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Vue vers le nord-ouest d’un méandre de la Vienne et d’une partie du centre-ville en 2018.
Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) 4 Vents - Photographie aérienne

Chauvigny sur la carte dite de Cassini, levée en 1765-67 ; noter la présence du vignoble, à l'ouest du territoire, très dense du faubourg de l'Aumônerie à l'écart de Virec.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Gallica.Bnf

Chauvigny sur la carte d'État-Major, levée en 1842 ; le vignoble, en violet, est toujours présent.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Le centre-ville de Chauvigny, entre 1922 et 1934.
Bellet Jérôme
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Représentation schématique des enceintes urbaines de Chauvigny aux 15e et 16e siècles.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Évolution de la surface bâtie dans le centre-ville de Chauvigny (1832-1950-2023).
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Constitution du territoire actuel de Chauvigny.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Occupation des sols de Chauvigny d'après CORINE Land Cover 2018.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Vue de la ville haute dessinée depuis le bord du Talbat vers 1840.
Puisilieux-Drausin
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers

Vue de la ville haute prise en 1883, probablement depuis les alentours du lieu-dit Montaigu.
Tranchant Suzanne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers

La place du Marché et la Halle-Mairie en 1882, un jour de marché.
Perlat Alfred
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers

Le centre-ville au début du 20e siècle ; vue vers le nord-ouest, probablement depuis la rue du Poirier.
Inventaire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

La ville haute au début du 20e siècle ; vue vers le sud-ouest.
Inventaire
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le centre-ville avant 1913 : le quai du Maquis n'existe pas encore, l'arche visible à droite du pont correspond à la sortie du Montauban canalisé ; vue vers l'est.
Inventaire
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le quai du Maquis peu après son inauguration en 1913 ; vue vers l'est.
Bellet Jérôme
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Société de Recherches Archéologiques du Pays Chauvinois

La Talbat avant 1922 ; vue vers l'est depuis la rue du Moulin Saint-Just.
Inventaire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

La ville haute entre 1918 et 1933 ; vue depuis le sud. La cheminée visible au centre-gauche de l'image est celle de l'usine de production d'électricité.
Gossin (photographe)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers

Chargement d'un bloc de pierre sur un camion à la carrière d'Artiges au début du 20e siècle.
Deneyer Marc
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives privées

Le centre-ville, après 1964 ; vue aérienne partielle vers le nord-ouest.
Inventaire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Vue vers le nord-est de la Vienne et d’une partie du centre-ville.
Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) 4 Vents - Photographie aérienne

Vue vers le sud depuis le donjon.
IbooCRÉATION
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Le centre-ville en 2022 ; vue partielle vers l'est depuis le cimetière de la rue de Poitiers.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

La ville haute en 2018 ; vue vers l'ouest depuis le panorama de la rue de Bellevue.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

La ville basse en 2018 ; vue partielle vers le sud depuis la ville haute.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

La ville basse en 2018 ; vue partielle vers le sud depuis la ville haute.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Le Jardin Jacques Toulat en 2018 ; vue partielle vers le sud-est depuis la ville haute.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

La vallée de la Vienne et les ponts en 2018 ; vue vers le sud.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Le château des Évêques en 2016 ; vue aérienne oblique vers le nord.
Geofit
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Le château des Évêques en 2023 ; vue vers le nord depuis le bord du Talbat.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

Le Talbat derrière l'hôtel de ville en 2018 ; vue vers l'ouest.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

L'église et le cimetière de Saint-Pierre-les-Églises en 2018 ; vue d'ensemble depuis le sud-est.
Bellet Jérôme
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Une loge en pierre sèche liée à l'ancien vignoble, en 1977.
Sailhan Pierre
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Société de Recherches Archéologiques du Pays Chauvinois

L'écart de la Caronnière en 2021 ; vue depuis le sud-est.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

La vallée de la Vienne depuis Roche David en 2021 ; vue vers le sud.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

L'écart du Moulin Milon en 2021 ; vue partielle depuis l'écart de la Chauvalière.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

La vallée du Servon (ici appelée vallée de l'Hosanne) en 2021 ; vue depuis le sud de l'écart de Villeneuve.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

L'habitat médiéval : maison du 14e siècle, dite Maison ou Logis des Templiers, rue de Châtellerault.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

L'habitat de l'Ancien Régime : maison du 17e ou 18e siècle, rue du Port.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

L'habitat du 19e siècle : une ferme construite en 1843 à Villeneuve.
Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine

