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Fortifications d'agglomération, enceinte des sièges de 1572 et de 1628
France > Nouvelle-Aquitaine > Charente-Maritime > La Rochelle

Courtine reliant les tours de la Chaîne et de la Lanterne, reconstruction au 16e siècle, face intérieure, vue vers la tour de la Lanterne.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Plan de La Rochelle en l'état qu'elle était en MCLXXIV.
Rome Christian
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle

Plan des fortifications et de la ville, sans date.
Lebée Daniel
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Vue cavalière du Fort Louis. Gravure signée I. P.
Dessert Eric
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Plan de la digue et des ouvrages qui servirent à sa construction, par Masse, en 1724.
Maulny Alain
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Carte de l'entrée de la digue et de la pointe de Coreille, en 1695.
Maulny Alain
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Ministère de la Défense
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Titre : Fortifications d'agglomération, enceinte des sièges de 1572 et de 1628
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Auteur de l'oeuvre : auteur inconnu
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Période : 3e quart 16e siècle , 1er quart 17e siècle
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Localisation : Charente-Maritime , La Rochelle , 2e fortification d'agglomération
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Rochelle centre (La)
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 1990
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Auteur du dossier : Mailles Dominique , Dujardin Véronique
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Copyright : (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Historique
En 1590, les Rochelais obtinrent du roi Henri IV l'autorisation d'enclore la Prée-Maubec dans la ville et de bâtir une nouvelle enceinte, que les progrès de l'artillerie rendaient nécessaire ; en 1588, un ouvrage à cornes avait été construit pour couvrir la porte Saint-Nicolas. De 1596 à 1612, furent bâtis du nord-ouest, où l'ancien bastion de l'Evangile est bien renforcé, au sud-est, en englobant la Prée-Maubec et la Villeneuve, six grands bastions royaux dits des Grands-Lapins, des Petits-Lapins, de Cougnes, des Fonderies ou des Fours-à-chaux, de Maubec ou du Petit-Genève, de Saint-Nicolas. En 1611 fut édifiée la nouvelle porte Maubec, en 1613 la nouvelle porte de Cougnes, en 1622 une demi-lune devant l'ancienne porte Neuve. Une digue, dite de Richelieu, fut contruite en travers de la baie, face à l'entrée du port, ainsi que deux forts, le fort Louis et le fort de Marillac, de part et d'autre de cette baie ; le front ouest était protégé par de simples redants de terre. Cette ligne de défense, qui résista aux assauts de 1622 et au siège de 1627 et 1628, fut rasée après la reddition de la ville en 1628, à l'exception du front de mer. Il en reste la nouvelle porte Maubec et quelques vestiges de la nouvelle porte de Cougnes avec son corps de garde.
Description
L'enceinte des sièges de 1572 et de 1628 comprend un ensemble bastionné et plusieurs portes (voir annexe 1).
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Plans |
système bastionné, système tenaillé |
État de conservation |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA17000059 |
Dossier réalisé par |
Mailles Dominique
Dujardin Véronique Chercheur, service Patrimoine et Inventaire |
Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Rochelle centre (La) |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
1990 |
Copyrights |
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Fortifications d'agglomération, enceinte des sièges de 1572 et de 1628, Dossier réalisé par Mailles Dominique, (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/2ae64170-2d42-4ab3-88db-6a8268a59c48 |
Titre courant |
Fortifications d'agglomération, enceinte des sièges de 1572 et de 1628 |
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Dénomination |
fortification d'agglomération |
Appellation |
dite enceinte des sièges de 1572 et de 1628 |
Parties constituantes non étudiées |
mur défensif ouvrage d'entrée ouvrage avancé fossé douves corps de garde digue fort |
Statut |
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Intérêt |
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Documents d'archives
Lettre de Louis XIII aux élus de Niort portant ordre d'envoyer à La Rochelle deux cents pionniers pour en raser les murs, excepté les tours de La Lanterne, de La Chaîne et de Saint-Nicolas, nécessaires à la défense du port, vers 1628.
Lieu de conservation : Archives départementales des Deux-Sèvres, Niort
Côte : C 11 liasse
ISBD/Commentaire :
Lettre de Louis XIII aux élus de Niort portant ordre d'envoyer à La Rochelle deux cents pionniers pour en raser les murs, excepté les tours de La Lanterne, de La Chaîne et de Saint-Nicolas, nécessaires à la défense du port, vers 1628.
1624-1875.
Lieu de conservation : Service historique de la Défense, Vincennes
Côte : La Rochelle, Art. 8, section 1
ISBD/Commentaire :
1624-1875.
