
Vue d'ensemble du logis.
Bordes Caroline
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Extrait de la carte Trudaine, trace de bâti à l'emplacement de l'actuel logis.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Extrait du plan cadastral de 1826, parcelles : 388 à 392.
Archives départementales de la Gironde
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Piliers de portail.
Bordes Caroline
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Elévations ouest du logis.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Détail de la façade principale du logis : porte d'entrée.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Elévations ouest du logis, sur cour.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Elévations postérieures du logis et des dépendances attenantes, sur cour.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Vue intérieure du porche.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Ecurie et orangerie, élévations sur cour.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Elévations antérieures du porche et de l'orangerie.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Portail et piliers.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Dépendances sur cour.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Vue d'ensemble des dépendances sur cour.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Cheminée 1.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Cheminée 2.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Escalier intérieur du logis.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Logements des ouvriers.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Logements d'ouvriers : vue d'ensemble depuis le sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue d'ensemble des logements des ouvriers.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Logements d'ouvriers vus depuis le nord-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Elévations principales des logements d'ouvriers.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Logements d'ouvriers : élévation nord.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Logements d'ouvriers : élévation nord.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Elévations postérieures des logements des ouvriers.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Vue d'ensemble des élévations orientales des dépendances.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde

Détail de l'ancienne vacherie.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
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Titre : Château Arnauld
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Période : 2e moitié 18e siècle , 3e quart 19e siècle
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Localisation : Gironde , Arcins
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Estuaire de la Gironde (rive gauche)
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2010
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Auteur du dossier : Bordes Caroline
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Historique
Sur la carte de Trudaine du milieu du 18e siècle et sur le plan cadastral de 1826 figurent, à l'emplacement actuel du domaine, des constructions et notamment un bâtiment présentant une configuration similaire à celle du logis actuel, comprenant un ensemble de bâtiments sur une cour fermée et des bâtiments annexes.
Les matrices cadastrales mentionnent 4 constructions nouvelles sur la parcelle B396 en 1864 et 1865, ce qui correspond aujourd'hui à l´ensemble de logements d´ouvriers, alors que des modifications sont apportées en 1864 sur la parcelle correspondant au logis.
Le château Arnauld est mentionné à partir de 1868 dans le Cocks et Féret, appartenant à la famille Lafargue, classé comme un cru bourgeois. Repris par la famille Roggy, en 1956, Château Arnauld n'exploite pas seulement la vigne mais possède un cheptel "important", selon le Cocks et Féret de 1969. A la fin des années 1980, le vignoble est reconstitué et les installations (cuvier et chais) sont modernisées avec la construction de nouveaux bâtiments à la fin du 20e siècle.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 2e moitié 18e siècle Secondaire : 3e quart 19e siècle |
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Description
Le domaine se compose de deux ensembles : une partie organisée autour d´une cour carrée comprenant le logis, les chais, l´orangerie, l´étable, la resserre, et une autre partie avec les logements des ouvriers et les chais. Le logis de plan en L s´élève sur un étage carré et un étage en surcroît éclairé par des lucarnes. L´ensemble des murs est enduit partiellement laissant la pierre de taille des encadrements apparente. Les élévations sur la cour comptent 3 travées et 2 en retour et présentent 2 baies à l´étage en arc segmentaire et une travée dont les baies sont rebouchées. Les élévations antérieures sont percées de la porte d´entrée encadrée d´une moulure et d´un tore ; cette façade compte 7 travées et 4 lucarnes. Une corniche à modillons est régnante. A l´ouest le logis est prolongé par des logements secondaires en moellons dont les encadrements sont en pierre de taille ; cette aile est remaniée, traversée par un porche en arc segmentaire, comptant 3 travées. Dans la continuité, un bâtiment, peut-être une ancienne orangerie, en moellons et pierre de taille pour l´encadrement des baies, présente pour ses deux élévations une façade pignon plaquée ; la baie et le portail sont en arc segmentaire ; l´étage de comble est percé d´une baie encadrée d'oculi. Les chais et cuviers, en retour formant une sorte d´aile, sont disposés parallèlement. Un second cuvier, les bureaux ainsi qu´un troisième bâtiment ferment la cour. Dans le prolongement des chais et cuviers, l´étable à vaches est convertie en lieu de stockage. L´ensemble des bâtiments est couvert d´un toit à longs pans à tuiles creuses. Un bâtiment à l´extérieur de la cour abrite 4 logis d´ouvriers. Le bâtiment s´élevant sur un étage est construit en moellons couverts d´un enduit, les encadrements et pilastres sont réalisés en pierre de taille et brique. L´élévation principale s´ouvre sur 4 jardinets. Chaque logis est percé au rez-de-chaussée d´une porte centrale en arc segmentaire encadrée par une fenêtre à plate-bande et à l´étage d´une baie en arc segmentaire. Les élévations postérieures, sur la route, sont percées sur les deux niveaux de fenêtres en arc segmentaire. Sur le pignon est, s´appuie une extension dont l´étage est réalisé en brique et l´avant-toit orné de lambrequins soutenu par des aisseliers. A l´ouest s´appuie une resserre en brique et pierre de taille. La partie supérieure du pignon ouest des logis est percée de deux oculi. L´ensemble des toits de ce bâti est à longs pans, couverts de tuiles creuses.
