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Ferme

France > Nouvelle-Aquitaine > Deux-Sèvres > Prailles

L'ancien plan cadastral matérialise une partie du logement, ainsi qu'une petite dépendance en face de celui-ci. En 1818, l'ensemble composé des parcelles C 384 (pâtis), 385 (terre), 386 (maison imposée pour deux ouvertures, bâtiment, cour) et 387 (jardin), appartenait à Josué-Marie Clervault Fombelle à Pons, un membre de la famille Clervault de Châteauneuf à Vitré. Vers 1860, cette ferme est devenue la propriété de Charles-Henri Guiot, de Saintes, et le logis était alors imposé pour trois ouvertures. C'est probablement vers le milieu du 19e siècle que le logis a été agrandi vers l'ouest et d'autres dépendances ont été bâties à l'est du logis. L'ancienne dépendance a disparu à une époque inconnue. Dans le dernier quart du 20e siècle, le logement a été rénové et les anciens communs ou dépendances adossés au logement ont été transformées permettant d'agrandir la surface habitable.

Périodes

Principale : 17e siècle (incertitude)

Principale : milieu 19e siècle

Principale : 4e quart 20e siècle

L'emplacement de la souche de la cheminée, un collage et des baies non alignées sur la façade indiquent l'agrandissement du logis au 19e siècle. Sur la partie droite la pierre d'évier est surmontée d'une pierre en contrepoids percée d'un jour rectangulaire, une structure qui pourrait dater du 17e siècle. Les baies de cette partie (ancienne) du logis ont probablement été remaniées lors de l'agrandissement ; l'élévation latérale gauche ne montre pas de collage avec les anciens communs ou dépendances adossés au logis, ce qui est plutôt rare. Lors de la restauration de la fin du 20e siècle, la façade du logis n'a pas été enduite.

Localisation

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Deux-Sèvres , Prailles

Milieu d'implantation: isolé

Lieu-dit/quartier: la Bigoterie

Cadastre: 1818 C2 384 à 387, 1975 AK 98

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