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Les phares et signaux de l'estuaire de la Gironde
Ce court métrage documentaire de la collection Vidéoguide Nouvelle-Aquitaine, premier d’une série de 4 épisodes consacrés au patrimoine de l’estuaire de la Gironde, propose un tour d’horizon historique, architectural et géographique des phares de ce territoire et de leurs multiples ancêtres. Il s’inscrit dans le cycle thématique Patrimoine maritime et fluvial qui compte à ce jour 12 vidéos.
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La Gironde, une voie navigable aménagée
Embarquons pour comprendre les contraintes de la navigation dans l'estuaire de la Gironde et les différents aménagements réalisés par l'homme pour faciliter le passage des bateaux dans les deux chenaux situés de part et d'autre d'un chapelet d'îles. Ces dernières d'abord constituées naturellement ont ensuite été équipées de digues pour devenir des terres cultivables, avant d'être en partie rendues à la végétation et à la faune sauvage.
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Le Phare de Cordouan, gardien de l'estuaire
Dans cette vidéo, nous vous emmenons visiter le phare de Cordouan, joyau de la Renaissance situé en pleine mer. Vous y découvrirez l'histoire de ce "phare des rois", aujourd'hui inscrit au Patrimoine Mondial de l'UNESCO, et ses différentes salles présentées par l'un de ses gardiens, Pierre Cordier.
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Les sites défensifs de l'estuaire de la Gironde
Voguons au fil des siècles à la découverte des constructions défensives anciennes et plus modernes édifiées sur les rives de l'estuaire, depuis les villages fortifiés de type castrum jusqu'aux bunkers de la Deuxième Guerre Mondiale, en passant par la forteresse de Blaye, le fort Médoc et le fort Pâté.
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Les quais de la Dordogne à Beaulieu
Les quais de la Dordogne sont aujourd’hui un lieu de promenade et de plaisance, mais pendant des siècles la rivière était tantôt un obstacle à franchir, tantôt une voie de transport pour les marchandises. Revivez, grâce à cette vidéo agrémentée de nombreuses images d’archives, l’histoire fluviale de Beaulieu, avec ses ponts, ses gabares et ses « passeuses d’eau ».
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Les curiosités de la pêche dans l'estuaire de la Gironde
L’estuaire de la Gironde était autrefois peuplé d’esturgeons qui, grâce à leurs précieux œufs, ont fait la richesse des pêcheurs et des fabricants de caviar. Mais un autre poisson étrange peuple les eaux. Il s’agit du maigre, qui se pêche l’oreille ! Découvrez tout cela à travers cette séquence vidéo.
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Les aménagements du paysage autour de Talmont-sur-Gironde
Dans cette interview, Jean-Michel Laloue, du Conservatoire du littoral, nous explique comment la main de l’homme a transformé le paysage autour de Talmont-sur-Gironde et nous présente les projets récents d’entretien des terres.
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Le Fâ, une cité portuaire antique sur l'estuaire de la Gironde
Au-delà de la pointe du Caillaud, sur la commune de Barzan, à moins d’un kilomètre d’ici, s’ouvre une baie dans laquelle existait un port gallo-romain de première importance. Nous vous présentons en vidéo cette agglomération antique, dont les vestiges sont encore visibles au site et musée du Fâ.
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La pêche au carrelet
Ces curieuses cabanes au-dessus de l’eau sont des carrelets, utilisés pour la pêche. René Bénéteau, pêcheur amateur, nous fait une démonstration de cette pratique de la pêche de loisir.
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La Sèvre Niortaise et ses moulins
Ce charmant petit cours d’eau est en réalité un fleuve côtier, que nous vous invitons ici à découvrir en vidéo. Parmi ses nombreux moulins, nous nous attardons sur celui devant lequel débute ce parcours : le Moulin l’Abbé, dont les mécanismes fonctionnent toujours.
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Le paysage de l'estuaire de la Gironde et son évolution Naturelle
Saviez-vous que Talmont-sur-Gironde était autrefois un petit îlot calcaire séparé du rivage de l’estuaire ? Cette première vidéo vous raconte comment s’est formé le paysage actuel de la rive droite de l’estuaire, depuis la formation lente des marais jusqu’à leur assèchement par la main de l’Homme.
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L'arsenal de Rochefort
L'arsenal de Rochefort, vaste chantier de construction, réparation et équipement de la marine française, a été créé sur la rive droite de la Charente en 1666, sous le règne de Louis XIV. Le roi de France avait besoin de nombreux navires de guerre pour tenir tête aux pays rivaux, notamment l’Angleterre et la Hollande, dans un monde où le contrôle de la navigation maritime était un enjeu tout aussi politique et économique que militaire.
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Les phares de l'estuaire de la Charente
Les bateaux qui souhaitent accéder à la Rade de l’île d’Aix et à l’embouchure de la Charente doivent éviter les zones périlleuses des rochers des Baleines à l’extrémité nord-ouest de l’île de Ré et du rocher d’Antioche au nord-est de l’île d’Oléron. Dès la fin du 17e siècle, pour sécuriser l’accès à l’arsenal de Rochefort, Colbert a ordonné la construction de deux phares à l’entrée de l’estuaire. Aujourd'hui ce sont 7 signaux lumineux de différentes catégories qui indiquent la voie navigable.
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Les forts de l'embouchure de la Charente
Pour assurer la défense de l'arsenal de Rochefort, un ensemble de 14 forts et redoutes a été établi à partir de la fin du 17e siècle autour de l’entrée de l'estuaire, pour empêcher les flottes des pays ennemis, notamment Anglais et Hollandais, de remonter le fleuve jusqu’à Rochefort et pour sécuriser la rade de l’île d’Aix où les navires de la marine royale étaient armés.
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La navigation sur la Charente (entre Saintes et l'Océan)
La Charente est un fleuve utilisé depuis l’antiquité pour le transport de matériaux et de marchandises. Entre Angoulême et Cognac, le cours d’eau a été aménagé dès le Moyen Âge pour devenir navigable. Plus en aval, entre Cognac et l’océan, c'est au 19e siècle, avec l’intensification du trafic commercial et l’arrivée de bateaux à plus forts tirants d’eau, que d’importants aménagements ont été réalisés pour améliorer la navigation dans cette partie du fleuve située en Charente-Maritime.