuy] qui fut toute heureuse de ce bienfait. / La cloche principale est sous le patronage de la Ste Famille. Son nom est Marie Joseph avec l'inscription suivante : Cor Jesu Sacratissimum, miserere nobis – Cor Mariæ Immaculatum, ora pro nobis – Cor sancti Josephi, ora pro nobis. / La seconde cloche plus petite s'appelle : Marie-Jean-Baptiste-Michel (patron de la paroisse) Pierre et Paul (2ds patrons de l'église). Parrain : Jean Bte Dezert, curé de la paroisse et bienfaiteur. Marraine, Marie Hontang-Dezest (mère du parrain).
Dimensions de l'église de Lacajunte. / L'église de Lacajunte a deux nefs, à simples plafonds, presque d'égale longueur. Longueur des portes à la balustrade : 13 mètres 50 centimètres. Largeur de la nef et du bas côté ensemble : 8 mètres 60 centimètres. Longueur depuis la balustrade jusqu'au chevet de l’église : 8 mètres. Largeur depuis la balustrade jusqu'à l'autel : 4 mètres. Longueur depuis la balustrade jusqu’à l'autel de la Ste Vierge : 3 mètres 70 centimètres. Largeur depuis la balustrade jusqu'à l'autel de la Ste Vierge : 4 mètres 60 centimètres."
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