Fonderie de cuivre du Palais
France > Nouvelle-Aquitaine > Haute-Vienne > Le Palais-sur-Vienne
Vue aérienne de l'ensemble du site. Au premier plan à droite, le moulin Juriol. En second plan et accolée à la voie ferrée, la fonderie de cuivre, les bâtiments administratifs et d'installations sociales, l'atelier de forge et les bâtiments industriels.
Rivière Philippe, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Pièce annexe 1 : plan général de l'usine dès 1970.
Vey Jean-Louis, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Pièce annexe 2 : vue générale de l'usine dès 1970.
Vey Jean-Louis, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan masse d'après le plan cadastral de 2005.
Vey Jean-Louis, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan d'ensemble de l'usine selon la configuration prévue à l'origine. Il est identique aux dispositions actuelles, à l'exception du bâtiment d'étirage (coulée du produit fini) non encore défini.
Rivière Philippe, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan et coupe du bâtiment de fonderie avec détails techniques.
Rivière Philippe, Société Hennebique
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan et coupe du bâtiment d'électrolyse.
Rivière Philippe, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Dessin technique et plan d'ensemble de l'installation des fours de fusion (implantés dans le bâtiment de fonderie).
Rivière Philippe, Parsy P. (ingénieur)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Dessin technique de la machine à vapeur installé à l'origine dans le bâtiment de forge (petits ateliers de réparation).
Rivière Philippe, Société alsacienne de construction
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Dessin technique d'un pont roulant électrique (moyen de transport des marchandises lourdes indispensables et disposé dans chaque bâtiment).
Rivière Philippe, Société de construction et de location d'appareils de levage
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Coupe du premier projet de château d'eau (non conforme à sa configuration actuelle).
Rivière Philippe, Fumisterie industrielle Treuil Auclair et cie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan et coupe d'un magasin d'expédition, non réalisé. Il observe les mêmes caractéristiques architecturales que les autres bâtiments du site. Ce plan porte au dos, mention de l'architecte, déjà présent sur les plans de la centrale électrique.
Rivière Philippe, Portevin (architecte)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan d'ensemble de l'usine montrant une configuration architecturale comparable à celle d'aujourd'hui.
Rivière Philippe, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Implantation de la fonderie alors appelée société C. G. Dur. A noter, l'embranchement sur la ligne de chemin de fer. Les trois plus importants bâtiments correpondent aux trois grandes étapes de transformation du cuivre.
Rivière Philippe, Pimpaud C. (géomètre)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne
Vue d'ensemble de l'usine depuis la partie basse de la cité ouvrière.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Vue depuis l'avenue Maryse Bastié : anciens bâtiments d'électrolyse.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le pavillon d'accueil à droite et les anciens bureaux de la fonderie, à gauche. Aujourd'hui, cette entrée est empruntée par la société Valdi.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
L'ancien bâtiment administratif de la fonderie, aujourd'hui partiellement occupé par la société Valdi, servant de bureaux et de laboratoire.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Entrée du bâtiment administratif avec accés au rez-de-chaussée au laboratoire et au premier étage, par l'escalier muni d'une rampe en cuivre, aux bureaux.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le bâtiment administratif : le premier étage.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le bâtiment administratif, au rez-de-chaussée, le laboratoire.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le bâtiment administratif, au rez-de-chaussée, le laboratoire.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le château d'eau et le bâtiment utilisé à l'origine, par la fonderie, pour les installations à vocation sociale (cantine, vestiaires, douches, infirmerie...).
