Église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur

France > Nouvelle-Aquitaine > Landes > Saint-Yaguen

L'église de Saint-Yaguen est mentionnée dans le Liber rubeus de la cathédrale de Dax (seconde moitié du XIIe siècle) sous le vocable obscur de Sanctus Aginus, devenu Aganus dans les Rôles gascons de 1289 (tome II, n° 1589), puis Saint-Agané vulgairement Saint-Jacques au XVIIIe siècle (procès-verbal de visite de Mgr de Suarez d'Aulan en 1740). Les tentatives des érudits du XIXe siècle, dont le chanoine Daugé, de rattacher "Yaguen" à l'espagnol "Iago" (Jacques), au prétexte que le bourg était une étape sur le chemin de Compostelle, semblent dépourvues de fondement. A une époque indéterminée du Moyen Âge, l'église devient une dépendance du prieuré Saint-Caprais de Pontonx (sur l'Adour), fondé en 980 par le vicomte Retord de Tartas. Après le rattachement de ce prieuré au chapitre de la cathédrale de Dax au XVIIe siècle, elle est donnée, sous le nom de Saint-Agan, à l'ancien prieur Louis d'Albret avec les autres annexes de la cure de Tartas.

L'édifice actuel, en dépit de l'uniformité apparente imposée par la restauration intérieure des années 1960, est une construction complexe, constituée d'éléments d'époques diverses. Le plus ancien est l'abside en hémicycle, seul vestige du plan roman d'origine à vaisseau unique, qui correspond certainement au Sanctus Aginus cité dans le Liber rubeus. Ce petit bâtiment subit d'importantes transformations au début du XIIIe siècle : d'une part, l'allongement de la nef d'une travée occidentale (plus large d'un mètre que la travée orientale), calée à l'ouest par un clocher-mur ; d'autre part, l'ajout, au nord du vaisseau, d'une chapelle de deux travées terminée en absidiole semi-circulaire, dont le cul-de-four reçoit au même moment un cycle de peintures dédié à la Vierge, titulaire de la chapelle. Au XIVe siècle, les troubles liés à la guerre de Cent Ans contraignent sans doute la communauté de Saint-Yaguen, dépourvue de fortifications, à renforcer les capacités défensives de l'église : le chevet est augmenté d'une surélévation fortifiée et le clocher-mur se voit adjoindre deux tours latérales, qui lui donneront sa silhouette "trinitaire" originale.

L'époque moderne n'apporte que des modifications mineures à l'édifice, hormis la destruction probable de la voûte en pierre de la nef (qui aurait remplacé à une date indéterminée le lambris originel) lors du passage des troupes protestantes en 1569, et la reprise complète du décor peint de la chapelle de la Vierge vers le début du XVIIe siècle.

Aux XIXe et XXe siècles, en revanche, de lourdes interventions affectent l'aspect de l'église. Quelques travaux de réparation sont effectués sous la monarchie de Juillet suite à des menaces d'interdiction épiscopale (1844) : réfection des corniches et lambris en 1845, installation d'un nouvel escalier à la tribune et remplacement du plafond de la nef en 1846, etc. L'arrivée à la tête de la paroisse, en 1870, de l'abbé Louis Desbordes (1841-1925) accélère la mise en œuvre d'un vieux projet d'agrandissement de l'édifice, devenu insuffisant pour les besoins de la population en expansion. En 1870-1871, l'entrepreneur montois Édouard Glatz, sur des plans (5 février 1869) de l'architecte départemental Alexandre Ozanne, allonge la chapelle nord vers l'ouest pour la transformer en un véritable collatéral de même longueur que la nef, ajoute un bas-côté en pendant au sud (en perçant pour ce faire le gouttereau du XIIIe siècle) et remplace la vieille sacristie sud (ancienne chapelle Sainte-Madeleine, propriété d'un particulier tombée en déshérence) par une vaste sacristie empâtant l'hémicycle du chevet à l'est et au sud (inaugurée le 1er janvier 1871). Les trois vaisseaux et l'abside romane reçoivent des voûtes en briques et plâtre. On abat en outre divers corps de bâtiment (dont sans doute un presbytère et un grenier) accolés à une époque indéterminée à l'angle sud-ouest du vaisseau (ils sont visibles sur les plans cadastraux du début du XIXe siècle et de 1825). Le manque de ressources empêche toutefois l'exécution de la totalité du projet de 1869, qui n'est parachevé qu'une trentaine d'années plus tard. En 1889, les décorateurs bordelais Augier et Millet couvrent murs et voûte du chœur de peintures ornementales. En 1903-1904, enfin, l'architecte Henri Depruneaux construit un porche contre le mur occidental du clocher-mur et remanie profondément celui-ci (obturation des niches des cloches, création de nouvelles galeries de circulation sur la face orientale, réfection des toitures) ; les travaux, adjugés le 1er août 1903 aux entrepreneurs Laurent Labat et Jean-Baptiste Sourigues, sont achevés le 10 mars 1904 (réception définitive). L'année suivante, le même Depruneaux agrandit la sacristie, "trop petite pour contenir les ornements".