1611-1714, Procédures relatives au don des murs, fossés, remparts et fortifications de l'ancienne et nouvelle ville de La Rochelle fait au Sr Simonet, pièces du procès entre le Sr Simon et les Pères de l'Oratoire.
Lieu de conservation : Archives nationales, Paris
Côte : Q1 120-121
ISBD/Commentaire :
1611-1714, Procédures relatives au don des murs, fossés, remparts et fortifications de l'ancienne et nouvelle ville de La Rochelle fait au Sr Simonet, pièces du procès entre le Sr Simon et les Pères de l'Oratoire.
MASSE, Claude, Recueil des plans de La Rochelle. 1724. Feuilles 15 et 16, renvois et explications des dessins de la digue de La Rochelle; Table en forme de mémoire relative au plan de la feuille 19 [en réalité 23], feuille 29 [45 à 47], La Rochelle: Ed. Rupella, 1979.
Lieu de conservation : Service historique de la Défense, Vincennes
Côte : Ms 504, f°131 G
ISBD/Commentaire :
MASSE, Claude, Recueil des plans de La Rochelle. 1724. Feuilles 15 et 16, renvois et explications des dessins de la digue de La Rochelle ; Table en forme de mémoire relative au plan de la feuille 19 [en réalité 23], feuille 29 [45 à 47], La Rochelle : Ed. Rupella, 1979.
Documents figurés
Plan de La Rochelle en 1573. Eugène L'Evêque. Encre et crayon de couleur.
Mention : p. 1,1bis
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Plan de La Rochelle en 1573. Eugène L'Evêque. Encre et crayon de couleur.
Plan de La Rochelle en l'état qu'elle était en 1574.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Côte : Album Bournaud
ISBD/Commentaire :
Plan de La Rochelle en l'état qu'elle était en 1574.
Rochella munitissimum Galliae opp. 1575. Gravure aquarellée (Gravure extraite de: Civitates Orbis terrarum, de Braun et Hoggenberg, Cologne, 1572-1598).
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Rochella munitissimum Galliae opp. 1575. Gravure aquarellée (Gravure extraite de : Civitates Orbis terrarum, de Braun et Hoggenberg, Cologne, 1572-1598).
" Plan ancien de La Rochelle comme elle etoit en l'année 1618 et auparavant les fortifications nouvelles [front ouest] ". In: Coutant, père Bernard. la place d'Armes. La Rochelle. Cahier n° 10. La Rochelle: s. N, 1983.
Mention : p. 7
ISBD/Commentaire :
" Plan ancien de La Rochelle comme elle etoit en l'année 1618 et auparavant les fortifications nouvelles [front ouest] ". In : Coutant, père Bernard. la place d'Armes. La Rochelle. Cahier n° 10. La Rochelle : s. N, 1983.
Rupella Anno 1620 La Rochelle. Gravure sur bois.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Rupella Anno 1620 La Rochelle. Gravure sur bois.
Plan au vray de la ville de La Rochelle, avec une ample description du paysage qui est alentour. 1621. Bachot, ingénieur et géographe du roi. Gravure.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Plan au vray de la ville de La Rochelle, avec une ample description du paysage qui est alentour. 1621. Bachot, ingénieur et géographe du roi. Gravure.
Portrait de la ville de La Rochelle avec ses forteresses, comme elle est à présent. 1621. A Paris, chez Jean Le Clerc Le jeune. Gravure (Bibliothèque du Sénat: collection Morel-Vindé, Topographie de la France, t. 5).
Lieu de conservation : Bibliothèque du Sénat, Paris
ISBD/Commentaire :
Portrait de la ville de La Rochelle avec ses forteresses, comme elle est à présent. 1621. A Paris, chez Jean Le Clerc Le jeune. Gravure (Bibliothèque du Sénat : collection Morel-Vindé, Topographie de la France, t. 5).
Plan de La Rochelle en MDLXXII. Copie par Jourdan. Encre et aquarelle.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Plan de La Rochelle en MDLXXII. Copie par Jourdan. Encre et aquarelle.
Plan de la ville de La Rochelle et des deux forts qui y étaient en 1626. Bournaud.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Côte : Album Bournaud
ISBD/Commentaire :
Plan de la ville de La Rochelle et des deux forts qui y étaient en 1626. Bournaud.
Le blocquement, et nouveau travail fait autour de la ville de La Rochelle. 1627. Dougnan, architecte de guerre pour le roi. Gravure aquarellée.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Le blocquement, et nouveau travail fait autour de la ville de La Rochelle. 1627. Dougnan, architecte de guerre pour le roi. Gravure aquarellée.