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Les vestaires des ouvriers de la fonderie, aujourd'hui désaffectés.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le château d'eau et le bâtiment de forge (petites réparations) en partie utilisé comme bureaux par la société Valdi.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le bâtiment de forge (dévolue aux petites réparations du matériel d'usinage, encore effectuées dans la partie droite du bâtiment), la partie gauche accueille les bureaux de la société Valdi.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le bâtiment de forge depuis le niveau inférieur, à gauche les anciens bâtiments de fonderie.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
A droite, les cheminées du four de l'ancien bâtiment de fonderie. A gauche, le bâtiment de forge.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le quai de déchargement à l'origine prévu pour accueillir des trains de marchandises (les rails sont encore en place), aujourd'hui utilisés par les camions.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
A proximité du quai de déchargement, l'aire de stockage aujourd'hui utilisé par la société Valdi.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Vue depuis le quai de déchargement de l'ancien bâtiment de fonderie et d'une aire de stockage ouverte. La Fonderie bénéficiait d'un accès direct sur la ligne Toulouse-Paris, des wagonnets sur rails transportaient les marchandises à l'intérieur de l'usine.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
A gauche, l'ancien bâtiment d'électrolyse, à droite, l'ancien bâtiment de fonderie et sa cheminée.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
L'intérieur de l'ancien bâtiment de fonderie, occupé aujourd'hui par la société Valdi. En arrière plan, le four en cours de réparation.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Vue depuis l'extrémité sud-ouest du site, des rails de desserte de l'usine, d'une aire de stockage, des anciens bâtiments de fonderie, d'électrolyse et d'étirage. Le dernier appartient encore à la fonderie, les autres sont utilisés par la société Valdi.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
L'ancien bâtiment d'électrolyse. A droite, la cheminée du four Asarco encore utilisé par la fonderie.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
L'ancien bâtiment d'électrolyse, aujourd'hui occupé par la société Valdi.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
L'intérieur de l'ancien bâtiment d'électrolyse, aujourd'hui utilisé comme entrepôt par la société Valdi. A noter, la structure en béton en arc cintré.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
L'ancien bâtiment d'étirage, seul bâtiment encore occupé par la FCP réalisant encore la dernière étape de transformation du métal (cuivre en billettes) prêt à être vendu.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Détail des pignons de l'ancien bâtiment d'étirage.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Intérieur d'une partie de l'ancien bâtiment d'étirage, servant de stockage à la Fonderie. A noter : la structure métallique.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Déchets ou mitrailles de cuivre (teneur 95 à 98%) prêts à être fondus pour épuration.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le four Asarco réalisant la coulée de produit fini. Entrée du four, mitraille de cuivre en cours de fusion.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le four Asarco : au second plan, la chambre de fusion, au premier plan, la coulée.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le four Asarco, levée du banc de coulée.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
La four Asarco : rangement du banc de coulée pendant le refroidissement des billettes de cuivre.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le four Asarco : sortie des billettes (teneur en cuivre de 99, 99%) après leur coulée et leur refroidissement.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Le four Asarco : sortie des billettes (teneur en cuivre de 99, 99%) après leur coulée et leur refroidissement.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Intérieur du bâtiment d'étirage ou de coulée du produit fini. Au premier plan, dépôt des billettes de cuivre après leur sortie du four. Au second plan, le four Asarco, installé en 1968.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Découpe des billettes de cuivre avant leur emballage pour le transport.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
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Titre : Fonderie de cuivre du Palais
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Période : 1ère moitié 20e siècle
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Localisation : Haute-Vienne , Le Palais-sur-Vienne , 49 avenue Aristide-Briand
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Limoges périphérie
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Phase du dossier : repéré
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Date d'enquête : 2005