L'habitat du 20e siècle : maison des années 1920, avenue Aristide Briand.
Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
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Titre : Présentation de la commune de Chauvigny
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Localisation : Vienne , Chauvigny
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Type de dossier : Dossier d'aire d'étude
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Date d'enquête : 2018
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Auteur du dossier : Bellet Jérôme , Rezé Charles
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Historique
La plus ancien témoignage d'occupation humaine connu à ce jour à Chauvigny est un abri sous roche, surnommé la Grotte de Gioux, qui a servi de façon temporaire à des chasseurs-cueilleurs entre 12 000 et 8 000 av. J.-C. L'éperon rocheux qui domine aujourd'hui le centre-ville accueille durant le néolithique et l'Âge du Bronze un premier village, qui sera abandonné à l'Âge du Fer.
Une agglomération occupée de façon continue du 1er au 4e siècle voit le jour au gué des Chirets, au lieu-dit Les Églises. En l'état actuel des connaissances, l'éperon rocheux n'est à cette époque pas occupé. Il est réinvesti aux alentours de l'an mil, avec la construction d'un premier château. C'est cette installation et celle d'un premier pont sur la Vienne qui donnent naissance au centre-ville actuel. Celui-ci, contenu par les fortifications urbaines construites à la fin Moyen Âge, garde dans les grandes lignes la même disposition durant tout l'Ancien Régime. Les aménagements qui le structurent aujourd'hui encore ont lieu au 19e siècle : construction d'un nouveau pont (le pont médiéval ayant été abandonné au 17e siècle) et création de nouvelles voies de circulation dans les sens est-ouest et nord-sud.
Le territoire actuel de Chauvigny a été constitué en plusieurs étapes au cours du 20e siècle. En 1920, la commune acquiert une petite partie du territoire de Jardres, correspondant au quartier de la gare. Fin 1946, elle fusionne avec les communes de Saint-Martial et de Saint-Pierre-les-Églises. En 1973 enfin, Pouzioux devient commune associée. Elle conserve à ce titre un maire délégué mais fait partie intégrante de Chauvigny.
Description
La commune de Chauvigny se situe sur le seuil du Poitou, dans le département de la Vienne, au croisement de la rivière du même nom et de la route reliant Poitiers à Châteauroux. Son territoire, qui comptait 7 062 habitants en 2019 et s’étend sur une surface de 96,04 km2, est occupé majoritairement par des terres agricoles.
Le centre-ville est réparti sur deux espaces, une ville haute localisée sur un éperon rocheux et une ville basse qui s'étend au pied de celui-ci. Le reste du territoire est parsemé de fermes et de hameaux d'importances variées.
Informations complémentaires
L’inventaire général du patrimoine de Chauvigny a porté sur l'ensemble du territoire de la commune et s'est déroulé durant le premier semestre 2018 puis durant les années 2020 à 2022. Il a donné lieu à l’ouverture de 1018 dossiers, parmi lesquels 909 portent sur des édifices et 109 sur des objets mobiliers.
Type de dossier |
Dossier d'aire d'étude, communal |
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Référence du dossier |
IA86012024 |
Dossier réalisé par |
Bellet Jérôme
Chargé de mission inventaire du patrimoine au sein de Grand Poitiers de début 2017 à fin 2018. Rezé Charles Chargé d'inventaire du patrimoine au sein de la Direction de la Coordination Culture - Patrimoine de Grand Poitiers, entré en fonction le 1er juillet 2019. |
Cadre d'étude |
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Date d'enquête |
2018 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine |
Citer ce contenu |
Présentation de la commune de Chauvigny, Dossier réalisé par Bellet Jérôme, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/8323aa78-e278-4400-9600-729f034fe1d8 |
Titre courant |
Présentation de la commune de Chauvigny |
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Documents d'archives
Archives départementales de la Vienne. 2 O 291 4. Biens communaux bâtis de Saint-Pierre-les-Églises,1820-1938.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 2 O 291 4. Biens communaux bâtis de Saint-Pierre-les-Églises,1820-1938.
États des sections, registres d'augmentations et de diminutions, et matrices des propriétés foncières de Chauvigny, 1834-1914.
ISBD/Commentaire :
États des sections, registres d'augmentations et de diminutions, et matrices des propriétés foncières de Chauvigny, 1834-1914.
États des sections, registres d'augmentations et de diminutions, et matrices des propriétés foncières de Pouzioux, 1835-1914.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 4P 2893 à 4P 2897
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 4P 2893 à 4P 2897. États des sections, registres d'augmentations et de diminutions, et matrices des propriétés foncières de Pouzioux, 1835-1914.
Archives départementales de la Vienne. 4P 3093 à 4P 3097. États des sections, registres d'augmentations et de diminutions, et matrices des propriétés foncières de Saint-Martial, 1834-1914.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 4P 3093 à 4P 3097. États des sections, registres d'augmentations et de diminutions, et matrices des propriétés foncières de Saint-Martial, 1834-1914.
États des sections, registres d'augmentations et de diminutions, et matrices des propriétés foncières de Saint-Pierre-les-Églises, 1834-1914.
ISBD/Commentaire :
États des sections, registres d'augmentations et de diminutions, et matrices des propriétés foncières de Saint-Pierre-les-Églises, 1834-1914.
Matrices des propriétés bâties et non bâties de Chauvigny, 1914-1951.
ISBD/Commentaire :
Matrices des propriétés bâties et non bâties de Chauvigny, 1914-1951.
Archives départementales de la Vienne. 4P 4395 à 4P 4398. Matrices des propriétés bâties et non bâties de Pouzioux, 1913-1935.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 4P 4395 à 4P 4398. Matrices des propriétés bâties et non bâties de Pouzioux, 1913-1935.
Archives départementales de la Vienne. 4P 4525 à 4P 4527. Matrices des propriétés bâties et non bâties de Saint-Martial, 1914-1931.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 4P 4525 à 4P 4527. Matrices des propriétés bâties et non bâties de Saint-Martial, 1914-1931.
Archives départementales de la Vienne. 4P 4554 à 4P 4564. Matrices des propriétés bâties et non bâties de Saint-Pierre-les-Églises, 1914-1951.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 4P 4554 à 4P 4564. Matrices des propriétés bâties et non bâties de Saint-Pierre-les-Églises, 1914-1951.
Registres paroissiaux et d'état civil de Chauvigny, 1571-1914.
ISBD/Commentaire :
Registres paroissiaux et d'état civil de Chauvigny, 1571-1914.
1881-1935. Ligne de Poitiers au Blanc. Acquisition et aliénation de terrains, permissions de voirie, communes d'Antigny et Chauvigny.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 5 s 117
ISBD/Commentaire :
1881-1935. Ligne de Poitiers au Blanc. Acquisition et aliénation de terrains, permissions de voirie, communes d'Antigny et Chauvigny.
1883-1933. Ligne de Poitiers au Blanc. Acquisition et aliénation de terrains, permissions de voirie, commune de Saint-Pierre-les-Églises [aujourd'hui commune de Chauvigny].
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 5 S 120
ISBD/Commentaire :
1883-1933. Ligne de Poitiers au Blanc. Acquisition et aliénation de terrains, permissions de voirie, commune de Saint-Pierre-les-Églises [aujourd'hui commune de Chauvigny].
Registres d'arrêtés et de délibérations de Saint-Pierre, registre de police (1790-1813), liasse de 1789-1800, inventaires mobilier communal (1929-1968), pièces état civil (1903-1925), budget commune (1927-1968), comice agricole (1950)
Lieu de conservation : Archives communales, Chauvigny
Côte : Boîte 573
ISBD/Commentaire :
Registres d'arrêtés et de délibérations de Saint-Pierre, registre de police (1790-1813), liasse de 1789-1800, inventaires mobilier communal (1929-1968), pièces état civil (1903-1925), budget commune (1927-1968), comice agricole (1950)
Registres de délibérations de Chauvigny, 1787-2018.
ISBD/Commentaire :
Registres de délibérations de Chauvigny, 1787-2018.
Archives communales de Pouzioux. Registres de délibérations de Pouzioux.
ISBD/Commentaire :
Archives communales de Pouzioux. Registres de délibérations de Pouzioux.
Registres de délibérations de Saint-Martial.
Lieu de conservation : Archives communales, Chauvigny
Côte : Boîte 570
ISBD/Commentaire :
Registres de délibérations de Saint-Martial.
Registres de délibérations de Saint-Pierre-les-Églises.
Lieu de conservation : Archives communales, Chauvigny
Côte : Boîte 568, 570, 573
ISBD/Commentaire :
Registres de délibérations de Saint-Pierre-les-Églises.
Archives départementales de la Vienne. Registres paroissiaux et d'état civil de Saint-Martial, 1679-1912.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. Registres paroissiaux et d'état civil de Saint-Martial, 1679-1912.
Archives départementales de la Vienne. Registres paroissiaux et d'état civil de Saint-Pierre-les-Églises, 1662-1914.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. Registres paroissiaux et d'état civil de Saint-Pierre-les-Églises, 1662-1914.
Documents figurés
Archives départementales de la Vienne. 4P 5843. Plan par masses de cultures de Saint-Pierre-les-Églises, 30 frimaire an XIV (21/12/1805).
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 4P 5843. Plan par masses de cultures de Saint-Pierre-les-Églises, 30 frimaire an XIV (21/12/1805).
Cadastre de Chauvigny,1832-1833, 1920.
ISBD/Commentaire :
Cadastre de Chauvigny,1832-1833, 1920.
Archives départementales de la Vienne. 4P 5196 à 4P 5200. Cadastre de Saint-Martial,1832.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne. 4P 5196 à 4P 5200. Cadastre de Saint-Martial,1832.
Cadastre de Saint-Pierre-les-Églises, 1832-1833.
ISBD/Commentaire :
Cadastre de Saint-Pierre-les-Églises, 1832-1833.
Cadastre napoléonien de Pouzioux
Lieu de conservation : Archives départementales de la Vienne, Poitiers
Côte : 4P 5160-5166
ISBD/Commentaire :
DUMEZ (géomètre de 1ère classe) et TAFFORIN (géomètre secondaire). Cadastre napoléonien de Pouzioux. Plans parcellaires, 1832.
Carte d'État-Major, feuille de Poitiers N-E, 1842.
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
Carte d'État-Major, feuille de Poitiers N-E, 1842. IGN - Remonter le Temps. [en ligne]. [27.11.2020]. Accès internet : <URL :https://remonterletemps.ign.fr/telecharger?x=0.743930&y=46.521296&z=11&layer=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN-EXPRESS.STANDARD&demat=ETATMAJOR$GEOPORTAIL:DEMAT