Après cette ultime campagne d'agrandissement, seuls des travaux d'entretien sont effectués dans la première moitié du XXe siècle, dont une reprise des fondations par l'architecte dacquois Albert Pomade et l'entrepreneur local Jean-Baptiste Miremont en 1927. Dans les années 1950-1960, à l'initiative du curé Jean Mauvoisin, une série de travaux vise à moderniser et à "épurer" l'aspect intérieur de l'église : nouvelle porte d'entrée par l'entrepreneur Raymond Bergalonne en octobre 1958, pose de verrières modernes en dalle de verre par l'Albigeois Raymond Clercq-Roques en 1963, suppression en 1960-1963 de la quasi-totalité du mobilier ancien (XVIIe-XVIIIe siècles) et badigeonnage des peintures décoratives des murs et voûtes (J.J. Ponse, 1871, et Augier et Millet, 1889) par les entrepreneurs Louis Labadie et Mouchel. Les peintures (XIIIe et XVIIe siècle) du cul-de-four de la chapelle nord, en revanche, sont restaurées et mises en valeur. L'intérêt de ce décor vaut à l'édifice son inscription à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 2004.

Périodes

Principale : milieu 12e siècle

Principale : 1er quart 13e siècle (incertitude)

Secondaire : 14e siècle

Secondaire : 1er quart 17e siècle

Secondaire : 2e quart 19e siècle

Principale : 3e quart 19e siècle

Secondaire : 1er quart 20e siècle

Dates

1846, daté par source

1870, daté par source

1904, daté par source

Auteurs Auteur : Ozanne Alexandre

Né à Bonneboscq (Calvados) le 21 novembre 1828, mort à Dax le 18 novembre 1888 et inhumé au cimetière Saint-Pierre de cette ville. Ingénieur civil, architecte départemental des Landes de 1859 à 1879. Fils de Célestin Ozanne (1797-1870) et de Florentine Prévost (1805-1881) ; marié en premières noces, le 28 avril 1857 à Bordeaux, avec Jeanne Mathilde Brousse († Bordeaux, 17 juillet 1858) ; marié en secondes noces, le 25 février 1862 à Dax, avec Anne Clary Mène (Dax, 12 avril 1831 - Dax, 11 mars 1924), fille de Pierre Paul Mène (1792-1866), notaire, et de Marie Amélie Bonnecaze (1797-1877). Il eut du premier lit une fille, Mathilde Isabelle Jeanne (1858-1929), Mme Eugène Levassor, du second lit deux autres filles, Marie Amélie Célestine (1863-1942), épouse en 1890 d'Eugène Louis Joseph Deschamps, sous-commissaire de la Marine, et Joséphine Anne Marguerite (1864-1954).

, architecte départemental (attribution par source)
Auteur : Abadie Louis

Entrepreneur à Luz-Saint-Sauveur (Hautes-Pyrénées) dans la seconde moitié du XXe siècle.