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Auteur du dossier : Lazaj Jehanne
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Historique
La fonderie de cuivre du Palais est la structure productive de la Compagnie générale d'électrolyse du Palais (IA87000158). Elle transforme un métal à teneur en cuivre de 90 à 98% en cuivre pratiquement pur (99,9%), par la fonte (réalisation d'anodes), puis par l'électrolyse (transfert du cuivre), puis enfin par la fusion (coulée du produit fini). La construction de l'usine, le long de la voie de chemin de fer Toulouse-Paris, est réalisée entre 1917 et 1920 (date de la première coulée). Sont alors construits deux bâtiments d'armatures métalliques et de toitures en nef de béton armé : l'atelier d'électrolyse (comportant alors 500 cuves) et la fonderie d'anodes (abritant trois fours). Sur le côté est, est implantée une cité ouvrière provisoire en bois appelée "cité nègre". Elle est remplacée en 1927 par la fonderie de produits finis (contenant deux fours) partageant son espace et ce, jusqu'à sa fermeture en 1956, avec un atelier d'étirage dévolu aux autres métaux traités ponctuellement sur le site (ex : aluminium). Entre 1920 et 1930, sont construits parallèlement et selon une même esthétique, au nord du site, un bâtiment de bureaux et de laboratoire, un poste de gardien et des bâtiments pour activités annexes industrielles (ex : bâtiment de forge pour les réparations de matériels) ou sociales (ex : cantine ou infirmerie). A contrario des modernisations régulières et constantes du matériel de production (comme l'installation du four Asarco en 1968 et encore en fonction aujourd'hui), les bâtiments ne subissent pratiquement aucune modification (seule est à noter la transformation du chemin de roulement métallique du bâtiment d'électrolyse en 1980). La vente, en 1999, d'une grande partie du site à la société Valdi, spécialisée dans le traitement des déchets industriels spéciaux et plus spécifiquement métallurgiques, n'a pas modifié l'aspect architectural des installations.
Détail de l'historique
| Périodes |
Principale : 1ère moitié 20e siècle |
|---|---|
| Dates |
1920, daté par travaux historiques 1927, daté par travaux historiques |
Description
L'usine est installée entre à l'est, la voie de chemin de fer Paris-Toulouse, avec laquelle elle a un accès privilégié, à l'ouest l'avenue Maryse Bastié et au sud, l'avenue Aristide Briand ainsi que la cité ouvrière. Le site industriel est composé d'un bâtiment de gardien (avenue Maryse Bastié), d'un bâtiment de bureaux et de laboratoire, d'un bâtiment dévolue au service (cantine, vestiaire et infirmerie), d'un petit atelier de réparation (bâtiment de forge), d'un quai de déchargement, d'un château en béton et de trois grands ateliers de travail du cuivre. Deux de ces derniers, construits en même temps, sont caractérisés par une structure en métal remplie de béton armé (mur et couverture en sheds ovoïdes percés de lanterneaux en verre). Disposés parallèlement, ils comptent chacun trois ou quatre nefs en rez-de-chaussée. Le troisième plus récent a été édifié perpendiculairement en moellon de granit et en brique. Il est percé de très grandes ouvertures rectangulaires sur pignon. Composé de trois nefs, il est couvert d'une triple toiture à longs pans en tuile mécanique, ajourée de lanterneau en verre. Le bâtiment administratif est en granit, mis en oeuvre en moyen appareil, et percé de fenêtres doubles dont les jambages et les appuis sont marqués par un bandeau décoratif. D'un étage carré, il est coiffé d'un toit à longs pans et de croupes en tuile mécanique. Les autres bâtiments sont en granit et couverts de toits à longs pans en tuile mécanique, à l'exception du bâtiment de services couvert d'un toit terrasse en matériaux synthétiques. Le dénivelé naturel du terrain est mis à profit dans les principes circulatoires du site.
Détail de la description
| Murs |
|
|---|---|
| Toits |
|
| Étages |
1 étage carré, rez-de-chaussée |
| Couvertures |
|
Informations complémentaires
| Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
|---|---|
| Référence du dossier |
IA87000159 |
| Dossier réalisé par |
Lazaj Jehanne
|
| Cadre d'étude |
|
| Aire d'étude |
Limoges périphérie |
| Phase |
repéré |
| Date d'enquête |
2005 |
| Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole |
| Citer ce contenu |
Fonderie de cuivre du Palais, Dossier réalisé par Lazaj Jehanne, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/2d932e2c-ac6a-4ba9-834b-c971066a7b4a |
| Titre courant |
Fonderie de cuivre du Palais |
|---|---|
| Dénomination |
fonderie |
| Précisions sur la dénomination |
fonderie de cuivre |
| Appellation |
Fonderie de cuivre du Palais |
| Parties constituantes non étudiées |
atelier conciergerie quai laboratoire château d'eau bureau |
| Statut |
|
|---|---|
| Intérêt |
|
Documents d'archives
AD Haute-Vienne. Bib 40J1: SIMON, Anthony. Du cuivre en Limousin: la raffinerie du Palais-sur-Vienne de 1917 à 1982. Mémoire de maîtrise d'histoire contemporaine, sous la direction de André Gueslin. Clermond-Ferrand: Université Blaise Pascal. 1992-1993.