Carte économique du département de la Vienne [...]1905.
Lieu de conservation : Internet
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
Carte économique du département de la Vienne / dressée par les soins de la commission d'enquête de la Société "La Loire navigable" sous les auspices de la Chambre de commerce de Poitiers et de la Vienne ; M. Louis Laffitte, commissaire enquêteur. L. Sigas, Nantes, Chauvet et Cie, Paris, 1905. [en ligne]1886 "Collections patrimoniales numérisées de Bordeaux Montaigne" [30.06.2023]. Accès internet : <URL : https://1886.u-bordeaux-montaigne.fr/s/1886/item/245858#?c=&m=&s=&cv=&xywh=-1500%2C306%2C5787%2C4299
Périodiques
AUBRUN, Max. À propos de l'urbanisation de Chauvigny, Le Pays Chauvinois, n°46, 2008, p. 29-64.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : M 137
ISBD/Commentaire :
AUBRUN, Max. À propos de l'urbanisation de Chauvigny, Le Pays Chauvinois, n°46, 2008, p. 29-64.
AUBRUN, Max. Un four de potiers à l'Espinasse (Chauvigny, Vienne).
Lieu de conservation : Centre de documentation de la Société de Recherches Archéologiques du Pays Chauvinois (SRAC), Chauvigny
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
AUBRUN, Max. Un four de potiers à l'Espinasse (Chauvigny, Vienne). Le Pays Chauvinois, 2009, n°47, p. 3-8.
BARBIER, Christian. Croix monumentales du Pays Chauvinois, Le Pays Chauvinois, n°23, 1984, p. 254-263.
Lieu de conservation : Centre de documentation de la Société de Recherches Archéologiques du Pays Chauvinois (SRAC), Chauvigny
Côte : Non coté.
ISBD/Commentaire :
BARBIER, Christian. Croix monumentales du Pays Chauvinois, Le Pays Chauvinois, n°23, 1984, p. 254-263.
ENEAU Thierry, Aménagements agraires en pierre sèche en Pays Chauvinois, Cahier du pays chauvinois n° 22, 2000, 188 p.
Lieu de conservation : Région Nouvelle-Aquitaine, service de l'inventaire du patrimoine culturel, Poitiers
ISBD/Commentaire :
ENEAU Thierry, Aménagements agraires en pierre sèche en Pays Chauvinois, Cahier du pays chauvinois n° 22, 2000, 188 p.
GROSBOIS, R. La densité de la population dans les pays de brandes du département de la Vienne en 1846 et en 1946.
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
GROSBOIS, R. La densité de la population dans les pays de brandes du département de la Vienne en 1846 et en 1946. Norois, n°6, Avril-Juin 1955. p. 209-222. [en ligne] [02.02.2023]. Accès internet : https://www.persee.fr/doc/noroi_0029-182x_1955_num_6_1_1072?q=la+densit%C3%A9+de+population+dans+les+pays+de+brande
GUERRIER, Christian. Anciennes auberges ou hôtels à Chauvigny. Le Pays Chauvinois, n°43, 2005, p. 163-180.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : M 137
ISBD/Commentaire :
GUERRIER, Christian. Anciennes auberges ou hôtels à Chauvigny. Le Pays Chauvinois, n°43, 2005, p. 163-180.
GUERRIER, Christian. Anciennes auberges ou hôtels à Chauvigny (suite). Le Pays Chauvinois, n°46, 2008, p. 85-91.
ISBD/Commentaire :
GUERRIER, Christian. Anciennes auberges ou hôtels à Chauvigny (suite). Le Pays Chauvinois, n°46, 2008, p. 85-91.
GUERRIER, Christian. La rue du marché à Chauvigny. Évolution de la nature des propriétés et des activités artisanales ou commerciales au cours du XIXe siècle. Le Pays Chauvinois, n°48, 2010, p. 143-227.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : M 137
ISBD/Commentaire :
GUERRIER, Christian. La rue du marché à Chauvigny. Évolution de la nature des propriétés et des activités artisanales ou commerciales au cours du XIXe siècle. Le Pays Chauvinois, n°48, 2010, p. 143-227.
GUERRIER, Christian. Du cimetière de Saint-Léger aux grandes foires du XIXe siècle. Le Pays Chauvinois, n°51, 2013, p. 9-95.
ISBD/Commentaire :
GUERRIER, Christian. Du cimetière de Saint-Léger aux grandes foires du XIXe siècle. Le Pays Chauvinois, n°51, 2013, p. 9-95.
Loi rattachant à la commune de Chauvigny... . Journal Officiel de la République Française, N° 319, mardi 23 novembre 1920.
Mention : p. 18942
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
Loi rattachant à la commune de Chauvigny... . Journal Officiel de la République Française, N° 319, mardi 23 novembre 1920. [en ligne] [21.07.2022]. Accès internet : <URL : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2025796s/f1.item
JOLLET, André. Évolution du paysage rural du département de la Vienne, de 1830 à nos jours. Norois, n°11, Juillet-septembre 1956. p. 305-316.
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
JOLLET, André. Évolution du paysage rural du département de la Vienne, de 1830 à nos jours. Norois, n°11, Juillet-septembre 1956. p. 305-316. [en ligne] [02.02.2023]. Accès internet : <URL : https://www.persee.fr/doc/noroi_0029-182x_1956_num_11_1_1139
JOUYNEAU-DESLOGES, René Alexis. Mémoire sur la ville de Chauvigny & son territoire. Affiches du Poitou, N° 28, jeudi 15 juillet 1773, p. 110-111. [en ligne] [01.02.2023]. Accès internet : <URL :https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6564359z/f2.item.texteImage
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
JOUYNEAU-DESLOGES, René Alexis. Mémoire sur la ville de Chauvigny & son territoire. Affiches du Poitou, N° 28, jeudi 15 juillet 1773, p. 110-111. [en ligne] [01.02.2023]. Accès internet : <URL :https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6564359z/f2.item.texteImage
PITIÉ, Jean. Pour une géographie de l'inconfort des maisons rurales. [en ligne]. Norois, juillet-septembre 1969, N° 63, p. 461-490.
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
PITIÉ, Jean. Pour une géographie de l'inconfort des maisons rurales. [en ligne]. Norois, juillet-septembre 1969, N° 63, p. 461-490. [07.10.2020]. Accès internet : <URL : https://www.persee.fr/doc/noroi_0029-182x_1969_num_63_1_1661
SAILHAN, Pierre. Cent ans de chemins de fer en pays chauvinois. Le Pays Chauvinois, n°21, 1982, 60 p.
ISBD/Commentaire :
SAILHAN, Pierre. Cent ans de chemins de fer en pays chauvinois. Le Pays Chauvinois, n°21, 1982, 60 p.
SAILHAN, Pierre. L'électricité à Chauvigny.
ISBD/Commentaire :
SAILHAN, Pierre. L'électricité à Chauvigny. Le Pays Chauvinois, n°24, juillet 198, tome III, 72 p.
Bibliographie
ARBOVAL (D'), Henri. Chauvigny-sur-Vienne. Tours, Péricat, 1924.
ISBD/Commentaire :
ARBOVAL (D'), Henri. Chauvigny-sur-Vienne. Tours, Péricat, 1924.
AUBRUN, Max, GUERRIER, Christian. Chauvigny 1851-1970, 120 ans de photographies. Chauvigny, Association des Publications Chauvinoises, Mémoires, XXXIX, 2010, 464 p.
Lieu de conservation : Région Nouvelle-Aquitaine, service de l'inventaire du patrimoine culturel, Poitiers
ISBD/Commentaire :
AUBRUN, Max, GUERRIER, Christian. Chauvigny 1851-1970, 120 ans de photographies. Chauvigny, Association des Publications Chauvinoises, Mémoires, XXXIX, 2010, 464 p.
CHABOISSEAU, Marie-Claude. Les églises de Chauvigny. Chauvigny : Association des Publications Chauvinoises-A.P.C., Memoria Momenti, n°27, 2014. 93 p.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : 726.5 CHA POI
ISBD/Commentaire :
CHABOISSEAU, Marie-Claude. Les églises de Chauvigny. Chauvigny : Association des Publications Chauvinoises-A.P.C., Memoria Momenti, n°27, 2014. 93 p.
CHABOISSEAU, Marie-Claude. Les monuments aux morts de la Grande Guerre du pays Chauvinois, Memoria Momenti, n° 34, APC, Chauvigny, 2014, 112 p.
Lieu de conservation : Centre de documentation de la Société de Recherches Archéologiques du Pays Chauvinois (SRAC), Chauvigny
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
CHABOISSEAU, Marie-Claude. Les monuments aux morts de la Grande Guerre du pays Chauvinois, Memoria Momenti, n° 34, APC, Chauvigny, 2014, 112 p.
CHABOISSEAU, Marie-Claude et alii. Chauvigny, des origines au XXe siècle. Cahier du Pays Chauvinois, n°42, 2012, 351 p.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : 944.63 CHA POI
ISBD/Commentaire :
CHABOISSEAU, Marie-Claude et alii. Chauvigny, des origines au XXe siècle. Cahier du Pays Chauvinois, n°42, 2012, 351 p.
CHAMPAGNE, Alain. L'artisanat rural en Haut-Poitou : milieu XIVe-fin XVIe. Presses universitaires de Rennes, 2007, 243 p.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : CP 4970 - 944.02 CHA POI
ISBD/Commentaire :
CHAMPAGNE, Alain. L'artisanat rural en Haut-Poitou : milieu XIVe-fin XVIe. Presses universitaires de Rennes, 2007, 243 p.
CLAVEAU, James. Géologie du pays chauvinois. Éditions M.J.C. Centre Culturel Chauvigny, 1984, 100 p.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : Magasin 2 CP4 853
ISBD/Commentaire :
CLAVEAU, James. Géologie du pays chauvinois. Éditions M.J.C. Centre Culturel Chauvigny, 1984, 100 p.
DUGUET, Jacques. Petite histoire de Chauvigny.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : Magasin 2 CP 6224
ISBD/Commentaire :
DUGUET, Jacques. Petite histoire de Chauvigny. Geste éditions, 2004, 100 p.
JOUTEAU, Pol. Chauvigny, les Chauvinois. Lezay, Imprimerie A. Chopin, 1933.
ISBD/Commentaire :
JOUTEAU, Pol. Chauvigny, les Chauvinois. Lezay, Imprimerie A. Chopin, 1933.
LEBRETON, Marie. Le cimetière médiéval de Saint-Pierre-les-Églises. Le Pays Chauvinois, Bulletin de la SRAC n°48, 2010., p. 3-18.
ISBD/Commentaire :
LEBRETON, Marie. Le cimetière médiéval de Saint-Pierre-les-Églises. Le Pays Chauvinois, Bulletin de la SRAC n°48, 2010., p. 3-18.
PLICHON, Vitor. Chauvigny en Poitou : guide des touristes. s. l. n. d.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : Magasin-2 CP8-Plichon
ISBD/Commentaire :
PLICHON, Vitor. Chauvigny en Poitou : guide des touristes. s. l. n. d.
POTHET, René. GROUPE DE RECHERCHE (MJC). « La pierre de Chauvigny », APC Mémoire, XLIII, 2012.
Lieu de conservation : Centre de documentation de la direction Culture-Patrimoine de Grand Poitiers
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
POTHET, René. GROUPE DE RECHERCHE (MJC). « La pierre de Chauvigny », APC Mémoire, XLIII, 2012.
PROVOST, Michel. Carte archéologique de la Gaule. La Vienne. 86/1 et 86/2. Académie des Inscriptions et Belles-Lettres diffusion Maison des Sciences de l'Homme. Paris, 2021, 2 vol., 927 p.
Mention : p. 317-342
Lieu de conservation : Centre de documentation de la direction Culture-Patrimoine de Grand Poitiers
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
PROVOST, Michel. Carte archéologique de la Gaule. La Vienne. 86/1 et 86/2. Académie des Inscriptions et Belles-Lettres diffusion Maison des Sciences de l'Homme. Paris, 2021, 2 vol., 927 p.
RÉDET, Louis. Dictionnaire topographique du département de la Vienne [...], Paris: Imprimerie nationale, 1881. (Réédition Paris: J.-M. Williamson, 1989), 526 p.
Lieu de conservation : Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Côte : 914.463 RED