Détail de la description
Murs |
|
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Toits |
|
Étages |
1 étage carré, étage de comble |
Élévations extérieures |
élévation à travées |
Couvertures |
|
Escaliers |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA33002886 |
Dossier réalisé par |
Bordes Caroline
Chargée d'étude du Département de la Gironde pour la réalisation de l'opération estuaire de la Gironde (2009-2017). |
Cadre d'étude |
|
Aire d'étude |
Estuaire de la Gironde (rive gauche) |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2010 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde |
Partenaires |
![]() |
Citer ce contenu |
Château Arnauld, Dossier réalisé par Bordes Caroline, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/aee9555f-392c-49a6-adb4-abb52d6a065c |
Titre courant |
Château Arnauld |
---|---|
Dénomination |
demeure |
Précisions sur la dénomination |
château viticole |
Appellation |
Château Arnauld |
Parties constituantes non étudiées |
chai cuvage jardin logement écurie hangar agricole orangerie |
Statut |
|
---|---|
Intérêt |
|
Documents d'archives
Archives départementales de la Gironde, 3 P 010 / 1-4: Plan cadastral, 1826.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Gironde, 3 P 010 / 1-4 : Plan cadastral, 1826.
Archives départementales de la Gironde, 3 P 129-1: Matrices cadastrales, 1853-1891.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de la Gironde, 3 P 129-1 : Matrices cadastrales, 1853-1891.
Documents figurés
Plan cadastral, Section B, dite D'Arcins. encre couleurs, papier, par Barrière (géomètre), 1826 [Archives départementales de la Gironde, 3 P 010 / 1-4].
ISBD/Commentaire :
Plan cadastral, Section B, dite D'Arcins. encre couleurs, papier, par Barrière (géomètre), 1826 [Archives départementales de la Gironde, 3 P 010 / 1-4].
Bibliographie
COCKS, Charles, FERET Edouard (co-auteur). Bordeaux, ses environs et ses vins, classés par ordre de mérite. Bordeaux: Féret et Fils éditeurs, 2e édition entièrement refondue par Edouard Féret, enrichie de 73 vues des principaux châteaux vinicoles de la Gironde, 1868.
Mention : p. 124
ISBD/Commentaire :
COCKS, Charles, FERET Edouard (co-auteur). Bordeaux, ses environs et ses vins, classés par ordre de mérite. Bordeaux : Féret et Fils éditeurs, 2e édition entièrement refondue par Edouard Féret, enrichie de 73 vues des principaux châteaux vinicoles de la Gironde, 1868.
FERET, Edouard, FERET, Claude (co-auteur) . Bordeaux et ses vins, classés par ordre de mérite dans chaque commune. Bordeaux: Féret, 1974. 12e éd. rev et augm. par Claude Féret.
ISBD/Commentaire :
FERET, Edouard, FERET, Claude (co-auteur) . Bordeaux et ses vins, classés par ordre de mérite dans chaque commune. Bordeaux : Féret, 1974. 12e éd. rev et augm. par Claude Féret.
Annexes
Extraits bibliographiques
FERET, Édouard, FERET, Claude (co-auteur). Bordeaux et ses vins, classés par ordre de mérite dans chaque commune. Bordeaux : Féret, 1974. 12e éd. rev et augm. par Claude Féret.
"Ch. Arnauld (Maurice Roggy) : 30 tonneaux. Le château d´Arnauld, ancien prieuré d´Arcins, commande un vaste domaine de polyculture, au cheptel important. Le vignoble, au sol légèrement graveleux, est complanté de cépages de choix et produit des vins fins et bouquetés. La production moyenne est de 30 tonneaux."
FERET, Édouard. Bordeaux et ses vins, classés par ordre de mérite dans chaque commune. Bordeaux : Féret, 1991. 14e éd. refondue et augm. par Claude Féret et Marc-Henry Lemay.
"Cru bourgeois.
M. Maurice Roggy, propriétaire.
MM Philippe et François Theil, administrateurs.
Le château Arnauld, ancien prieuré d´Arcins, a appartenu au XIIe siècle au sieur Pierre Jacques Arnauld, procureur en la Cour du Parlement de Bordeaux.
En 1956, M. et Mme Roggy en ont fait l´acquisition.
Ce cru magnifiquement bien situé, puisqu'au centre d´un triangle que constituent les célèbres appellations Margaux, Moulis et Saint-Julien.
Le vignoble a été entièrement reconstitué, ainsi que les installations des chais et cuviers. Le terroir est composé de graves quaternaires qui constituent un support idéal pour l´obtention de vins de grande qualité.
La complantation permet de retrouver dans ce cru prestigieux du Haut-Médoc les quatre grands cépages indispensables pour l´obtention d´un vin de cette classe ; les proportions sont les suivantes : 40 % de Merlot qui donnent le gras, le moelleux, la distinction ; 45 % de Cabernet-Sauvignon qui apportent la charpente, la puissance, la longévité ; 10 % de Cabernet franc donnent une note de charme ; 5 % de Petit-Verdot apportent l´élégance et la finesse.
Depuis 1976, la vinification est signée par Philippe et François Theil, copropriétaires du château Poujeaux.
Les vinifications sont faites dans des installations particulièrement modernes. Le temps de macération varie de quatre à six semaines. Dès les premiers jours de décembre, le vin nouveau est mis en barriques de chêne merrain dont un quart est renouvelé chaque année. La production est mise en bouteilles au bout de deux ans.
Les 20 hectares de vignes du château Arnauld produisent une moyenne de 140 000 bouteilles par an.
Le vin produit est dans la note des grands crus du Médoc. Collé aux blancs d´œufs, il n´est pas filtré. Très charpenté, son tanin est remarquable. Dans les petites années, il ressort des dégustations anonymes les plus périlleuses. Un petit goût de noisette le distingue. La longueur en bouche est magnifique. Son bouquet floral est fruité quand il est jeune, et devient puissant et généreux lorsqu'il est vieux.
Sans nul doute, un des meilleurs crus du Haut-Médoc".
Galerie d'images 29