ISBD/Commentaire :
AD Haute-Vienne. Bib 40J1 : SIMON, Anthony. Du cuivre en Limousin : la raffinerie du Palais-sur-Vienne de 1917 à 1982. Mémoire de maîtrise d'histoire contemporaine, sous la direction de André Gueslin. Clermond-Ferrand : Université Blaise Pascal. 1992-1993.
AP FCP: Ensemble de plans et d´archives concernant l´entreprise et ses différentes installations (documents non cotés, plans numérotés).
ISBD/Commentaire :
AP FCP : Ensemble de plans et d´archives concernant l´entreprise et ses différentes installations (documents non cotés, plans numérotés).
Bibliographie
SIMON, Anthony. L'usine du Palais, une raffinerie de cuivre en Limousin: 1917-1982. Extrait des Cahiers d'histoire de l'Aluminium, hiver 1994-1995. Paris. 38 p.
Mention : p. 22-57
ISBD/Commentaire :
SIMON, Anthony. L'usine du Palais, une raffinerie de cuivre en Limousin : 1917-1982. Extrait des Cahiers d'histoire de l'Aluminium, hiver 1994-1995. Paris. 38 p.
Galerie d'images 51
Vue aérienne de l'ensemble du site. Au premier plan à droite, le moulin Juriol. En second plan et accolée à la voie ferrée, la fonderie de cuivre, les bâtiments administratifs et d'installations sociales, l'atelier de forge et les bâtiments industriels.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, auteur inconnu
Pièce annexe 1 : plan général de l'usine dès 1970.
Auteur de l'illustration : Vey Jean-Louis, auteur inconnu
Pièce annexe 2 : vue générale de l'usine dès 1970.
Auteur de l'illustration : Vey Jean-Louis, auteur inconnu
Plan masse d'après le plan cadastral de 2005.
Auteur de l'illustration : Vey Jean-Louis, auteur inconnu
Plan d'ensemble de l'usine selon la configuration prévue à l'origine. Il est identique aux dispositions actuelles, à l'exception du bâtiment d'étirage (coulée du produit fini) non encore défini.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, auteur inconnu
Plan et coupe du bâtiment de fonderie avec détails techniques.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, Société Hennebique
Plan et coupe du bâtiment d'électrolyse.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, auteur inconnu
Dessin technique et plan d'ensemble de l'installation des fours de fusion (implantés dans le bâtiment de fonderie).
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, Parsy P. (ingénieur)
Dessin technique de la machine à vapeur installé à l'origine dans le bâtiment de forge (petits ateliers de réparation).
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, Société alsacienne de construction
Dessin technique d'un pont roulant électrique (moyen de transport des marchandises lourdes indispensables et disposé dans chaque bâtiment).
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, Société de construction et de location d'appareils de levage
Coupe du premier projet de château d'eau (non conforme à sa configuration actuelle).