ISBD/Commentaire :
RÉDET, Louis. Dictionnaire topographique du département de la Vienne [...], Paris : Imprimerie nationale, 1881. (Réédition Paris : J.-M. Williamson, 1989), 526 p.
RIOU, Yves-Jean (dir.). Patrimoine de Poitou-Charente. Architecture et mobilier.
Lieu de conservation : Centre de documentation de la direction Culture-Patrimoine de Grand Poitiers
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
RIOU, Yves-Jean (dir.). Patrimoine de Poitou-Charente. Architecture et mobilier. C.P.P.P.C., 1998, 424 p.
SYNDICAT MIXTE POUR L’AMÉNAGEMENT DU SEUIL DU POITOU. SCOT du Seuil du Poitou – Tome 3 : Analyse de l’état initial de l’environnement. Février 2020, 514 p.
Mention : p. 6
ISBD/Commentaire :
SYNDICAT MIXTE POUR L’AMÉNAGEMENT DU SEUIL DU POITOU. SCOT du Seuil du Poitou – Tome 3 : Analyse de l’état initial de l’environnement. Février 2020, 514 p.
TRANCHANT, Charles. Notice sommaire sur Chauvigny de Poitou et ses monuments. Paris, Imprimerie Rougier et Cie, 1884 (2ème édition).
ISBD/Commentaire :
TRANCHANT, Charles. Notice sommaire sur Chauvigny de Poitou et ses monuments. Paris, Imprimerie Rougier et Cie, 1884 (2ème édition).
Multimédia
Archives départementales de la Vienne, [en ligne]. Pouzioux (Vienne, France) - Baptêmes, Mariages, Sépultures - (1773-1782), 12 juillet 1777 [11.03.2021]. Accès internet : <URL : https://archives-deux-sevres-vienne.fr/ark:/28387/vtab35a8df9165fac34/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_754e7b2dd42966ddeaa78bb7c4088f46?id=https%3A%2F%2Farchives-deux-sevres-vienne.fr%2Fark%3A%2F28387%2Fvtab35a8df9165fac34%2Fcanvas%2F0%2F31&vx=2269.43&vy=-1375.98&vr=0&vz=5.29806
Côte : collection communale 3639
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Vienne, [en ligne]. Pouzioux (Vienne, France) - Baptêmes, Mariages, Sépultures - (1773-1782), 12 juillet 1777 [11.03.2021]. Accès internet : <URL : https://archives-deux-sevres-vienne.fr/ark:/28387/vtab35a8df9165fac34/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_754e7b2dd42966ddeaa78bb7c4088f46?id=https%3A%2F%2Farchives-deux-sevres-vienne.fr%2Fark%3A%2F28387%2Fvtab35a8df9165fac34%2Fcanvas%2F0%2F31&vx=2269.43&vy=-1375.98&vr=0&vz=5.29806
ARB Nouvelle-Aquitaine. Site internet macommune.biodiversite-nouvelle-aquitaine.fr
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
ARB Nouvelle-Aquitaine. Site internet macommune.biodiversite-nouvelle-aquitaine.fr [en ligne]. [18.01.2023]. Accès internet : <URL : http://macommune.biodiversite-nouvelle-aquitaine.fr/commune/Chauvigny-(86070)
DUGUET, Jacques. Chauvigny. Pages Perso Orange.
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
DUGUET, Jacques. Chauvigny [en ligne]. Pages Perso Orange [23.01.2023]. Accès internet : <URL :https://https://duguet.pagesperso-orange.fr/chauvigny.htm
IGN - Remonter le Temps
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
IGN - Remonter le Temps [en ligne]. Accès internet : <URL : https://remonterletemps.ign.fr/telecharger?x=2.117437&y=46.489054&z=6&layer=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN-EXPRESS.STANDARD&demat=DEMAT.PVA$GEOPORTAIL:DEMAT;PHOTOS
INRAP. Bienvenue chez les Gaulois !
Lieu de conservation : Internet
Côte : Non coté
ISBD/Commentaire :
INRAP. Bienvenue chez les Gaulois ! [en ligne]. [20.01.2023]. Accès internet : <URL : https://www.inrap.fr/magazine/bienvenue-gaulois/Accueil#Bienvenue%20chez%20les%20Gaulois%20!
Annexes
DESCRIPTION DE LA COMMUNE DE CHAUVIGNY
Chauvigny se trouve dans le département de la Vienne, au croisement de la route Poitiers-Châteauroux et de la Vienne, qui coule à l’ouest de la commune sur une longueur de 6 km. Le territoire, qui s’étend sur une surface de 96,04 km2, comptait 7 062 habitants en 2019 (dont environ 4 800 en centre-ville).
Sommaire :
1. Géologie
2. Paysages et occupation des sols
1. Géologie
Chauvigny se situe sur le seuil du Poitou, qui marque la limite entre deux massifs granitiques et métamorphiques anciens, le massif Armoricain et le massif Central. Ce seuil, constitué d'un vaste plateau au socle également granitique, est recouvert d’une couverture sédimentaire mince qui établit la continuité entre le bassin Parisien et le bassin Aquitain. La commune est concernée principalement par les formations calcaires de l’ère secondaire. La mer chaude et peu profonde qui recouvrait son territoire durant la période jurassique (-200 à -140 millions d’années) a notamment permis la formation de calcaire oolithique.
Durant l’ère tertiaire (-65 à -2,6 millions d’années), de grands lacs apparaissent dans la région, au fond desquels se mettent en place des dépôts marneux et calcaires lacustres (la Barre, Lespinasse, forêt de Mareuil). Différents types d’argiles sont observées. Elles peuvent être issues de l’altération et du remaniement des calcaires jurassiques, ou bien, au début de l’ère suivante, de dépôts alluviaux fins (la Caronnière, Bois Sénebaud, le Breuil).
Durant l’ère quaternaire (-2,6 millions d’années à nos jours) des dépôts éoliens appelés limons des plateaux recouvrent une partie du territoire (forêt de Mareuil et ses alentours). La Vienne primitive, qui coulait une quarantaine de mètres au-dessus de son niveau actuel (soit à environ 100 mètres d'altitude), a formé des terrasses fluviatiles composées de sables argileux à galets de quartz (les Guiraudières, la Chauvalière). Elle a entaillé ensuite le plateau calcaire, dont l'altitude oscille aujourd'hui entre 100 et 140 d'altitude environ, laissant des coteaux avec des escarpements rocheux parfois abrupts (le Moulin Milon, le Breuil), et déposé sur ses rives des alluvions plus ou moins sablonneuses. Son affluent, le Servon, forme une vallée encaissée (la vallée des Goths). Le Salvert, un autre affluent dont les écoulements sont aujourd’hui souterrains, laisse une vallée sèche et des résurgences qui alimentent l’étang de la Fontaine et le Talbat.
2. Paysages et occupation des sols
Le territoire de Chauvigny est essentiellement rural. En 2020, il est occupé à 66,53 % par des terres agricoles (6 379,06 ha), à 24,71% par de la forêt et des milieux semi-naturels (2 368,99 ha), à 8,08% par des surfaces artificialisées (773,7 ha) et à 0,7% par des surfaces en eau (66,4 ha). Il est concerné par 6 Zones Naturelles d'Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique (ZNIEFF), dont les principales sont la Forêt de Mareuil, la Vallée du Talbat, Chalonge et le Coteau du Trait, ainsi que par la marge sud de la Zone Importante pour la Conservation des Oiseaux (ZICO) de Bellefonds. L’extraction du calcaire oolithique a donné lieu à l’ouverture de plusieurs carrières qui ont marqué localement le paysage, comme celles du Breuil, de Peuron, d'Artiges ou de Brétigny (ces deux dernières sont toujours en activité).
La commune est parsemée de lieux-dits et d’écarts parfois importants et au caractère résidentiel marqué comme ceux de la Caronnière, l’Espinasse ou Villeneuve. Ce dernier, proche des écarts du Moulin Milon, de la Chauvalière et de la Brigère, est doté d’une école. Le bourg de Pouzioux, centre de la commune associé du même nom, conserve une mairie annexe, une église et un cimetière.
Le centre-ville est réparti sur deux espaces, une ville haute et une ville basse. La première se caractérise par sa localisation sur un éperon rocheux calcaire et la présence de cinq châteaux de conservation inégale.
HISTORIQUE DE LA COMMUNE DE CHAUVIGNY
Les travaux des archéologues et des historiens permettent de retracer l'évolution de la commune de Chauvigny sur plusieurs millénaires.
Sommaire :
1. Préhistoire et âges des métaux
2. Antiquité
3. Moyen Âge
4. Ancien Régime
5. 19e siècle et début du 20e siècle
6. Des années 1920 aux Trente Glorieuses
1. Préhistoire et âges des métaux
La plus ancienne occupation humaine connue sur la commune de Chauvigny date du paléolithique supérieur. Il s’agit d’un abri sous roche, dit Grotte de Gioux, situé près du lieu-dit les Églises. Il a servi d’habitat temporaire à des chasseurs-cueilleurs entre 12 000 et 8 000 av. J.-C.
Le premier habitat permanent attesté est un village fondé durant la période néolithique, vers 4 500 av. J.-C., et abandonné à la fin de l’Âge du Bronze, vers 1 000 av. J.-C. Établi sur l'éperon rocheux, au niveau de la cité médiévale, il a été repéré sur le site occupé aujourd'hui par le donjon de Gouzon (dans lequel une coupe des niveaux archéologiques liés à l'habitat est visible).
L’occupation se poursuit durant l’Âge du Fer (800 à 50 av. J.-C.) mais ni les faibles indices décelés sur l’éperon rocheux, ni les structures agraires et l’abondant mobilier découverts dans le quartier de Peuron n’ont permis d’identifier un habitat de cette période.
2. Antiquité
Plus faciles à repérer, les sites antiques connus sont beaucoup plus nombreux. Les diverses méthodes de prospection et les fouilles archéologiques ont permis d’en identifier environ 80.
En l’état actuel des connaissances, l’éperon rocheux et ses alentours semblent avoir été à cette époque dépourvus d’installations humaines. La découverte de vestiges de bâtiments artisanaux et d’habitations indique en revanche qu’une petite agglomération, occupée de façon continue du 1er au 4e siècle, a vu le jour à Saint-Pierre-les-Églises. Elle se situait au niveau du gué des Chirets, qui permettaient à la voie Poitiers-Bourges de traverser la Vienne (cette voie existait vraisemblablement déjà durant la période gauloise).
3. Moyen Âge
L’abandon de l’habitat antique de Saint-Pierre-les-Églises à partir du très haut Moyen Âge (5e-début 8e siècle) ne signe pas pour autant celui du site. Il est occupé par une zone funéraire active de la période mérovingienne aux 12e-13e siècles, et a semble-t-il compté jusqu’à trois sanctuaires, dont seul subsiste l’église Saint-Pierre. Cette dernière, dans son état actuel, est datée de la période carolingienne.
La fondation aux environs de l'an mil d’un premier château sur l’éperon rocheux, concomitante ou suivie de peu par la construction à proximité d’un pont permettant de franchir la Vienne, donne progressivement naissance au centre-ville actuel de Chauvigny.
L’agglomération est située en plein pays de brandes, réputé médiocre pour l’agriculture, mais c’est un centre de pouvoir et elle est située au croisement des axes que constituent la Vienne et la route reliant Poitiers à Bourges. Elle connait donc une activité importante et la population s’y développe.
L’extrémité de l’éperon rocheux qui domine le centre-ville est occupée par un quartier aristocratique appelé « Donjon et Barrières » dans les sources écrites. C’est là que résident les seigneurs de Chauvigny, qui sont également évêques de Poitiers, et leurs vassaux. Le prestige de cet espace, où se concentre le pouvoir seigneurial, est renforcé par la présence de la collégiale Saint-Pierre et de ses chanoines.
