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Église paroissiale Saint-Georges
France > Nouvelle-Aquitaine > Landes > Saint-Geours-d'Auribat

Ensemble depuis le sud-est.
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Extrait du plan cadastral du début du XIXe siècle, section dite de Sourbé, 4e feuille (AD Landes, 286 W 260).
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Plan cadastral de Saint-Geours-d'Auribat au début du 19e siècle, avec l'ancienne église en bleu au centre (AC Saint-Geours d'Auribat).
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Plan de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées, par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Coupe et élévations de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Élévation extérieure de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Élévation extérieure de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Extrait d'un rapport du géomètre Louis Capdeville sur l'ancienne église de Saint-Geours avec détails de la charpente du clocher et de sa flèche, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Plan schématique. Dess. J.-Ph. Maisonnave, 2013.
Maisonnave Jean-Philippe, Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Détail du clocher.
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Chevet vu depuis le sud.
Maisonnave Jean-Philippe
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Chapelle et sacristie sud.
Maisonnave Jean-Philippe
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Ensemble depuis le nord-est.
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue intérieure.
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue intérieure.
Maisonnave Jean-Philippe
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Un culot du porche.
Maisonnave Jean-Philippe
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Un dosseret dans le choeur.
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Un chapiteau du choeur.
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Détail de la charpente du clocher.
Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Titre : Église paroissiale Saint-Georges
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Auteur de l'oeuvre : Ozanne Alexandre, Charpentier Jules, Boubé Pierre, Capdeville Louis
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Période : 3e quart 19e siècle
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Localisation : Landes , Saint-Geours-d'Auribat
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Montfort-en-Chalosse
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2013
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Auteur du dossier : Maisonnave Jean-Philippe
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Historique
L'ancienne église Saint-Georges, située au milieu du cimetière, est connue principalement par un rapport de 1864 (voir annexes). Composée d'une nef flanquée d'un unique collatéral au nord et prolongée par une abside en hémicycle, elle fut restaurée à plusieurs reprises dans la première moitié du XIXe siècle (en 1819 par le chevalier de Caupenne, en 1829 par l'agent voyer Pierre Boubé et le plâtrier Pierre Dumant, en 1840 par le maître charpentier Pierre Bastiat).
L'édifice, qualifié de "lourd, sans grâce et dégradé par les injures des siècles" dans la monographie paroissiale de 1890, fait l'objet d'un premier projet de restauration (26 janvier 1864) par le géomètre Louis Capdeville de Brassempouy, vite abandonné en raison de l'opposition de la Commission des bâtiments civils. Un nouvel édifice est finalement érigé en 1868-1872 au centre du bourg, sur un terrain acquis auprès du vicomte de Vidart, par l'entrepreneur Jules Charpentier sur des plans (février 1865) de l'architecte départemental Alexandre Ozanne. Le procès-verbal de réception définitive des travaux est daté du 13 décembre 1869, mais des travaux complémentaires s'étalèrent jusqu'en 1872. Le coût total s'éleva à 30.054,97 francs.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 3e quart 19e siècle |
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Dates |
1868, daté par source |
Auteurs |
Auteur :