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, Fumisterie industrielle Treuil Auclair et cie
Plan et coupe d'un magasin d'expédition, non réalisé. Il observe les mêmes caractéristiques architecturales que les autres bâtiments du site. Ce plan porte au dos, mention de l'architecte, déjà présent sur les plans de la centrale électrique.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, Portevin (architecte)
Plan d'ensemble de l'usine montrant une configuration architecturale comparable à celle d'aujourd'hui.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, auteur inconnu
Implantation de la fonderie alors appelée société C. G. Dur. A noter, l'embranchement sur la ligne de chemin de fer. Les trois plus importants bâtiments correpondent aux trois grandes étapes de transformation du cuivre.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe, Pimpaud C. (géomètre)
Vue d'ensemble de l'usine depuis la partie basse de la cité ouvrière.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Vue depuis l'avenue Maryse Bastié : anciens bâtiments d'électrolyse.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le pavillon d'accueil à droite et les anciens bureaux de la fonderie, à gauche. Aujourd'hui, cette entrée est empruntée par la société Valdi.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
L'ancien bâtiment administratif de la fonderie, aujourd'hui partiellement occupé par la société Valdi, servant de bureaux et de laboratoire.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Entrée du bâtiment administratif avec accés au rez-de-chaussée au laboratoire et au premier étage, par l'escalier muni d'une rampe en cuivre, aux bureaux.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le bâtiment administratif, au rez-de-chaussée, le laboratoire.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le bâtiment administratif, au rez-de-chaussée, le laboratoire.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le château d'eau et le bâtiment utilisé à l'origine, par la fonderie, pour les installations à vocation sociale (cantine, vestiaires, douches, infirmerie...).
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Les vestaires des ouvriers de la fonderie, aujourd'hui désaffectés.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le château d'eau et le bâtiment de forge (petites réparations) en partie utilisé comme bureaux par la société Valdi.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le bâtiment de forge (dévolue aux petites réparations du matériel d'usinage, encore effectuées dans la partie droite du bâtiment), la partie gauche accueille les bureaux de la société Valdi.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le bâtiment de forge depuis le niveau inférieur, à gauche les anciens bâtiments de fonderie.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
A droite, les cheminées du four de l'ancien bâtiment de fonderie. A gauche, le bâtiment de forge.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le quai de déchargement à l'origine prévu pour accueillir des trains de marchandises (les rails sont encore en place), aujourd'hui utilisés par les camions.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
A proximité du quai de déchargement, l'aire de stockage aujourd'hui utilisé par la société Valdi.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Vue depuis le quai de déchargement de l'ancien bâtiment de fonderie et d'une aire de stockage ouverte. La Fonderie bénéficiait d'un accès direct sur la ligne Toulouse-Paris, des wagonnets sur rails transportaient les marchandises à l'intérieur de l'usine.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
A gauche, l'ancien bâtiment d'électrolyse, à droite, l'ancien bâtiment de fonderie et sa cheminée.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
L'intérieur de l'ancien bâtiment de fonderie, occupé aujourd'hui par la société Valdi. En arrière plan, le four en cours de réparation.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Vue depuis l'extrémité sud-ouest du site, des rails de desserte de l'usine, d'une aire de stockage, des anciens bâtiments de fonderie, d'électrolyse et d'étirage. Le dernier appartient encore à la fonderie, les autres sont utilisés par la société Valdi.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
L'ancien bâtiment d'électrolyse. A droite, la cheminée du four Asarco encore utilisé par la fonderie.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
L'ancien bâtiment d'électrolyse, aujourd'hui occupé par la société Valdi.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
L'intérieur de l'ancien bâtiment d'électrolyse, aujourd'hui utilisé comme entrepôt par la société Valdi. A noter, la structure en béton en arc cintré.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
L'ancien bâtiment d'étirage, seul bâtiment encore occupé par la FCP réalisant encore la dernière étape de transformation du métal (cuivre en billettes) prêt à être vendu.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Intérieur d'une partie de l'ancien bâtiment d'étirage, servant de stockage à la Fonderie. A noter : la structure métallique.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Déchets ou mitrailles de cuivre (teneur 95 à 98%) prêts à être fondus pour épuration.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le four Asarco réalisant la coulée de produit fini. Entrée du four, mitraille de cuivre en cours de fusion.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le four Asarco : au second plan, la chambre de fusion, au premier plan, la coulée.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
La four Asarco : rangement du banc de coulée pendant le refroidissement des billettes de cuivre.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le four Asarco : sortie des billettes (teneur en cuivre de 99, 99%) après leur coulée et leur refroidissement.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Le four Asarco : sortie des billettes (teneur en cuivre de 99, 99%) après leur coulée et leur refroidissement.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Intérieur du bâtiment d'étirage ou de coulée du produit fini. Au premier plan, dépôt des billettes de cuivre après leur sortie du four. Au second plan, le four Asarco, installé en 1968.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Découpe des billettes de cuivre avant leur emballage pour le transport.