Au nord du quartier aristocratique, sur le plateau, se trouve un faubourg correspondant à la paroisse Saint-Martial, tandis que les paroisses Saint-Léger et Saint-Just prennent place dans la vallée. Au sein des deux dernières, l’habitat s’est structuré autour des voies menant à Châtellerault, Saint-Savin et Montmorillon.
Le relief escarpé, les courtines des châteaux, les portes fortifiées et le front formé par les habitations, de même que les fossés et les cours d’eau paraissent suffire à la défense de la ville, qui ne semble pas pourvue de murs d’enceintes avant la fin du Moyen Âge. Cette hypothèse est corroborée par le trouvère Cuvelier dans sa Chronique de Bertrand Du Guesclin, rédigée en 1380-85. Il y relate le siège de la ville en 1372 et indique que Chauvigny est jugée « bien fermée » par de « bons fossez » et défendue par « IIII grans chasteaux », mais ne fait aucune allusion à une enceinte.
Il faut attendre la toute fin du 14e siècle ou le 15e siècle pour que des murs et des portes soient construits, dans un but probablement défensif mais également pour affirmer et identifier clairement les limites urbaines. Ils seront semble-t-il entretenus et remaniés jusqu’à la première moitié du 16e siècle : la porte de Châtellerault n’est citée qu’à partir de 1545. Ils sont aujourd’hui détruits pour la plupart, mais des plans anciens et quelques vestiges ont permis de les localiser.
En dehors du centre-ville, le bâti conserve peu de traces de la période médiévale, même si la plupart des écarts et des lieux-dits apparaissent dans les sources écrites. Certains d’entre eux sont cités pour leur activité spécifique, comme L’Espinasse ou les Houlières, connus au début du 14e siècle comme des villages de potiers.
4. Ancien Régime
Il est possible de se faire une idée de la ville telle qu’elle était au milieu de 16e siècle grâce à un registre de cens et de rente daté de 1553.
La ville haute compte en plus des châteaux et de la collégiale 100 maisons dont dépendent quelques granges et quelques étables. Une vingtaine d’entre elles disposent d’un jardin, et 4 ou 5 jardins ou vergers sont signalés à part. La ville basse compte deux églises paroissiales, distantes d’une centaine de mètres et pourvues chacune de leur cimetière. Sur 300 maisons, 95 disposent d’un jardin ou d’une chènevière, tandis que 45 jardins sont signalés à part. Les faubourgs sont essentiellement constitués de jardins, de prés et de vignes, et comptent plus de 50 maisons ainsi que deux exploitations agricoles.
Le pont médiéval, entretenu de manière épisodique, est définitivement abandonné dans la deuxième moitié du 17e siècle et remplacé par un bac. Celui-ci et installé non loin du pont en ruine, entre le lieu-dit la Maladrerie sur la rive gauche et la rue du Port sur la rive droite, ce qui ne modifie que très légèrement l’axe de circulation principal du centre-ville. Les voyageurs qui le suivent transitent désormais par la rue du Port et plus par celle de l’Ancien Pont, mais empruntent ensuite comme auparavant les rues Faideau et des Trois Rois.
Les conflits qui font rage dans le royaume n’épargnent pas Chauvigny et y apportent leur lot de destructions et de reconstructions. Le centre-ville cependant, contenu dans les fortifications des villes haute et basse, conserve dans les grandes lignes sa disposition médiévale tout au long de l’Ancien Régime. Les sources de la fin de la période permettent cependant de percevoir certaines évolutions.
La place du Marché, vaste espace nivelé et planté d’arbres, gagné sur l’ancien cimetière Saint-Léger, est créée en 1773 à l’initiative de Pierre-Augustin de Lauzon, sénéchal de la baronnie de Chauvigny et subdélégué de l’intendant du Poitou. Il s’agit d’un des premiers aménagements qui, effectués dans un souci d’urbanisme au sens moderne, donneront peu à peu à la ville son aspect actuel. Les enceintes urbaines sont en ruine depuis longtemps et percées de nombreux passages facilitant la circulation des habitants. Le faubourg qui s'était développé au pied du flanc oriental du château baronnial a disparu et le marais situé à l’est de la rue de la Paix est assaini. Hors les murs, dans la paroisse de Saint-Pierre-les-Églises, le faubourg de l’Aumônerie se développe.
La meunerie, la tannerie et la production textile (laine et chanvre) sont des activités attestées dans le centre-ville jusqu’au lendemain de la Révolution. Les sources citent également des menuisiers, des chapeliers, des hôteliers ainsi que des marchands, dont l’activité exacte n’est cependant pas précisée.
Il y a peu d’information avant le 18e siècle sur les foires et les marchés. Ces derniers ne sont pas attestés avant 1705 en ville basse, où ils ont lieu cinq mois par an, contre sept en ville haute. Plus tard, comme nous l’indique le « Mémoire sur la ville de Chauvigny & son Territoire » publié dans les Affiches du Poitou le 15 juillet 1773, cette alternance est toujours de mise mais la période est de six mois. Parmi les cinq foires annuelles qu'accueille la ville, les trois principales sont celles de la Saint-Luc, de la Saint-Barthélemy et de la Saint-Pierre.
Toujours d’après ce mémoire, de nombreux moutons en provenance du Berry et du Limousin sont élevés dans les campagnes environnantes. Les terres y sont médiocres mais les cultivateurs y sont habiles et savent en tirer profit, en produisant un froment de qualité. L’auteur qualifie d’abondante la production de fruits, de truffes, de volailles, de gibier et de poisson. La principale production est celle du vin, qui s’exporte à l’échelle régionale. Le vignoble, représenté sur la carte dite de Cassini, levée en 1765-67, s’étend le long de la Vienne sur plusieurs kilomètres et a laissé sur le terrain de nombreux murs parcellaires et des abris de pierre sèche.
L’activité peut aussi être localement très spécialisée. La proximité de gisements d’argiles et de la forêt de Mareuil ont fait de l’Espinasse un village de potiers et de tuiliers, dont la production, destinée à être exportée, est écoulée sur les marchés de Chauvigny. L’activité est irrégulière cependant et les artisans sont souvent aussi agriculteurs, même si l’apparition au 17e siècle de fours individuels semble indiquer une certaine spécialisation. Cette production prend probablement fin au début du 19e siècle, quand est créée la manufacture du Maras.
5. 19e siècle et début du 20e siècle
C’est au 19e siècle qu’ont lieu les aménagements qui structurent aujourd’hui encore le centre-ville.
Jusqu’aux années 1830, le principal axe de circulation est-ouest, suivi par la route de Poitiers à Saint-Savin, emprunte les actuelles rues de l’Ancien Pont, Faideau, du Berry et des Barrières. Il est ensuite déplacé vers le sud et pourvu d’un tracé plus direct grâce à l’achèvement de la route nationale (aujourd’hui D951), à la construction d’un nouveau pont et à la création des rues de Saint-Savin et de Bellevue.
Au milieu du siècle, d’autres liaisons sont améliorées dans le sens nord-sud avec le percement du tronçon sud de la rue de Châtellerault et la création de la route de Tournon, actuelle route de la Puye. Le boulevard des Châteaux, souhaité dès cette époque afin d’améliorer la liaison entre la ville haute et la ville basse, nécessite des travaux considérables et ne voit le jour qu’entre 1880 et 1886.
Dans la ville basse, le champ de foire est créé en 1860 et agrandi en 1875. Il est encore séparé de la Vienne par un terrain agricole, qui disparaît entre 1883 et 1887 lorsqu’est construit le groupe scolaire. L’aménagement de cette zone a nécessité en parallèle la canalisation du ruisseau du Montauban dont le dernier tronçon, sous la rue du Montauban, est recouvert vers 1896. Le quai du Maquis, en bord de Vienne, est construit en 1913.
Le centre-ville est le siègle d'une intense activité tout au long de la période. Les métiers du textile y sont toujours dominants au début du 19e siècle. Les autres professions représentées sont habituelles pour l’époque : aubergistes, cabaretiers, boulangers, épiciers, bouchers, menuisiers et artisans ou ouvriers du bâtiment. Vers 1840, la manufacture de "faïence blanche et poterie" fondée en 1826 par Jean Bozier au lieu-dit le Maras est déplacée en centre-ville, sur les bords du ruisseau de l'Hôpital. Elle devient un des piliers de l’activité de la ville, avec les foires qui en 1864 attirent 5 à 6000 personnes.
Le train fait son arrivée à Chauvigny en 1883 à l’occasion de la construction de la voie ferrée de Poitiers à Châteauroux par Le Blanc, suivie en 1914 par l’ouverture de la voie ferrée d'intérêt local reliant Châtellerault à Bouresse. C’est cette dernière, communément appelée «tramway», qui a nécessité le percement de la rue Jean Jaurès. L’éclairage électrique public est installé dans le centre de l’agglomération en 1889-92. La première usine de production, dont les dynamos sont actionnées par une machine à vapeur, se trouve rue de Saint-Savin. Le chemin de fer et l’électricité favorisent tous les secteurs en général au début du 20e siècle. La ville et ses faubourgs accueillent des activités diversifiées : laiterie, scierie, chemiserie, fabrication de porcelaine, de sabots, brouettes, meubles et parquets, sans oublier les activités induites comme le roulage ou la sellerie.
En zone rurale, une grande partie du bâti est remaniée ou reconstruite totalement entre le milieu du 19e siècle et le début du 20e, du moins en ce qui concerne les parties à usage d’habitation. Les créations d’écarts ou de lieux-dits ex nihilo comme la Croix Blanche, le Clos Ragon ou la Maison Neuve sont très peu nombreux.
Jusqu'au début du 19e siècle, seules les «groges» ou «terres de groie», qui sont des sols plus ou moins argileux mêlés de débris calcaires et de silex, permettent la culture du blé et de la vigne et la polyculture en général. La part de terres cultivées augmente ensuite grâce à la mise en valeur des terres dites "de brandes", du nom local de la grande bruyère, qui sont encore fréquentes en 1830. Elles sont défrichées et mises en cultures grâce aux progrès des techniques aratoires, qui permettent d’arracher les racines des ajoncs et des brandes (si bien que les paysages traditionnels associés à la brande ont aujourd’hui quasiment disparu). La pratique de l’amendement augmente parallèlement, notamment grâce au rail qui facilite l’accès aux produits nécessaires. Sur la carte d’État-Major, levée en 1842, l’occupation des sols est déjà assez proche de ce qu’elle est aujourd’hui, si l’on excepte la part des surfaces artificialisées. La forêt est concentrée dans les mêmes zones, les brandes sont rares et les terres arables et les prés dominent. La principale différence est la présence du vignoble, dont la partie la plus dense se situe comme au siècle précédent dans le centre-ouest de la commune, sur la rive droite de la Vienne.