Ozanne Alexandre Né à Bonneboscq (Calvados) le 21 novembre 1828, mort à Dax le 18 novembre 1888 et inhumé au cimetière Saint-Pierre de cette ville. Ingénieur civil, architecte départemental des Landes de 1859 à 1879. Fils de Célestin Ozanne (1797-1870) et de Florentine Prévost (1805-1881) ; marié en premières noces, le 28 avril 1857 à Bordeaux, avec Jeanne Mathilde Brousse († Bordeaux, 17 juillet 1858) ; marié en secondes noces, le 25 février 1862 à Dax, avec Anne Clary Mène (Dax, 12 avril 1831 - Dax, 11 mars 1924), fille de Pierre Paul Mène (1792-1866), notaire, et de Marie Amélie Bonnecaze (1797-1877). Il eut du premier lit une fille, Mathilde Isabelle Jeanne (1858-1929), Mme Eugène Levassor, du second lit deux autres filles, Marie Amélie Célestine (1863-1942), épouse en 1890 d'Eugène Louis Joseph Deschamps, sous-commissaire de la Marine, et Joséphine Anne Marguerite (1864-1954). Auteur : Charpentier Jules, entrepreneur (attribution par source) Auteur : Boubé Pierre Pierre Boubé (ou "Boubée" selon son acte de naissance), architecte ou agent voyer et "arpenteur-géomètre" de la ville de Dax (succède au chevalier de Caupenne avant juillet 1832), expert géomètre et employé au Génie militaire. Né à Dax le 14 thermidor an V (31 juillet 1797) et mort dans la même ville le 27 décembre 1856 ; fils de l'hôtelier Pierre Boubé et de Marie André (morte en 1857) ; marié à Dax, le 12 octobre 1824, à Marguerite Augusta Bénesse (Dax, 26 décembre 1804 - Dax, 3 juillet 1869), fille de Jean-Baptiste Bénesse, négociant et maire de Saint-Vincent-de-Paul, et de Françoise Monique (fille du maître-maçon Jean Monique), dont il eut cinq enfants : Jean-Baptiste (1826-1896), capitaine de marine, officier de la garde impériale ; Jean-Baptiste Prosper Léopold (1833-1924), receveur des contributions indirectes ; Anne (1836-1879) ; Alida Françoise (1840-1888) ; Françoise Alida (1842-?). Auteur : Capdeville Louis Joseph Louis (prénom usuel) Capdeville, expert-géomètre à Brassempouy (Landes) dans la seconde moitié du XIXe siècle (documenté à Saint-Geours-d'Auribat en 1864). Né le 25 août 1823 à Brassempouy et mort dans la même commune le 12 mars 1901 ; fils de Pierre Capdeville (1798-1873), laboureur, et d'Anne Gaxie (1795-1875). Marié à Poyanne, le 24 août 1858, avec Marthe Marie dite Constance Coudroy (Poyanne, 24 septembre 1833 - Brassempouy, 21 décembre 1899), fille de Jean Coudroy, propriétaire à Mayranx, et de Rose Béguerie ; dont deux enfants : Pierre Marie Joseph (1861) et Anne Marie Jeanne Joseph (1865-1947). Sources : AD Landes, 4 E 54/3, 4 E 54/17 (Brassempouy), 4 E 235/2-7 (Poyanne). |
Description
Édifice de style néogothique non orienté (chevet à l'ouest), à vaisseau unique de trois travées, précédé par un clocher-porche hors œuvre flanqué de deux tourelles d'escalier octogonales. La nef est flanquée de deux chapelles carrées et prolongée par un chœur composé d'une travée droite et d'une abside à trois pans, épaulé par deux sacristies carrées. L'ensemble est voûté de croisées d'ogives retombant sur des demi-colonnettes à chapiteau feuillagé (nef, chœur, chapelles) ou sur des culots (porche). L'édifice est construit essentiellement en moellon calcaire enduit, la pierre de taille étant réservée aux deux tourelles d'escalier, aux chaînes d'angle et aux contreforts talutés qui raidissent clocher, nef et chevet. La couverture est entièrement en tuiles creuses à l'exception de celle des tourelles d'escalier, en pierre : petit toit en pavillon pour le clocher (remplaçant une flèche), toit à longs pans pour la nef, butant sur le pignon découvert du chœur, croupe polygonale pour celui-ci, toits en appentis avec pignon découvert pour les chapelles.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Plans |
plan allongé |
Étages |
1 vaisseau |
Couvrements |
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Couvertures |
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Décors/Technique |
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Décors/Représentation |
Précision sur la représentation : Chapiteaux à enroulements feuillagés. |
Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA40001577 |
Dossier réalisé par |
Maisonnave Jean-Philippe
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Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Montfort-en-Chalosse |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2013 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Église paroissiale Saint-Georges, Dossier réalisé par Maisonnave Jean-Philippe, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/d4de3d0f-7f4f-4a01-9b82-3fa36e7c9590 |
Titre courant |
Église paroissiale Saint-Georges |
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Dénomination |
église paroissiale |
Vocable |
Saint-Georges |
Statut |
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Documents d'archives
AD Landes. 16 J 18/19. Monographie paroissiale de Saint-Geours-d'Auribat, par le curé Pierre Mauriac, vers 1890
Lieu de conservation : Archives départementales des Landes, Mont-de-Marsan
Côte : 16 J 18/19
ISBD/Commentaire :
Monographie paroissiale de Saint-Geours-d'Auribat, par le curé Pierre Mauriac, vers 1890.