Plan véritable de la ville de La Rochelle assiégée par... Louis XIII. [1627]. Iouxte, Bordeaux. Gravure.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Plan véritable de la ville de La Rochelle assiégée par... Louis XIII. [1627]. Iouxte, Bordeaux. Gravure.
Carten des Hafens zu Rochelle, und den insule [n). S. Martin und Oleron. Anno 1627.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Carten des Hafens zu Rochelle, und den insule [n). S. Martin und Oleron. Anno 1627.
Fort Louis. Avant 1628. I.P. Fecit.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Fort Louis. Avant 1628. I.P. Fecit.
Siège de La Rochelle sous le règne de Louis XIII et sous le ministère du cardinal de Richelieu en 1628. Dressé d'après la grande carte de Callot. XIXe siècle. Lithographie A. Caillaud.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Côte : Carton II, plan n°32
ISBD/Commentaire :
Siège de La Rochelle sous le règne de Louis XIII et sous le ministère du cardinal de Richelieu en 1628. Dressé d'après la grande carte de Callot. XIXe siècle. Lithographie A. Caillaud.
Plan relatif au siège de La Rochelle en 1628. E. L'Evêque. Encre et crayon de couleur.
Mention : p. 2
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Côte : Ms L'Evêque 2187
ISBD/Commentaire :
Plan relatif au siège de La Rochelle en 1628. E. L'Evêque. Encre et crayon de couleur.
Plan relatif au siège de La Rochelle en 1628. Extrait de: ARCERE, Histoire de La Rochelle, t. II. Borde sculp. Gravure.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Côte : Carton II, plan n°29
ISBD/Commentaire :
Plan relatif au siège de La Rochelle en 1628. Extrait de : ARCERE, Histoire de La Rochelle, t. II. Borde sculp. Gravure.
[Plan des fortifications et de la ville]. Sans date.
Lieu de conservation : Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont
ISBD/Commentaire :
[Plan des fortifications et de la ville]. Sans date.
Plan de la ville et des environs de La Rochelle. Ensemble des forts, redoutes et lignes de communication, digues et palissades que le Roy y fait pour l'environner. Dédiée à Messieurs les Maire et Jurats, gouverneurs de Bourdeaus. 1628. Jehan Estienne Lasne, graveur et imprimeur en taille douce. Gravure.
Lieu de conservation : Bibliothèque du Sénat, Paris
Côte : Collection Morel-Vindé, topographie de la France, t. 5
ISBD/Commentaire :
Plan de la ville et des environs de La Rochelle. Ensemble des forts, redoutes et lignes de communication, digues et palissades que le Roy y fait pour l'environner. Dédiée à Messieurs les Maire et Jurats, gouverneurs de Bourdeaus. 1628. Jehan Estienne Lasne, graveur et imprimeur en taille douce. Gravure.
Vue cavalière du Fort Louis. Gravure signée I. P. Sans date.
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Vue cavalière du Fort Louis. Gravure signée I. P. Sans date.
Carte topographique de l'entrée de la digue de La Rochelle et de la pointe de Coreille. 16 avril 1695.
Lieu de conservation : Service historique de la Défense, Vincennes
ISBD/Commentaire :
Carte topographique de l'entrée de la digue de La Rochelle et de la pointe de Coreille. 16 avril 1695.
Plan particulier de la digue de La Rochelle avec les profils et autres ouvrages qui servirent à sa construction aux années 1627 et 1628. Feuille 17. Claude Masse.
Lieu de conservation : Service historique de la Défense, Vincennes
Côte : Ms 504, f°131 G, Recueil des plans de La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Plan particulier de la digue de La Rochelle avec les profils et autres ouvrages qui servirent à sa construction aux années 1627 et 1628. Feuille 17. Claude Masse.
Deuxième quarré ou ce trouvent l'ouverture de la digue. Et une partie de l'avant port. 1740.
Lieu de conservation : Archives municipales, La Rochelle
ISBD/Commentaire :
Deuxième quarré ou ce trouvent l'ouverture de la digue. Et une partie de l'avant port. 1740.
Bibliographie
Aussy, Denys, d'Histoire de La Rochelle, par Amos BARBOT. Seconde partie. In: Arch. Hist. Saintonge Aunis, t. 17, 1889.
Mention : p. 176
ISBD/Commentaire :
Aussy, Denys, d'Histoire de La Rochelle, par Amos BARBOT. Seconde partie. In : Arch. Hist. Saintonge Aunis, t. 17, 1889.