Auteur de l'illustration : Rivière PhilippeLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Haute-Vienne , Le Palais-sur-Vienne , 49 avenue Aristide-Briand
Milieu d'implantation: isolé
Cadastre: 2005 (AD 23 à 25, 166 à 168, 170 à 177)
Pièce annexe 1 : plan général de l'usine dès 1970.
Vey Jean-Louis, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Pièce annexe 2 : vue générale de l'usine dès 1970.
Vey Jean-Louis, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan masse d'après le plan cadastral de 2005.
Vey Jean-Louis, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan d'ensemble de l'usine selon la configuration prévue à l'origine. Il est identique aux dispositions actuelles, à l'exception du bâtiment d'étirage (coulée du produit fini) non encore défini.
Rivière Philippe, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan et coupe du bâtiment de fonderie avec détails techniques.
Rivière Philippe, Société Hennebique
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan et coupe du bâtiment d'électrolyse.
Rivière Philippe, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Dessin technique et plan d'ensemble de l'installation des fours de fusion (implantés dans le bâtiment de fonderie).
Rivière Philippe, Parsy P. (ingénieur)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Dessin technique de la machine à vapeur installé à l'origine dans le bâtiment de forge (petits ateliers de réparation).
Rivière Philippe, Société alsacienne de construction
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Dessin technique d'un pont roulant électrique (moyen de transport des marchandises lourdes indispensables et disposé dans chaque bâtiment).
Rivière Philippe, Société de construction et de location d'appareils de levage
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Coupe du premier projet de château d'eau (non conforme à sa configuration actuelle).
Rivière Philippe, Fumisterie industrielle Treuil Auclair et cie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan et coupe d'un magasin d'expédition, non réalisé. Il observe les mêmes caractéristiques architecturales que les autres bâtiments du site. Ce plan porte au dos, mention de l'architecte, déjà présent sur les plans de la centrale électrique.
Rivière Philippe, Portevin (architecte)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Plan d'ensemble de l'usine montrant une configuration architecturale comparable à celle d'aujourd'hui.
Rivière Philippe, auteur inconnu
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole
Implantation de la fonderie alors appelée société C. G. Dur. A noter, l'embranchement sur la ligne de chemin de fer. Les trois plus importants bâtiments correpondent aux trois grandes étapes de transformation du cuivre.
Rivière Philippe, Pimpaud C. (géomètre)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Communauté d'Agglomération Limoges Métropole, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne
Vue d'ensemble de l'usine depuis la partie basse de la cité ouvrière.
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Vue depuis l'avenue Maryse Bastié : anciens bâtiments d'électrolyse.
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Le pavillon d'accueil à droite et les anciens bureaux de la fonderie, à gauche. Aujourd'hui, cette entrée est empruntée par la société Valdi.
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L'ancien bâtiment administratif de la fonderie, aujourd'hui partiellement occupé par la société Valdi, servant de bureaux et de laboratoire.
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Entrée du bâtiment administratif avec accés au rez-de-chaussée au laboratoire et au premier étage, par l'escalier muni d'une rampe en cuivre, aux bureaux.
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Le bâtiment administratif : le premier étage.
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Le bâtiment administratif, au rez-de-chaussée, le laboratoire.
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Le bâtiment administratif, au rez-de-chaussée, le laboratoire.
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Le château d'eau et le bâtiment utilisé à l'origine, par la fonderie, pour les installations à vocation sociale (cantine, vestiaires, douches, infirmerie...).