AD Landes. 2 O 1797. Saint-Geours-d'Auribat : église, presbytère, cimetière (1816-1939)
Lieu de conservation : Archives départementales des Landes, Mont-de-Marsan
Côte : 2 O 1797
ISBD/Commentaire :
Saint-Geours-d'Auribat : église, presbytère, cimetière (1816-1939).
AD Landes. 70 V 311/4. État des revenus des fabriques extérieures et intérieures en 1808 (1809)
Lieu de conservation : Archives départementales des Landes, Mont-de-Marsan
Côte : 70 V 311/4
ISBD/Commentaire :
État des revenus des fabriques extérieures et intérieures en 1808 (1809).
AD Landes. 70 V 311/7. Inventaire des biens dépendant de la fabrique de Saint-Geours-d'Auribat, 8 mars 1906
Lieu de conservation : Archives départementales des Landes, Mont-de-Marsan
Côte : 70 V 311/7
ISBD/Commentaire :
Inventaire des biens dépendant de la fabrique de Saint-Geours-d'Auribat, 8 mars 1906.
AD Landes. 70 V 311/8. Dons et legs à la fabrique de Saint-Geours-d'Auribat (1839-1884)
Lieu de conservation : Archives départementales des Landes, Mont-de-Marsan
Côte : 70 V 311/8
ISBD/Commentaire :
Dons et legs à la fabrique de Saint-Geours-d'Auribat (1839-1884) : Pierre Vanoosterom et Jeanne Fillon Labat (1839-1846), Jean Lorreyte (1856-1857), Justine Larrède (1870-1884).
AP Saint-Geours-d'Auribat. Registre des comptes de la fabrique de l'église Saint-Georges (1830-1859)
Lieu de conservation : Archives paroissiales, Saint-Geours-d'Auribat
ISBD/Commentaire :
Registre des comptes de la fabrique de l'église Saint-Georges (1830-1859).
Registre des délibérations du conseil de fabrique de l'église Saint-Georges (1825-1856).
Lieu de conservation : Archives paroissiales, Saint-Geours-d'Auribat
ISBD/Commentaire :
Registre des délibérations du conseil de fabrique de l'église Saint-Georges (1825-1856).
AP Saint-Geours-d'Auribat. Budget de la fabrique de l'église Saint-Georges (1886, 1888, 1895-1907)
Lieu de conservation : Archives paroissiales, Saint-Geours-d'Auribat
ISBD/Commentaire :
Budget de la fabrique de l'église Saint-Georges (1886, 1888, 1895-1907).
AP Saint-Geours-d'Auribat. Documents divers (1843-1895)
Lieu de conservation : Archives paroissiales, Saint-Geours-d'Auribat
ISBD/Commentaire :
Documents divers (1843-1895).
Bibliographie
Le Second Empire, essor des Landes, 1852-1870
ISBD/Commentaire :
Le Second Empire, essor des Landes, 1852-1870. Catalogue d'exposition, Mont-de-Marsan, 1980-1981.
Annexes
Extraits de documents concernant l'église Saint-Georges (Archives paroissiales, Saint-Geours-d'Auribat)
A. Registre des comptes de la fabrique de l’église Saint-Georges (1830-1859)
- « État des dépenses faites par J. Coudroy pour l’église de St Geours l’an 1830 » : RAS.
- « État des recettes de l’an 1830 » : « J’ai retiré de la chapelle de St George (sic) la somme de 15 fr. 8 c. […] ».