Malgré l’apparition dans le département du phylloxera en 1878, ainsi que du mildew et de l’oïdium dans les années 1880, le vignoble chauvinois semble parvenir à maintenir une certaine vitalité, durant quelques années du moins. En effet, dans les années 1890 un inspecteur d’académie plaide en faveur de la construction d’une nouvelle école à Saint-Pierre-les-Églises en évoquant notamment le nombre croissant d’enfants à scolariser du fait de l’afflux d’habitants venus travailler dans les vignes. De même, en 1905, la chambre de commerce de la Vienne cite toujours le vin de Chauvigny parmi les principales productions agricoles du département.
La région de Chauvigny est aujourd’hui réputée pour sa pierre, mais curieusement l'extraction de ce matériau est absente des sources de l’Ancien Régime et du début du 19e siècle. L'activité a peut-être d'abord constitué une activité annexe des paysans et des maçons, et il faut attendre 1861 pour que des ouvriers carriers soient mentionnés à Lavoux et à Chauvigny. Au nombre de 140, ils produisent alors 5 000 m3 de pierre par an et fournissent notamment des chantiers jusqu’à Lussac-les-Châteaux et Montmorillon. Les carrières prennent définitivement leur essor grâce au chemin de fer, qui favorise l’exportation tant au plan national qu’international.
6. Des années 1920 aux Trente Glorieuses
Au lendemain de la Première guerre mondiale, Chauvigny compte environ 2 500 habitants. Sa surface, qui s’élève à 5,57 km2, augmente de 0,36 km2 en 1920, suite à l’acquisition d’une partie du territoire de Jardres encore assez peu peuplée, sur laquelle se trouvent la gare et des installations liées aux carrières de pierre.
Le pont routier sur la Vienne est détruit le 25 août 1944 pour couper la route à une colonne allemande en fuite. Celle-ci parvient malheureusement à entrer dans la ville par le pont de chemin de fer et se livre à de tragiques représailles. Le pont routier est remplacé provisoirement par un bac, et la construction d’un nouvel ouvrage débute en 1946 sur le même emplacement. Son inauguration a lieu en mai 1948, durant les fêtes de la Renaissance chauvinoise. La même année, la ville est citée à l’ordre du régiment et se voit attribuer la Croix de guerre, en reconnaissance du comportement de ses habitants durant le conflit et de l’aide qu’ils ont apporté à la Résistance.
Entretemps, en décembre 1946, la superficie de la ville est portée à 79,15 km2 et sa population à 5 375 habitants (contre 2 725 en 1936) suite à l’absorption des communes de Saint-Martial et de Saint-Pierre-les-Églises (respectivement 14,5 km2 et 58,75 km2 pour 508 et 1 943 habitants en 1936). L’idée de ce regroupement n’est pas nouvelle, puisqu’un premier projet de fusion de Chauvigny avec Saint-Martial et une partie de Saint-Pierre-les-Églises avait déjà été discuté en 1868.
À cette époque, Chauvigny est un centre commercial important. Ses marchés et ses foires sont dynamiques, et une partie de sa population est employée dans l’industrie céramique, appelée à se développer encore, l’industrie alimentaire, l’industrie du bois, l’extraction de la pierre et la lingerie, si bien que 30% seulement de ses habitants vivent désormais de l’agriculture.
La ville entre, comme le pays entier, dans la période qui sera plus tard surnommée les «Trente Glorieuses» (1946-1975), synonyme d’expansion économique et démographique et d’élévation du niveau de vie.
À partir du milieu des années 1950, des cités et des lotissements de logements individuels et collectifs sont construits sur des terrains jusque-là vierges de bâti. Ils sont parfois accompagnés d’installations sportives et d’écoles, comme les cités des Guiraudières et de Peuron. De nombreux équipements voient le jour, qui sont toujours en fonction aujourd’hui. Le collège Gérard Philippe (à l’origine un collège de filles doublé d’une école maternelle) est construit en 1961. Le Jardin public Jacques Toulat est aménagé en 1964. La piscine de type Tournesol de la rue de la Maladrerie est construite en 1975 dans le cadre de l’opération « 1 000 piscines ». Cette dernière vise à équiper la France de piscines rapidement et à moindre coût pour pallier le déficit d’apprentissage de la natation, chronique à l’époque.
L’équipement des logements en éléments de confort progresse mais reste inégal. En 1962, en Poitou-Charentes, l’électrification est presque totale mais les faibles consommations indiquent qu’il y a peu d’appareils électriques, et très peu d’exploitations agricoles sont équipées du courant force. À Chauvigny, moins de 20% des logements sont munis du chauffage central. 60 à 80% le sont de l’eau courante (moins de 20% à Pouzioux, qui est encore à l’époque une commune indépendante). 20 à 40% le sont d’une baignoire ou d’une douche (moins de 20% à dans le sud-est de la commune et à Pouzioux).
Chauvigny s’agrandit à nouveau. En 1973, elle est rejointe par Pouzioux (16,9 km2 pour 351 habitants en 1968), qui en tant que commune associée conserve un maire délégué. La surface totale de la commune est désormais de 96,04 km2 et sa population s’élève en 1975 à 6 693 habitants.
L’HABITAT DU 19e SIÈCLE ET DE LA PREMIÈRE MOITIÉ DU 20e À CHAUVIGNY
Sur les 909 dossiers consacrés à l’architecture lors de l’opération d’inventaire du patrimoine de Chauvigny, environ 700 concernent des maisons et des fermes construites avant 1950.
Sommaire :
1. Une période qui a marqué durablement le bâti
2. Principales caractéristiques des maisons et des fermes
1. Le 19e siècle : une période qui a marqué durablement le bâti
À Chauvigny, de manière général et en dehors du centre-ville, l'habitat conserve peu de traces du Moyen Âge et de l’Ancien Régime, même si l’existence de la plupart des écarts et des lieux-dits est attestée dès ces périodes.
D’après les dates avérées ou estimées, ce bâti a été en grande partie remanié, reconstruit totalement ou créé ex nihilo durant le 19e siècle. Ce phénomène est à mettre en relation avec une augmentation globale de la population de Chauvigny, qui passe de 3 434 habitants en 1800 à 5 108 en 1901, avec un maximum de 5 762 en 1881*.
Dans le centre-ville et le centre des écarts, les éléments structurant que sont les routes et les places principales ont souvent été créés ou modifiés à cette époque, qui a vu également apparaître les voies de chemin de fer. Ces aménagements ont nécessité des démolitions, et des constructions nouvelles sont apparues autour de ces nouveaux espaces, comme au bord du Champ de Foire et de l’Avenue de la Gare à Chauvigny, ou de la route de Lussac à Pouzioux. Dans les écarts et les lieux-dits, les fermes existantes ont été agrandies et d’autres ont été créées.
De la charnière des 19e et 20e siècles à la seconde guerre mondiale, on construit peu de logement en France de manière générale. Dans les campagnes, les ouvriers sont encore fréquemment logés dans des bâtiments à usage agricole, tandis qu'en ville les logements manquent. À Chauvigny comme ailleurs, la population baisse suite à la première guerre mondiale, et n’augmente globalement que de 267 habitants entre 1901 et 1946. Les constructions nouvelles sont donc relativement peu nombreuses par rapport à celles du 19e siècle. La période voit cependant se diffuser un type de maison promis à un grand avenir : la maison individuelle, implantée en retrait de la voie et disposant d'une avant-cour et d’un jardin. L’avenue Aristide Briand, parmi d’autres, en offre plusieurs exemples. Il faut attendre les années 1950 et 60 pour que les surfaces bâties augmentent rapidement et de manière significative, sous l’effet des programmes de lotissement.
2. Principales caractéristiques des maisons et des fermes
Qu’il s’agisse de logis de fermes ou non, les maisons construites jusqu’au milieu du 20e siècle présentent des caractéristiques communes.
Elles sont majoritairement bâties en moellon calcaire recouvert d’enduit, dotées d’ouvertures organisées en travées régulières et de toits à longs pans couverts de tuile creuse. L’étage est généralement unique mais souvent surmonté d’un comble à surcroît, d’un étage en surcroît ou d’un étage de comble.
Le décor se limite souvent aux chaînes d’angle et aux encadrements d’ouvertures en pierre, qui sont réguliers et taillés avec soin. Les façades sont cependant fréquemment rehaussées de corniches, de bandeaux et d’appuis de fenêtres saillants. La brique est utilisée dans le dernier tiers de la période à des fins décoratives, dans les encadrements d’ouvertures et les motifs ornementaux.
La ferme traditionnelle s’organise autour d’une cour le plus souvent ouverte et de forme irrégulière. Les différents corps de bâtiments qui la composent ont été construits à des périodes différentes en fonction des besoins. Ils sont disjoints, mais chacun peut abriter plusieurs fonctions. Celles-ci sont le reflet de la polyculture-élevage qui fut longtemps le mode de production majoritaire. Les fermes comptent généralement au moins une grange-étable, une écurie, un hangar, des abris pour les cochons et les petits animaux, ainsi que divers petits locaux servant de resserre ou de bûcher. L’ensemble est parfois complété par un fournil ou une buanderie, et certains bâtiments peuvent comporter une partie munie de quelques boulins et servant de pigeonnier. Les besoins en eau sont assurés par un puits ou une citerne, selon la profondeur de la nappe phréatique, et par des mares ou fosses à boire, destinées à abreuver le bétail (elles sont souvent aujourd'hui comblées pour des raisons sanitaires ou de sécurité). Une partie des logis dont l’intérieur a pu être observé conservent dans leur pièce de vie des potagers et des éviers en pierre, qui constituaient avec les cheminées les principaux éléments de confort.
Les grandes innovations techniques ont peu d'impact sur l'habitat et les matériaux de construction ont peu évolué. La démocratisation des charpentes métalliques à la fin du 19e siècle et au début du 20e permettent cependant l’apparition dans certaines fermes de granges-étables plus vastes qu'à l'accoutumée. Dans les années 1950-1960, les parpaings, la brique et le béton armé vont se diffuser, même si à Chauvigny la pierre continue à être utilisée dans de nombreuses maisons, visibles notamment dans les lotissements de la rue du Talbat ou de la rue de Poitiers.
* ces données sur la population et les suivantes tiennent comptent des fusions de communes successives et concernent donc le territoire actuel de la commune
Galerie d'images 42