Extrait du plan cadastral de 1826, parcelles : 388 à 392.
Auteur de l'illustration : Archives départementales de la Gironde
Elévations postérieures du logis et des dépendances attenantes, sur cour.
Auteur de l'illustration : Beschi Alain
Logements d'ouvriers : vue d'ensemble depuis le sud-est.
Auteur de l'illustration : Barroche AdrienneLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Gironde , Arcins
Milieu d'implantation: en village
Cadastre: 1826 B 388 à 392, 2009 B 362 à 364, 1359 à 1365
Extrait de la carte Trudaine, trace de bâti à l'emplacement de l'actuel logis.

(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrait du plan cadastral de 1826, parcelles : 388 à 392.

Archives départementales de la Gironde
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Piliers de portail.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Elévations ouest du logis.

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Détail de la façade principale du logis : porte d'entrée.

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Elévations ouest du logis, sur cour.

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Elévations postérieures du logis et des dépendances attenantes, sur cour.

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Vue intérieure du porche.

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Ecurie et orangerie, élévations sur cour.

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Elévations antérieures du porche et de l'orangerie.

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Portail et piliers.

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Dépendances sur cour.

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Vue d'ensemble des dépendances sur cour.

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Cheminée 1.

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Logements des ouvriers.

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Logements d'ouvriers : vue d'ensemble depuis le sud-est.

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Vue d'ensemble des logements des ouvriers.

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Logements d'ouvriers vus depuis le nord-est.

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Elévations principales des logements d'ouvriers.

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Logements d'ouvriers : élévation nord.

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Logements d'ouvriers : élévation nord.

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Elévations postérieures des logements des ouvriers.

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Vue d'ensemble des élévations orientales des dépendances.

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Détail de l'ancienne vacherie.

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Détail des élévations postérieures du domaine.

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Vue d'ensemble du domaine.

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Vue d'ensemble du logis.

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