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Les vestaires des ouvriers de la fonderie, aujourd'hui désaffectés.
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Le château d'eau et le bâtiment de forge (petites réparations) en partie utilisé comme bureaux par la société Valdi.
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Le bâtiment de forge (dévolue aux petites réparations du matériel d'usinage, encore effectuées dans la partie droite du bâtiment), la partie gauche accueille les bureaux de la société Valdi.
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Le bâtiment de forge depuis le niveau inférieur, à gauche les anciens bâtiments de fonderie.
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A droite, les cheminées du four de l'ancien bâtiment de fonderie. A gauche, le bâtiment de forge.
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Le quai de déchargement à l'origine prévu pour accueillir des trains de marchandises (les rails sont encore en place), aujourd'hui utilisés par les camions.
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A proximité du quai de déchargement, l'aire de stockage aujourd'hui utilisé par la société Valdi.
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Vue depuis le quai de déchargement de l'ancien bâtiment de fonderie et d'une aire de stockage ouverte. La Fonderie bénéficiait d'un accès direct sur la ligne Toulouse-Paris, des wagonnets sur rails transportaient les marchandises à l'intérieur de l'usine.
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A gauche, l'ancien bâtiment d'électrolyse, à droite, l'ancien bâtiment de fonderie et sa cheminée.
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L'intérieur de l'ancien bâtiment de fonderie, occupé aujourd'hui par la société Valdi. En arrière plan, le four en cours de réparation.
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Vue depuis l'extrémité sud-ouest du site, des rails de desserte de l'usine, d'une aire de stockage, des anciens bâtiments de fonderie, d'électrolyse et d'étirage. Le dernier appartient encore à la fonderie, les autres sont utilisés par la société Valdi.
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L'ancien bâtiment d'électrolyse. A droite, la cheminée du four Asarco encore utilisé par la fonderie.
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L'ancien bâtiment d'électrolyse, aujourd'hui occupé par la société Valdi.
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L'intérieur de l'ancien bâtiment d'électrolyse, aujourd'hui utilisé comme entrepôt par la société Valdi. A noter, la structure en béton en arc cintré.
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L'ancien bâtiment d'étirage, seul bâtiment encore occupé par la FCP réalisant encore la dernière étape de transformation du métal (cuivre en billettes) prêt à être vendu.
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Détail des pignons de l'ancien bâtiment d'étirage.
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Intérieur d'une partie de l'ancien bâtiment d'étirage, servant de stockage à la Fonderie. A noter : la structure métallique.
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Déchets ou mitrailles de cuivre (teneur 95 à 98%) prêts à être fondus pour épuration.
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Le four Asarco réalisant la coulée de produit fini. Entrée du four, mitraille de cuivre en cours de fusion.
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Le four Asarco : au second plan, la chambre de fusion, au premier plan, la coulée.
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Le four Asarco, levée du banc de coulée.
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La four Asarco : rangement du banc de coulée pendant le refroidissement des billettes de cuivre.
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Le four Asarco : sortie des billettes (teneur en cuivre de 99, 99%) après leur coulée et leur refroidissement.
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Le four Asarco : sortie des billettes (teneur en cuivre de 99, 99%) après leur coulée et leur refroidissement.
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Intérieur du bâtiment d'étirage ou de coulée du produit fini. Au premier plan, dépôt des billettes de cuivre après leur sortie du four. Au second plan, le four Asarco, installé en 1968.
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Découpe des billettes de cuivre avant leur emballage pour le transport.
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Découpe des billettes de cuivre avant leur emballage pour le transport.
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Après découpe des billettes, leur rassemblement avant conditionnement.
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Vue aérienne de l'ensemble du site. Au premier plan à droite, le moulin Juriol. En second plan et accolée à la voie ferrée, la fonderie de cuivre, les bâtiments administratifs et d'installations sociales, l'atelier de forge et les bâtiments industriels.
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