Ferme, actuellement maison

France > Nouvelle-Aquitaine > Charente-Maritime > Saint-Jean-de-Liversay

Des bâtiments apparaissent déjà à cet emplacement sur le plan cadastral de 1811. Il s'agit sans doute déjà d'une ferme qui appartient alors à Paul Gaucher, demeurant à Ferrières (décédé en 1822 à Saint-Sauveur-d'Aunis). Le cadastre indique une reconstruction en 1881, pour le compte de François Petit (né en 1828), cultivateur, époux de Madeleine Raymond. L'essentiel des bâtiments actuels remonte sans doute à cette date. Les recensements des années 1890 mentionne les époux Petit-Raymond, ainsi que Jean Petit, cultivateur, né en 1823, époux de Clémence Bridonneau, et pour lequel le cadastre indique la construction d'une écurie en 1888.

Périodes

Principale : 4e quart 19e siècle

La ferme est un exemple de ferme à bâtiments séparés. Ses différents bâtiments sont répartis autour d'une vaste cour accessible, notamment, à l'ouest par un portail à piliers maçonnés. Le logis s'élève au nord de la cour. Plusieurs dépendances (grange, étable, chai ?) lui sont accolées, dans son prolongement ou en appentis à l'arrière. A cela s'ajoutent d'autres dépendances, en particulier, au sud-ouest, un grand hangar agricole en pierre. Le corps principal du logis présente en façade trois travées d'ouvertures, réparties symétriquement autour de la porte centrale. Les encadrements sont saillants.

Murs
  1. Matériau du gros oeuvre : calcaire

    Mise en oeuvre : moellon

    Revêtement : enduit

Toits
  1. tuile creuse
Étages

1 étage carré

Élévations extérieures

élévation ordonnancée

Couvertures
  1. Forme de la couverture : toit à longs pans

Typologie
  1. Ferme à bâtiments séparés
  2. Dépendances en appentis à l'arrière
  3. 3

Localisation

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente-Maritime , Saint-Jean-de-Liversay , 2 rue de la Prairie

Milieu d'implantation: en écart

Lieu-dit/quartier: Normandie

Cadastre: 1811 C 640, 2019 ZX 78

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