- « État des dépenses de l’an 1831 » : « Le 3 [avril]. J’ai fait faire à Tartas quatre chandeliers pour 8 francs. » « Le 5 9bre. J’ai fait faire 6 grands [cierges] en bois à Mr Berdoulet pour la somme de… 18 #. » « Le 9 9bre. J’ai donné à Mr le curé pour avoir fait aranger (sic) le crucifix...4 #. »
- « Recette de la fin de l’année de 1832 et 1833 » : « 1833. 28 mars. Vendu le vieux cierge pascal pour la somme de cinq francs. » « 1833. 31 mars. Payé au Sr Laloubère pour curer la fontaine de St George (sic) ci – 15 f. »
- « 1834 / Dépense faite dans l’église de St Geours dans l’année 1834 » : « Donné au charpentier pour recouvrir l’église… 22 fr. 85. »
- « 1835 / Dépenses faites dans l’année mil huit cent trente cinq » : « 7. Donné pour réparer la chapelle de St Georges à la fontaine – 15 f. 10. » « 8. Donné pour faire une boîte pour les hosties – 2 #. » « 13. Dépensé seize francs pour un nouvel armoire (sic) mis sur le confessionnal – 16 #. »
- « 1836. État des dépenses faites dans cette année » : « 13. Pour l’achat d’une fontaine pour la sacristie… 5 #. » « 17. Achetté (sic) une croix trente francs… 30 #. »
- « 1837. Dépense de l’année » : « Achetté (sic) une Banière (sic)… 112 #. » « Un ornement en damas noir… 73 #. »
- « 1839. Dépense » : « Pour le chemin de la croix… 1 # 50 c. » « Acheté une livre de graisse d’argent pour blanchir l’encensoir, la goubillon (sic) et la croix… 5 #. »
- « 1841. Dépense » : « Déficit de l’année précédente 59 # 17 c., lequel depuis a été acquitté par la confrérie du St Sacrement […] » « Acheté deux napes (sic) d’autel… 11 #. » « Acheté un bénitier portatif… 15 #. » « Acheté deux serrures pour l’armoire à trois clefs… 2 50c. »
- « 1842. Dépense » : « Acheté ornement chasublier… 80 #. »
- « 1843. Dépenses » : « Le 6 juin. Acheté le tableau du maître-autel… 125 # » « 19 juin. Décoration de l’église et réparation du tableau de Ste Magdeleine, chasis (sic) pour le tableau… 85 #. Dorure du cadre et de haut de [illisible]… 30 # ». « Tableau de St Jean aux fonts bapt[ismaux]… 30. »
- « Recettes 1843 » : « Reçu de Mr et Mme Vanoosterom pour le tableau de St Georges… 120 #. »
- « Dépenses 1844 » : « Donné à l’Italien pour arranger le monument [de la Semaine Sainte]… 4 #. » « Donné au menuisier pour l’armoire du confessionnal… 2 #. » « Faite relier le rituel à Dax chez Fondevielle… 5 #. »
- « Dépense de l’année 1845 » : « Acheté un missel… 28 #. » « Donné à l’Italien pour arranger le monument [de la Semaine Sainte]… 4 #. »
- « Dépense de l’année 1846 » : « Fait argenter l’encensoir, la grande croix et la croix qui est à la chapelle de la Vierge… 33 #. »
- « Dépense de l’année 1847 » : « Etolle (sic) pastorale… 35 # 77 c. »
- « 1848 / Dépense » : « Achat du tapis d’autel marche-pied… 35 #. » « Achat d’un encensoir… 25 #. » « Acheté une pale… 15 # « Deux aubes pour enfans de cœur (sic)… 10 #. »
- « Année 1849. Dépenses » : « Réparation d’ornements… 58 # 80 c. »
- « Dépense 1850 » : « Achat d’ornement toute couleur… 48 #. » « Menuisier et forgeron… 74 #. » « Pinture (sic) du balustre… 6 #. »
- « Dépense 1851 » : « Réparation d’ornement faite par brefs [ ?] de la croix… 32 #. » « Achat d’étoffe pour réparer le dais et faire les soutanes des enfants de cœur (sic)… 35 #. » « Achat d’un autel pour Notre Dame… 90 #. »
- « Recette 1851 » : « Reçu du trésorier de la confrérie pour l’autel de Notre Dame… 50 #. »
- « 1852 » : « Changé un encensoir, fait argente[r] l’autre avec les quatre chandeliers et arrangé la clochette… 18 # 50 c. »
- « Dépense de 1853 » : « Missel pour les morts… 4 #. » « Déplacement des fonts baptismaux… 40 #. »
- « Année 1854 » : « Achat d’un orn[ement]t blanc… 74 # 30 c. » « Achat du cierge pascal… 10 #. » « Un missel doré avec les [illisible]… 24 # 25 c. » « Dépenses extraordinaires :1° Achat d’un ornement blanc… 74 # 30 c. La confrérie a fourni 40 #. 2° Dorure du calice, de [l’]ostensoir, du St ciboire et du porte-Dieu… 117 #.3° Fait argenté (sic) le bénitier portatif, deux encensoirs, deux croix… 23 #. La confrérie a donné 15 # pour argenter une croix et un encensoir. »
- « Année 1855 / Dépense » : « Achat d’un ornement damas blanc… 73 #. » (note : « cet article de 73 # est un double emploi qui a été rectifié à la suite de la recette des chaises pour l’année 1856 – Voir d’autre part Note importante de rectification ».)