Vue vers le nord-ouest d’un méandre de la Vienne et d’une partie du centre-ville en 2018.
Auteur de l'illustration : Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
Chauvigny sur la carte dite de Cassini, levée en 1765-67 ; noter la présence du vignoble, à l'ouest du territoire, très dense du faubourg de l'Aumônerie à l'écart de Virec.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Chauvigny sur la carte d'État-Major, levée en 1842 ; le vignoble, en violet, est toujours présent.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Représentation schématique des enceintes urbaines de Chauvigny aux 15e et 16e siècles.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Évolution de la surface bâtie dans le centre-ville de Chauvigny (1832-1950-2023).
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Occupation des sols de Chauvigny d'après CORINE Land Cover 2018.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Vue de la ville haute dessinée depuis le bord du Talbat vers 1840.
Auteur de l'illustration : Puisilieux-Drausin
Vue de la ville haute prise en 1883, probablement depuis les alentours du lieu-dit Montaigu.
Auteur de l'illustration : Tranchant Suzanne
La place du Marché et la Halle-Mairie en 1882, un jour de marché.
Auteur de l'illustration : Perlat Alfred
Le centre-ville au début du 20e siècle ; vue vers le nord-ouest, probablement depuis la rue du Poirier.
Auteur de l'illustration : Inventaire
La ville haute au début du 20e siècle ; vue vers le sud-ouest.
Auteur de l'illustration : Inventaire
Le centre-ville avant 1913 : le quai du Maquis n'existe pas encore, l'arche visible à droite du pont correspond à la sortie du Montauban canalisé ; vue vers l'est.
Auteur de l'illustration : Inventaire
Le quai du Maquis peu après son inauguration en 1913 ; vue vers l'est.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
La Talbat avant 1922 ; vue vers l'est depuis la rue du Moulin Saint-Just.
Auteur de l'illustration : Inventaire
La ville haute entre 1918 et 1933 ; vue depuis le sud. La cheminée visible au centre-gauche de l'image est celle de l'usine de production d'électricité.
Auteur de l'illustration : Gossin (photographe)
Chargement d'un bloc de pierre sur un camion à la carrière d'Artiges au début du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Deneyer Marc
Le centre-ville, après 1964 ; vue aérienne partielle vers le nord-ouest.
Auteur de l'illustration : Inventaire
Vue vers le nord-est de la Vienne et d’une partie du centre-ville.
Auteur de l'illustration : Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
Le centre-ville en 2022 ; vue partielle vers l'est depuis le cimetière de la rue de Poitiers.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
La ville haute en 2018 ; vue vers l'ouest depuis le panorama de la rue de Bellevue.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
La ville basse en 2018 ; vue partielle vers le sud depuis la ville haute.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
La ville basse en 2018 ; vue partielle vers le sud depuis la ville haute.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
Le Jardin Jacques Toulat en 2018 ; vue partielle vers le sud-est depuis la ville haute.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
La vallée de la Vienne et les ponts en 2018 ; vue vers le sud.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
Le château des Évêques en 2016 ; vue aérienne oblique vers le nord.
Auteur de l'illustration : Geofit
Le château des Évêques en 2023 ; vue vers le nord depuis le bord du Talbat.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
Le Talbat derrière l'hôtel de ville en 2018 ; vue vers l'ouest.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
L'église et le cimetière de Saint-Pierre-les-Églises en 2018 ; vue d'ensemble depuis le sud-est.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
Une loge en pierre sèche liée à l'ancien vignoble, en 1977.
Auteur de l'illustration : Sailhan Pierre
La vallée de la Vienne depuis Roche David en 2021 ; vue vers le sud.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
L'écart du Moulin Milon en 2021 ; vue partielle depuis l'écart de la Chauvalière.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
La vallée du Servon (ici appelée vallée de l'Hosanne) en 2021 ; vue depuis le sud de l'écart de Villeneuve.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
L'habitat médiéval : maison du 14e siècle, dite Maison ou Logis des Templiers, rue de Châtellerault.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
L'habitat de l'Ancien Régime : maison du 17e ou 18e siècle, rue du Port.
Auteur de l'illustration : Bellet Jérôme
L'habitat du 19e siècle : une ferme construite en 1843 à Villeneuve.
Auteur de l'illustration : Rezé Charles
L'habitat du 20e siècle : maison des années 1920, avenue Aristide Briand.
Auteur de l'illustration : Bellet JérômeIllustrations soumises à des restrictions de diffusion
D’autres images existent concernant ce dossier et sont soumises à des restrictions de diffusion :
-
Chantier de la société Civet-Pommier, près de la gare, en 1910. Sur le dos de la carte postale est inscrit : à gauche dépôt de pierre et grue ordinaire ; au milieu, grue électrique ; à droite, monument. [IVR54_19978600006ZA]
Chauvigny sur la carte dite de Cassini, levée en 1765-67 ; noter la présence du vignoble, à l'ouest du territoire, très dense du faubourg de l'Aumônerie à l'écart de Virec.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Gallica.Bnf
Chauvigny sur la carte d'État-Major, levée en 1842 ; le vignoble, en violet, est toujours présent.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le centre-ville de Chauvigny, entre 1922 et 1934.