Béraud, Rémi. Petite encyclopédie monumentale et historique de La Rochelle. La Rochelle: Editions Rupella, 1981, ill.
Mention : p. 63, 64-65
ISBD/Commentaire :
Béraud, Rémi. Petite encyclopédie monumentale et historique de La Rochelle. La Rochelle : Editions Rupella, 1981, ill.
Coutant, Bernard (Révérend père). Un îlot méconnu. La Rochelle. La Rochelle (4, rue du Gué, 17000): Auteur Editeur: Père Coutant, 1982, 94 p: ill; 25 cm. - (Cahier n° 9).
Mention : p. 52-53
ISBD/Commentaire :
Coutant, Bernard (Révérend père). Un îlot méconnu. La Rochelle. La Rochelle (4, rue du Gué, 17000) : Auteur Editeur : Père Coutant, 1982, 94 p : ill ; 25 cm. - (Cahier n° 9).
Coutant, père Bernard. Le quartier Saint-Nicolas. La Rochelle. Cahier n° 8. La Rochelle(4, rue du Gué, 17000): Imprimeur-éditeur: Père Coutant, 1981, 147 p: ill, ill en couv, carte; 25 cm.
Mention : p. 12
ISBD/Commentaire :
Coutant, père Bernard. Le quartier Saint-Nicolas. La Rochelle. Cahier n° 8. La Rochelle (4, rue du Gué, 17000) : Imprimeur-éditeur : Père Coutant, 1981, 147 p : ill, ill en couv, carte ; 25 cm.
Coutant, Bernard (Révérend père). La Rochelle: La Villeneuve: Le Comté de Rase ou Fief Saint Louis, à l'emplacement des remparts. Première partie. La Rochelle (4, rue du Gué, 17000): Auteur Editeur: Père Coutant, 1984.142 p: ill.; 25 cm (Cahier n° 11).
Mention : p. 11-12
ISBD/Commentaire :
Coutant, Bernard (Révérend père). La Rochelle : La Villeneuve : Le Comté de Rase ou Fief Saint Louis, à l'emplacement des remparts. Première partie. La Rochelle (4, rue du Gué, 17000) : Auteur Editeur : Père Coutant, 1984.142 p : ill. ; 25 cm (Cahier n° 11).
Coutant, père Bernard. La Rochelle. La Villeneuve. Deuxième partie. Quelques îlots. Cahier n° 12. La Rochelle: Ed. Père B. Coutant, 1986. 130 p.
Mention : p. 74, 79-80
ISBD/Commentaire :
Coutant, père Bernard. La Rochelle. La Villeneuve. Deuxième partie. Quelques îlots. Cahier n° 12. La Rochelle : Ed. Père B. Coutant, 1986. 130 p.
Dangibaud, Charles, Diaire de Jacques Merlin ou Recueil des choses [les] plus mémorables qui se sont passées en ceste ville [de La Rochelle] de 1589 à 1620. In: Arch. Hist. Saintonge Aunis, t. 5, 1878 .
Mention : p. 71,74-75,104-105,334-335
ISBD/Commentaire :
Dangibaud, Charles, Diaire de Jacques Merlin ou Recueil des choses [les] plus mémorables qui se sont passées en ceste ville [de La Rochelle] de 1589 à 1620. In : Arch. Hist. Saintonge Aunis, t. 5, 1878 .
L'Evêque, Eugène, La Rochelle. Notes. cahier n° 1
Mention : p. 29, 31
Lieu de conservation : Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Côte : Ms L'Evêque 2193
ISBD/Commentaire :
L'Evêque, Eugène, La Rochelle. Notes. cahier n° 1
Jourdan, Jean-Baptiste-Ernest-Marcou. Éphémérides historiques de la Rochelle. - La Rochelle: Siret, 1861-1871; reprints Marseille: Lafitte, 1979, 2 vol., 596 et 620 p.
Mention : t. 2, p. 184-185
ISBD/Commentaire :
Jourdan, Jean-Baptiste-Ernest-Marcou. Éphémérides historiques de la Rochelle. - La Rochelle : Siret, 1861-1871 ; reprints Marseille : Lafitte, 1979, 2 vol., 596 et 620 p.
Jourdan, Jean-Baptiste-Ernest. La Rochelle historique et monumentale. La Rochelle: A. Siret, 1884.
Mention : p. 7
ISBD/Commentaire :
Jourdan, Jean-Baptiste-Ernest. La Rochelle historique et monumentale. La Rochelle : A. Siret, 1884.