, entrepreneur (attribution par source)
Auteur : Depruneaux Henri Edmé Xavier

Henri Depruneaux ou Dépruneaux, né à Yport (Seine-Inférieure) le 18 avril 1867, mort le 20 septembre 1953. Élève de l'école des Beaux-Arts (promotion 1886) ; architecte de la succursale de la Banque de France à Mont-de-Marsan (août 1893), architecte de la ville de Mont-de-Marsan (octobre 1893), puis architecte de l'administration des hospices ; inspecteur des travaux diocésains d'Aire (23 décembre 1893, après Jules François Dupouy) ; architecte diocésain d'Aire (30 novembre 1896, après Louis Henri Lafillée) ; officier d'académie (3 janvier 1904). D'après : Répertoire des architectes diocésains du XIXe siècle (Jean-Michel Leniaud, dir.), École des chartes.

, architecte diocésain (attribution par source)
Auteur : Pomade Albert

Architecte né le 31 Janvier 1880 à Mont-de-Marsan et mort à Dax le 31 décembre 1957. Marié le 17 décembre 1919 à une riche héritière argentine, Ana Celia Vasquez, il est diplômé de l'École des Beaux-Arts de Paris. Il s'installe à Dax en 1903 et succède en 1908 à Edmond Ricard comme architecte municipal. Ses principales réalisations dans la ville sont les arènes (1913), les bains Saint-Pierre (1924), l'hôtel des Postes (1927), l'hôtel Splendid (1929, en collaboration avec André Granet), la maison de repos du Lanot et de nombreuses maisons et villas. En dehors de Dax, on lui doit d'autres villas à Hossegor, Soustons, Saint-Vincent-de-Tyrosse ou Hendaye, ainsi que les arènes de Saint-Sever (1932).

, architecte (attribution par source)
Auteur : Clavery ou Claverie Arnaud

Arnaud Clavery ou Claverie, maître-charpentier à Saint-Yaguen (Landes). Né à Saint-Yaguen le 5 novembre 1783 et mort dans la même commune le 1er avril 1842 ; fils de Pierre Claverie et de Françoise Larrère ; marié à Saint-Yaguen, le 30 avril 1802, avec Marie Loubès (Sainte-Croix, 4 juin 1772 - morte avant 1842), fille de Jean Loubès et de Jeanne Cazenave, dont trois fils nés à Saint-Yaguen : Vital (15 thermidor an XI / 3 août 1803), Pierre (10 brumaire an XIV / 1er novembre 1805) et Jean Clavery ou Claverie (16 mai 1807 - 25 février 1848), charpentier à son tour, marié à sa cousine Catherine Loubès (1812-1838) à Saint-Yaguen le 25 septembre 1832, puis le 27 novembre 1838 à Marie Magdelaine Loubère. Source : AD Landes, 4 E 417/6.

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Auteur : Glatz Jean Édouard

Jean dit Édouard Glatz, né à Mont-de-Marsan le 29 août 1821 et mort avant 1920 ; fils de Jean Glatz, menuisier, et de Jeanne Dumartin, et frère d'Anne Julia Glatz (1816-1888), épouse de Pascal Castandet, entrepreneur de maçonnerie à Mont-de-Marsan. Marié à Mussidan (Dordogne), le 9 juin 1851, avec Antoinette Beau (Mussidan, 26 décembre 1830 - Mussidan, 27 décembre 1920), fille de Jean Beau aîné dit Genty, marchand de farines, et de Jeanne Gimel. Le couple eut deux enfants : Jeanne (Mussidan, 1852-1854) et Jean Édouard (Mussidan, 15 avril 1857).

Jean dit Édouard Glatz fut d'abord directeur des forges de Lavauze et domicilié à Sourzac (Dordogne) - documenté en cette qualité en 1851-1857 - puis devint avant 1869 entrepreneur à Mont-de-Marsan.