Bellet Jérôme
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Représentation schématique des enceintes urbaines de Chauvigny aux 15e et 16e siècles.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Évolution de la surface bâtie dans le centre-ville de Chauvigny (1832-1950-2023).

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Constitution du territoire actuel de Chauvigny.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Occupation des sols de Chauvigny d'après CORINE Land Cover 2018.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue de la ville haute dessinée depuis le bord du Talbat vers 1840.

Puisilieux-Drausin
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Vue de la ville haute prise en 1883, probablement depuis les alentours du lieu-dit Montaigu.

Tranchant Suzanne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
La place du Marché et la Halle-Mairie en 1882, un jour de marché.

Perlat Alfred
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Le centre-ville au début du 20e siècle ; vue vers le nord-ouest, probablement depuis la rue du Poirier.

Inventaire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La ville haute au début du 20e siècle ; vue vers le sud-ouest.

Inventaire
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le centre-ville avant 1913 : le quai du Maquis n'existe pas encore, l'arche visible à droite du pont correspond à la sortie du Montauban canalisé ; vue vers l'est.

Inventaire
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le quai du Maquis peu après son inauguration en 1913 ; vue vers l'est.

Bellet Jérôme
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Société de Recherches Archéologiques du Pays Chauvinois
La Talbat avant 1922 ; vue vers l'est depuis la rue du Moulin Saint-Just.

Inventaire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La ville haute entre 1918 et 1933 ; vue depuis le sud. La cheminée visible au centre-gauche de l'image est celle de l'usine de production d'électricité.

Gossin (photographe)
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Médiathèque François-Mitterrand, Poitiers
Chargement d'un bloc de pierre sur un camion à la carrière d'Artiges au début du 20e siècle.

Deneyer Marc
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives privées
Le centre-ville, après 1964 ; vue aérienne partielle vers le nord-ouest.

Inventaire
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue vers le nord-est de la Vienne et d’une partie du centre-ville.

Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) 4 Vents - Photographie aérienne
Vue vers le sud depuis le donjon.

IbooCRÉATION
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le centre-ville en 2022 ; vue partielle vers l'est depuis le cimetière de la rue de Poitiers.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La ville haute en 2018 ; vue vers l'ouest depuis le panorama de la rue de Bellevue.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La ville basse en 2018 ; vue partielle vers le sud depuis la ville haute.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La ville basse en 2018 ; vue partielle vers le sud depuis la ville haute.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le Jardin Jacques Toulat en 2018 ; vue partielle vers le sud-est depuis la ville haute.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La vallée de la Vienne et les ponts en 2018 ; vue vers le sud.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le château des Évêques en 2016 ; vue aérienne oblique vers le nord.

Geofit
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le château des Évêques en 2023 ; vue vers le nord depuis le bord du Talbat.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Le Talbat derrière l'hôtel de ville en 2018 ; vue vers l'ouest.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'église et le cimetière de Saint-Pierre-les-Églises en 2018 ; vue d'ensemble depuis le sud-est.

Bellet Jérôme
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Une loge en pierre sèche liée à l'ancien vignoble, en 1977.

Sailhan Pierre
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Société de Recherches Archéologiques du Pays Chauvinois
L'écart de la Caronnière en 2021 ; vue depuis le sud-est.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La vallée de la Vienne depuis Roche David en 2021 ; vue vers le sud.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'écart du Moulin Milon en 2021 ; vue partielle depuis l'écart de la Chauvalière.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
La vallée du Servon (ici appelée vallée de l'Hosanne) en 2021 ; vue depuis le sud de l'écart de Villeneuve.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'habitat médiéval : maison du 14e siècle, dite Maison ou Logis des Templiers, rue de Châtellerault.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'habitat de l'Ancien Régime : maison du 17e ou 18e siècle, rue du Port.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'habitat du 19e siècle : une ferme construite en 1843 à Villeneuve.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'habitat du 20e siècle : maison des années 1920, avenue Aristide Briand.

Bellet Jérôme
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
L'habitat du 20e siècle : maisons jumelées des années 1950, rue de Poitiers.

Bellet Jérôme
(c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'habitat du 20e siècle : immeuble construit en 1963, rue des Bois Galants.

Rezé Charles
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine
Vue vers le nord-ouest d’un méandre de la Vienne et d’une partie du centre-ville en 2018.

Dominique GRANDEMANGE-4 Vents
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Grand Poitiers Communauté urbaine, (c) 4 Vents - Photographie aérienne
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