Truttmann, Philippe, L'architecture militaire à La Rochelle du Moyen Age à 1940. Poitiers, étude pour le Ministère de la Culture et de la Communication, Direction régionale des Affaires Culturelles, 1990 .
Mention : p. 35
ISBD/Commentaire :
Truttmann, Philippe, L'architecture militaire à La Rochelle du Moyen Age à 1940. Poitiers, étude pour le Ministère de la Culture et de la Communication, Direction régionale des Affaires Culturelles, 1990 .
Vaux de Foletier, François de. La Rochelle d'autrefois et d'à présent. La Rochelle: F. Pijollet, 1923.
Mention : p. 81-83
ISBD/Commentaire :
Vaux de Foletier, François de. La Rochelle d'autrefois et d'à présent. La Rochelle : F. Pijollet, 1923.
Vaux de Foletier, François de, Le siège de La Rochelle. Paris: Firmin-Didot, 1931.
ISBD/Commentaire :
Vaux de Foletier, François de, Le siège de La Rochelle. Paris : Firmin-Didot, 1931.
Annexes
La place forte de La Rochelle
La place en 1572 et le siège de 1573
En 1573, lors du siège conduit sans succès par le duc d'Anjou (12 février - 12 juillet), l'enceinte, dont le tracé n'a pas varié depuis un siècle, apparaît sérieusement renforcée : elle a été «remparée» sur tout le front nord. Trois bastions à orillons à l'italienne ont été édifiés : au saillant nord-ouest (bastion de l'Evangile), devant la porte Neuve, et au milieu de la courtine est du front de mer (bastion du Gabut). Un ouvrage à cornes couvre la porte des deux Moulins (en plus de la barbacane), tandis que des demi-bastions couvrent l'un, la porte de Cougnes, l'autre (bastion des Dames), l'enceinte au niveau de l'entrée du canal de Maubec. La Porte Saint-Nicolas a été renforcée d'une sorte de boulevard, doté d'un retranchement tenaillé intérieur, tandis qu'un boulevard demi-circulaire couvre le saillant sud-est de l'avancée de Cougnes. Enfin, des cavaliers d'artillerie, placés derrière l'enceinte et la dominant, fournissent un appoint de feux aux saillants les plus exposés ou face aux directions les plus dangereuses.
Une anomalie subsistait cependant, avec le grand rentrant existant, à l'est, entre la protubérance du quartier de Cougnes et celle du quartier Saint-Nicolas.
La période 1573-1627
Devenue place de sûreté des réformés, la place ne va cesser de se renforcer jusqu'à la réouverture des hostilités avec l'autorité royale. Une nouvelle enceinte moderne, enveloppant la précédente conservée, fut alors construite (au début du XVIIe siècle). Elle comportait.
- A l'ouest, une longue braie, en tracé tenaillé, se terminant, au sud, par l'ouvrage à cornes couvrant la porte des deux moulins.
- Au nord et à l'est, du bastion de l'Evangile à la porte Saint-Nicolas, un grand arc de cercle hérissé de sept bastions à orillons - huit selon la gravure publiée par Mérian. Cette disposition nouvelle régularisait le tracé sinueux antérieur et permettait l'urbanisation d'un espace qui prit le nom de «Ville neuve». Les boulevards avancés de la porte Saint-Nicolas furent remplacés par un ouvrage à cornes.
Cette nouvelle ceinture était précédée d'un bon fossé ; elle ne comportait pas de demi-lunes, mais un chemin couvert avec places d'armes rentrantes. Si l'on tient compte de ce que l'ancienne enceinte conservée constituait une seconde ligne de défense non négligeable, et qu'au dehors, tout le front ouest et la moitié du front est étaient couverts par des marais salants, on constate que la place était très puissante, à un moment où la fortification avait regagné sur la guerre de siège l'ascendant perdu, à la fin du XVe siècle, par la crise du boulet métallique, situation qui durera jusqu'à la mise au point de la méthode d'attaque de Vauban.
Le grand siège (1627-1628)
Les rapports entre le parti réformé, dont La Rochelle était devenue la place la plus puissante, et l'autorité royale, se tendirent à partir de 1620. Après l'échec cuisant subi en 1621 devant
Montauban, le roi fit construire devant La Rochelle, à environ 800 m à l'ouest des remparts, un fort carré, le fort Louis, dont les Rochelais, ainsi menacés, ne purent obtenir la suppression lors des pourparlers. Les actes d'hostilité s'étant multipliés et les Anglais étant intervenus, Richelieu décida de réduire ce nid de factieux : il rassembla une armée de 25000 hommes, commandée par le roi en personne. Après avoir réussi à débloquer Saint-Martin-de-Ré et le fort de la Prée assiégés par Buckingham, et chassé les Anglais de l'île de Ré, il vint investir la ville (octobre 1627) et l'enferma dans une ligne de contrevallation continue, soutenue par une quinzaine de forts (dont le fort Louis) et de nombreuses redoutes intermédiaires.