, entrepreneur (attribution par source)
Auteur : Gervais Charles

Pierre Ratouin, dit Charles Gervais, né à Bordeaux (rue des Piliers de Tutelle) le 5 frimaire an XII (27 novembre 1803) et mort à Mont-de-Marsan le 6 avril 1872 ; fils de Pierre Ratouin (Bordeaux, 1770 - Mont-de-Marsan, 23 janvier 1846), bottier à Bordeaux (frère de François Ratouin dit Gervais, cordonnier à Bordeaux) et de Jeanne Malfagueyra (morte à Bordeaux entre 1825 et 1846), et frère de Rosalie (Bordeaux, 29 décembre 1802 - Paris 8e, 23 septembre 1847, mariée à Bordeaux, le 3 février 1825, avec Léonard Théodore Loiseau, cuisinier à Paris), et de Charles Ratouin (Bordeaux, 7 thermidor an XIII / 26 juillet 1805). Déclaré à la naissance sous le seul nom de Pierre Ratouin, il prit pour nom d'emprunt le surnom de son oncle paternel (Gervais) et changea son prénom de Pierre en Charles (celui de son frère cadet décédé). Les documents concernant son activité professionnelle le nomment toujours "Charles Gervais", l'acte de son mariage "Pierre Ratouin dit Gervais" (il le signe "Pierre Ratouin dit Ch. Gervais" et s'y rajeunit de deux ans, se déclarant né le 27 novembre 1805) et celui de son décès "Pierre Ratouin". Marié à Mont-de-Marsan, le 15 juillet 1847, avec Rose dite Rosalie Labarthe (Mont-de-Marsan, 15 mai 1826 - ?), fille de Lupert Labarthe, boulanger à Mont-de-Marsan, et de Josèphe Déjean (l'un des témoins du mariage fut Charles O'Brumier, agent-voyer à Saint-Sever), il en eut un fils, Marie Louis Charles Ratouin dit Gervais (Saint-Sever, 20 septembre 1850 - ?), négociant en vin à Saint-Sever (Landes). Sources : AD Gironde, 4 E 873 (naissance) ; AD Landes, 4 E 402/05 (mariage), 4 E 192/89-90 (décès).

Commissaire voyer de l'arrondissement de Saint-Sever (1829-1834), conducteur des chemins vicinaux (1834 -1836), puis agent voyer de première classe (1837-1860) du même arrondissement (Sorbets lui succéda), enfin agent voyer en chef du département des Landes à Mont-de-Marsan (1862-1867) (Loustau lui succéda). Sources : Almanach du département des Landes (années 1829-1832), Annuaire administratif, judiciaire et industriel du département des Landes (années 1834-1867).

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Auteur : Labat Laurent

Jean Laurent Labat, entrepreneur de charpenterie à Doazit (Landes) au début du XXe siècle ; adjudicataire en 1903, en association avec Jean-Baptiste Sourigues, de la construction du porche de l'église de Saint-Yaguen. Né à Banos le 11 août 1878 ; fils de Jean Labat et de Jeanne Noguez, cultivateurs à Doazit. Marié à Doazit, le 1er décembre 1901, avec Marie Plassin (Audignon, 19 octobre 1881 - ?), fille d'Arnaud Plassin et de Jeanne Fesentieu, cultivateurs à Audignon, dont un fils, Gaston (12 février 1904).

, entrepreneur de charpenterie (attribution par source)
Auteur : Sourigues Jean-Baptiste

Jean-Baptiste Sourigues, entrepreneur à Doazit (Landes) au début du XXe siècle ; adjudicataire en 1903, en association avec Jean Laurent Labat, de la construction du porche de l'église de Saint-Yaguen. Né à

, entrepreneur (attribution par source)
Auteur : Miremont Jean-Baptiste

Jean-Baptiste Miremont, entrepreneur de charpenterie à Saint-Yaguen (Landes) dans la première moitié du XXe siècle. Né le 12 février 1879 à Saint-Yaguen et mort dans la même commune le 4 septembre 1948 ; fils de Jean Miremont, charpentier, et de Jeanne Larrère. Marié le 22 novembre 1903, à Saint-Yaguen, Marguerite Dubès (Uza, 7 août 1881 - Saint-Yaguen, février 1969), fille de Laurent Dubès, régisseur à Saint-Yaguen, et de Jeanne Ducasse, dont deux enfants : Laurent Jean (1909-1974) et Ida Marie (1913-2000), en 1936 Mme Albert Constant. Source : Geneanet.

