Tannerie Beausoleil et Bonnamour, puis Tannerie Imbert (vestiges)

France > Nouvelle-Aquitaine > Dordogne > Saint-Pardoux-la-Rivière

Les tanneries Beausoleil et Bonnamour sont mentionnées dès 1821. En 1884, elles sont acquises par Jean Imbert, qui fait construire un séchoir en 1896. Entre 1918 et 1929, une deuxième phase de construction comprend des hangars, des laveries en ciment, des ateliers et une salle des machines. Au cours des années 1930, Maurice Imbert, ingénieur-chimiste, dote l'usine de nouvelles machines, dont des machines à lisser installées en 1937. La tannerie Imbert compte près d'une trentaine d'ouvriers pour la fabrication du cuir à semelle avant sa fermeture au début des années 1960. L'ensemble des bâtiments est détruit en 1968.

Périodes

Principale : 1er quart 19e siècle

Secondaire : 2e quart 20e siècle

Le site de la tannerie Imbert se trouve le long de la Dronne en aval immédiat de la tannerie Chamont (IA24005207).

Hormis un petit bâtiment, des murets et l'accès bordant la rivière, il ne reste rien des bâtiments et des ses cuves enterrées. Aujourd'hui, un jardin arboré comble cet espace.

L'actuel propriétaire, fils de tanneur, conserve un banc à décharner les peaux et quelques outils.

Murs
  1. Matériau du gros oeuvre : calcaire

    Mise en oeuvre : moellon

Toits
  1. tuile creuse
Plans

plan régulier

Couvertures
  1. Forme de la couverture : toit à longs pans

État de conservation
  1. détruit

Localisation

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Dordogne , Saint-Pardoux-la-Rivière , rue des Tanneries

Milieu d'implantation: en village

Cadastre: 1818 C 4 1932-1933, 2017 C 1906, 3915

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