Du coté de la mer, la continuité de l'encerclement fut assurée par une digue de 1500 m de long, barrant le fond de la baie, et dont la construction, dirigée par Clément Metezeau, premier architecte du roi, et Thiriot, maître maçon, prit près de six mois . Le dispositif en place, le «siège» se réduisit, en fait, à un blocus aussi hermétique qu'impitoyable (exécution de tous les individus tentant le franchissement des lignes, refoulement des bouches inutiles) : malgré des tirs fréquents, l'artillerie, enfermée dans les forts, ne joua à peu près aucun rôle, et il ne semble pas avoir été tenté de travaux d'attaque en sape ou en mine.
L'obstination des habitants, et surtout de ses édiles, donna au blocus son plein effet : près de 15 000 habitants avaient péri de faim quand quelque 5 ou 6000 survivants se résolurent à capituler (28 octobre 1628). Le roi et le cardinal firent leur entrée le 1er novembre 1628 dans la place, dont les fortifications furent complètement rasées (1629) à l'exception du front de mer et de la tour de Moureilles. Les choses restèrent en l'état jusqu'en 1689.
L'enceinte de 1689
Les choses restèrent en l'état jusqu'en 1689. Les soixante ans écoulés depuis le grand siège ont vu la naissance et le développement de Brest et de Rochefort, le déclin de Brouage, l'extension de Toulon, et le rasement tout récent de Cherbourg (1688). Des opérations navales ont menacé (1674) nos côtes, dont celles de l'Atlantique, mais la Guerre de la ligue d'Augsbourg, qui vient de s'ouvrir, voit se constituer contre la France une formidable coalition et celle, en particulier, de deux puissances navales, Angleterre et Hollande. Dans les rangs de nos adversaires figurent nombre de transfuges réformés, chassés par la révocation de l'édit de Nantes : outre l'objectif que constitue La Rochelle comme n'importe quel port, on craint, en outre, à Versailles, qu'un débarquement anglo-hollandais n'y trouve des sympathies parmi les réformés ou les «nouveaux convertis», considérés comme ennemis de l'intérieur, et ne rallume, de proche en proche, de l'Aunis aux Cevennes, un nouveau soulèvement religieux. C'est la thèse soutenue par l'ingénieur Ferry, catholique intransigeant, et précisément directeur des fortifications à La Rochelle.
Aussi le Conseil, en liaison avec le maréchal de Lorges, gouverneur de la province, décide t-il le rétablissement des fortifications de La Rochelle. Les artisans en furent les ingénieurs François Ferry (Jusqu'à sa mort en 1701), puis Christophe Rousselot (mort en 1703), Directeur des fortifications d'Aunis, entourés d'ingénieurs ordinaires (Verrier, de Girval, Masse, etc.).
La nouvelle enceinte reprend, à l'ouest le tracé de celle de 1629, dont les fossés subsistaient (à cause du ruisseau de Lafont). Par contre, au nord et à l'ouest, elle est reportée 150 à 200 m plus loin et, entre l'angle nord-ouest et l'entrée du canal de Maubec, développe en arc de cercle, parallèlement à la précédente, six fronts bastionnés totalisant cinq bastions et deux demi-bastions, tous à flancs droits, à escarpe à demi revêtement et contrescarpe revêtue. Le front ouest est resté, lui, à terre coulante, solution provisoire maintenue en cas d'extension de la ville à l'ouest et de construction d'une citadelle extérieure.
Les dehors se limitent, à quatre demi-lunes (l'une devant la porte Royale, l'autre devant la porte Dauphine, une à l'entrée du canal de Maubec et la dernière à la corne de Tasdon), un bastion détaché couvrant la porte Saint-Nicolas, lui-même couvert par l'ouvrage à corne de Tasdon (4), à l'ouest, une redoute carrée dite Paté (5) (près de la porte des Deux-Moulins) et un chemin couvert général, avec traverses et places d'armes.
Cinq portes donnent accès à la place.
- Au sud-ouest la porte des Deux-Moulins, desservant la côte nord de la baie.
- A l'ouest, la porte Neuve, légèrement déplacée au sud de son ancien emplacement.