, entrepreneur de charpenterie (attribution par source)

L'église, autrefois entourée par un cimetière (déplacé en 1847), est un édifice orienté à trois vaisseaux d'égale longueur, bâti en moyen appareil de grès (chevet) et en moellon calcaire (vaisseaux, clocher) entièrement enduit. La couverture est en tuiles creuses, à l'exception de celles du clocher, dont la toiture à trois pavillons est couverte de tuiles plates en écailles, et de la tourelle d'escalier, couverte en pierre.

Le chevet roman en hémicycle comporte une corniche portée par une série de modillons non sculptés (biseautés ou galbés) et par deux contreforts-colonnes sans chapiteau. La fenêtre d'axe à double ébrasement (bouchée) est le seul vestige des percements romans. Au-dessus de la corniche, une surélévation aveugle témoigne d'une campagne tardive de fortification. Le chevet est presque totalement empâté jusqu'à mi-hauteur, sur ses faces est et sud, par une large sacristie moderne.

Les trois vaisseaux, d'époques différentes, sont composés de deux longues travées oblongues et couverts de voûtes modernes en plein cintre, en brique enduite. Le vaisseau central, dont la travée occidentale est plus large d'un mètre que celle de l'est, est prolongé par une travée droite de chœur, elle-même terminée par l'abside romane semi-circulaire voûtée en cul-de-four. L'arc triomphal du chœur, en plein cintre, repose sur de simples pilastres nus. Le vaisseau central communique avec les collatéraux par des grandes arcades en plein cintre, dont seule celle du nord-est est ancienne (bien que remaniée). Des fenêtres en plein cintre à ébrasement appareillé éclairent les deux collatéraux.

Le clocher adossé à l'élévation occidentale, à l'origine un simple mur percé de deux arcades campanaires, est constitué d'une partie centrale (l'ancien mur remanié) flanquée de deux tours carrées, celle du sud abritant un escalier. La face orientale de la partie centrale et de la tour nord est obturée par une structure de bois recouverte d'un bardage au niveau inférieur et formant galerie ouverte à cinq poteaux au niveau supérieur ("chambre" des cloches). Une tourelle ronde d'escalier est accolée à l'angle nord-ouest. Un large porche moderne de plan rectangulaire, avec portail sur la face sud et mur-pignon percé d'une fenêtre en triplet du coté ouest, s'adosse au mur du clocher dans le prolongement du vaisseau central. Ce porche, ainsi que le mur gouttereau du bas-côté sud, sont raidis par des contreforts talutés.

Murs
  1. Matériau du gros oeuvre : grès

    Mise en oeuvre : pierre de taille

  2. Matériau du gros oeuvre : calcaire

    Mise en oeuvre : pierre de taille

  3. Matériau du gros oeuvre : calcaire

    Mise en oeuvre : moellon

    Revêtement : enduit

Toits
  1. tuile creuse, tuile plate
Plans

plan allongé

Étages

3 vaisseaux

Couvrements
  1. voûte en berceau plein-cintre cul-de-four
Couvertures
  1. Forme de la couverture : toit à longs pans

    Partie de toit : croupe ronde

  2. Forme de la couverture : toit en pavillon

  3. Forme de la couverture : toit à deux pans

Escaliers
  1. Emplacement : escalier hors-oeuvre

Décors/Technique
  1. vitrail (étudié)
  2. sculpture
  3. peinture (étudié)
Décors/Représentation
  1. Representations : dent de scie


Précision sur la représentation :

Dents de scie sur l'archivolte de la fenêtre axiale (murée) du chevet roman. Colonnettes à chapiteau feuillagé de part et d'autre de la porte sud néoromane du porche.

Localisation

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Landes , Saint-Yaguen

Milieu d'implantation: en village

Cadastre: 2017 E 468

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