- Au nord, la porte Dauphine, desservant les villages entre La, Roche11e et le Marais.
- Au nord-est, la porte Royale, accès principal et aboutissement des routes de Nantes et de Paris.
- Au sud-est, la porte Saint-Nicolas, dont l'accès se fait par quatre ponts successifs (franchissant les fossés des différents ouvrages qui la protègent).
Compte tenu du tracé des communications extérieures et de celui du tissu urbain, quatre de ces portes sont, parfois avec un léger déplacement, le rétablissement des portes antérieures. Seule la porte Dauphine est de nouvelle création ; située à l'extrémité nord de la plus importante rue de la ville, elle apporte tout naturellement une indéniable commodité.
On citera enfin le passage provisoire de la porte de Paris, qui fut bouché lors de l'achèvement de l'enceinte, et les circulations correspondantes ramenées sur la porte Royale, sa voisine.
Les établissements militaires, compléments usuels de la fortification, comme l'usage en avait été établi par Louvois, puis adopté par Colbert pour les places de son département, se limitent, à La Rochelle à deux corps de casernes dites »casernes vieilles» et »casernes neuves», construits entre 1702 et 1708, symétriquement de part et d'autre de la parte Dauphine, derrière le rempart de la Courtine.
- Les locaux et bâtiments faisant partie des portes Dauphine et Royale.
- Le magasin à poudre du bastion de Bourgogne (aujourd'hui disparu).
Le projet de Ferry de 1699
Une des caractéristiques constantes des ingénieurs du roi en poste dans les places était de mettre en exergue les places dont ils étaient chargés et de proposer, dans les projets annuels, toutes les extensions et améliorations possibles, en laissant au Directeur général le soin de faire les choix correspondant à la situation réelle et à l'importance relative des différentes places. Ferry n'échappe pas à la règle quand il propose en 1699 un grand projet d'extension et de renforcement de La Rochelle, avec citadelle pentagonale extérieure (à l'emplacement du fort Louis) analogue à celle construite à Strasbourg en 1681, raccordée à l'enceinte de ville par deux longues courtines bastionnées et renforcée de deux ouvrages à cornes, dont l'un tourné vers la ville. L'enceinte de ville elle-même devait recevoir les demi-lunes habituelles, ainsi que deux ouvrages à cornes (un près de la porte des Deux-Mou1ins, l'autre devant la courtine de la porte de Paris) et une contre garde devant le bastion de Bourbon.
En 1700, il proposait de rattacher l'ouvrage à cornes de Tasdon au corps de place en supprimant la porte et le bastion de Saint-Nicolas et en raccordant la branche gauche du bastion Dauphin, à l'aide d'un demi bastion et d'une courtine percée en son milieu de l'écluse d'entrée des eaux du canal de Maubec. L'espace intérieur de l'ancien ouvrage devait être en partie urbanisé, et la partie antérieure occupée par deux corps de casernes avec pavillons d'officiers, encadrant une place d'armes.
Critiqués par Vauban, ces projets restèrent lettre morte en raison du décès de Ferry en 1701 et des difficultés financières du moment. Plusieurs autres projets furent élaborés ultérieurement, sans plus de succès.
Il apparaît que si la ville fut assez rapidement mise en état de défenses, les travaux se poursuivirent au moins Jusqu'en 1720, à un rythme plus ou moins ralenti par les difficultés financières de la fin du règne de Louis XIV et la politique d'économies des premières années de la Régence. Telle quelle, et à part quelques modifications de détail, cette enceinte subsista jusqu'à son déclassement, au début du XXe siècle, et au démantèlement qui suivit : la reconstruction de 1689 avait abouti à recréer une place mise à l'abri d'opérations navales et d'un fort coup de min tenté par un corps débarqué à proximité. Mais, simplement protégée par une enceinte sans dehors, La Rochelle n'aurait jamais été en état de soutenir un siège important : il semble que cet état de place de seconde importance ait correspondu exactement aux intentions du pouvoir central.
Les travaux de fortification successifs eurent indéniablement une influence sur le développement de l'agglomération. Les extensions médiévales paraissent avoir été d'abord l'encerclement de zones bâties existantes par une fortification. Par contre, la construction de la grande enceinte bastionnée entre 1590 et 1628 engloba un espace libre où commença à se créer la ville neuve ordonnée selon un plan orthogonal. Avec le démantèlement de 1629 s'ouvrit une période d'expansion assez anarchique de ville ouverte, de telle sorte que, malgré le respect de son tracé vers la campagne, l'enceinte de 1689 entraîna à nouveau la démolition de quelques édifices, puis, du fait de l'instauration des zones de servitudes défensives, un gel de la construction aux abords de la place pendant près de deux siècles.
- On notera à ce propos qu'il n'existe pas d'atlas de La Rochelle, ni d'aucune des places de la façade atlantique (Bayonne, Blaye, Le Château-d'Oléron, Saint- Martin-de-Ré, Fouras, le Chapus, Port-Louis, etc.) à la bibliothèque du Génie, au Service historique de l'Armée à Vincennes, dans la série des atlas des places de 1774 (atlas du duc d'Aiguillon).
- Que les vestiges de l'ouvrage sont encore visibles à marée basse.
- Sage précaution contre un retour offensif de la flotte anglaise sur une ville qui était un point important de nos frontières maritimes de l'Atlantique, au moment où Brest et Rochefort n'existaient pas et Cherbourg pratiquement pas.
- L'ouvrage à cornes de Tasdon avait la particularité d'avoir sa branche gauche bastionnée, au lieu d'être rectiligne comme dans le schéma de principe. Cette singularité tendrait à l'assimiler à un couronné.
- Appelée aussi "Redoute des Deux-Moulins". Le terme "Paté" est presque devenu un nom commun, qu'on retrouve dans plusieurs autres places.
- Le cas ne s'est d'ailleurs jamais présenté.
Légende du plan de l'enceinte du siège de 1572 (d'après Masse, feuille 7).
Outre les tours déjà désignées, la nouvelle enceinte comporte divers ouvrages avancés, tels ceux de.
La Porte Neuve (10).
La Porte des Deux-Moulins (13).
La Porte de Cougnes (11).
Elle est en outre renforcée par des bastions ou des boulevards.
Bastion de l'Evangile (14).
Bastion des Dames (15).
Bastion Saint-Nicolas (16).
Bastion des Deux-Moulins (17).
Bastion du Gabut ou des Vases (18).
Légende du plan de l'enceinte du siège de 1628 (d'après Masse, feuille 9).
En plus de son aspect fortement bastionné elle donne un nouveau tracé à la ville englobant à l'est la Prée-Maubec désignée alors «Ville-Neuve» (N).
Du nord-ouest au sud-est on trouve.
Le demi-bastion de l'Evangile (19).
Le bastion des Grands-Lapins (20).
Le bastion des Petits-Lapins (21).
Le bastion de Cougnes (22).
L'ouvrage avancé de la porte de Cougnes (11c).
Le bastion des Fonderies (24).
Le bastion de Maubec (25).
La petite porte de Maubec (26).
Le bastion Saint-Nicolas (27).
L'ouvrage avancé de la porte Saint-Nicolas (28).
Au sud-ouest.
L'ouvrage avancé de la porte des Deux-Moulins (17).
A l'ouest.
Les redans ou dehors de la porte Neuve (10).
Galerie d'images 8

Courtine reliant les tours de la Chaîne et de la Lanterne, reconstruction au 16e siècle, face intérieure, vue vers la tour de la Lanterne.
Auteur de l'illustration : Rome Christian
Plan de la digue et des ouvrages qui servirent à sa construction, par Masse, en 1724.
Auteur de l'illustration : Maulny Alain
Carte de l'entrée de la digue et de la pointe de Coreille, en 1695.
Auteur de l'illustration : Maulny AlainLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente-Maritime , La Rochelle , 2e fortification d'agglomération
Milieu d'implantation: en ville
Plan de La Rochelle en l'état qu'elle était en MCLXXIV.

Rome Christian
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Médiathèque Michel-Crépeau, La Rochelle
Plan des fortifications et de la ville, sans date.

Lebée Daniel
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Vue cavalière du Fort Louis. Gravure signée I. P.

Dessert Eric
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Plan de la digue et des ouvrages qui servirent à sa construction, par Masse, en 1724.

Maulny Alain
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Carte de l'entrée de la digue et de la pointe de Coreille, en 1695.

Maulny Alain
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Ministère de la Défense
Tours de la lanterne et de la Chaîne, courtine reliant les deux tours, vue depuis l'esplanade Saint-Jean-d'Acre.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Courtine à l'ouest de la tour de la Lanterne, face interne, vue depuis la rue des Deux-Moulins.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Courtine reliant les tours de la Chaîne et de la Lanterne, reconstruction au 16e siècle, face intérieure, vue vers la tour de la Lanterne.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossiers en lien avec Fortifications d'agglomération, enceinte des sièges de 1572 et de 1628
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