- « Fabrique de St Geours d’Auribat 1856 / Liste des maisons ou ménages qui ont payé le plaçage des chaises à raison de 1 f. chacune » : « Note importante […]. Rectification du compte de l’année 1855. Nous signalons comme double emploi dans les dépenses de 1855 l’article 73 fr. pour achat d’un ornement damas blanc qui a été payé en 1854, 74 f. 30 c. (voir les dépenses 1854 et 1855), d’où il en est résulté un déficit de 134 fr. 35 c., tandis que ce déficit n’est en réalité que de 61 fr. 37 c. »
- « Année 1856 » : « Recettes […]. Aumônes faites à la chapelle de St George (sic) [comme chaque année le jour de la fête du saint]. »
- « Année 1856. Dépenses » : « 20 février. Payé au sieur Liard, fabricant de chaises à Castelnau, pour 24 chaises à raison de 1 f. 20 l’une […]… 28.80. » « 12 [juin]. Aux Sœurs de la Croix de Poyanne pour blanchissage et repassage du linge de l’église… 7 f. 80. » « 13 [juin]. Aux filles de la Croix de Poyanne pour réparations d’un ornement vert faites en janvier présente année, treize francs… 13. »
- « 1857 » : « 21 mars. Pour frais de l’acte d’acceptation de la donation Lorreyte [ancien marguillier de l’église]… 154 f. » « 24 mai. Livre de chant acheté à la Vve Sourrouille à Tartas… 3. » « 12 [juin]. Aux Sœurs de la Croix de Poyanne pour blanchissage et repassage du linge de l’église… 7 f. 80. »
- « 1858. Dépenses » : « Janvier / 28. Traite pour solde de l’harmonium… 172. » « Janvier / 30. Argenture d’une croix de procession, deux encens[oirs], un bénitier et gou[illon], plus les chaînes d’un encensoir et une cuvette… 34. » « Mars / 4. A M. Daux pour un ornement (22 fr.), 4 vases (8) et bâton de croix (23), Te igitur doré (21 fr.)… 74. » « Avril / 10. Ouvrage de Cazalis menuisier pour boiseries et armoires au chœur… 70 (à compte [sic] de 95 fr. 25). » « Juillet / 26. Solde du compte de Cazalis menuisier (v. en varil)… 25 ». « 8bre [octobre] / 2. Glace pour le te igitur… 1,50. »
- « 1859. Dépenses » :« Janvier / 24. Travaux à la sacristie par Edouard Cazalis, menuisier… 35.00.»
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B. Registre des délibérations du conseil de fabrique de l’église Saint-Georges (1825-1856)
- Séance du 1er juin 1825 : « Dépenses depuis 7bre 1824 au 1er juin 1825 […] : surplis, étolle (sic) pastorale et un porte Dieu… 73 #. […] / Confessional (sic) à neuf… 30 #. / Réparation à un armoire (sic) de la sacristie… 5 # ».
- Séance du […] 1826 : « Dépenses […] : 3° Boissure (sic) du cœur (sic) et autres petites réparations… 72,90. / 4° Achat d’ornements et réparations… 142,50. » Payées en partie par un « don pour la boissure… 50,25. »
- Séance du 25 avril 1829 : « Dépense : 1° Plafond… 750 fr. / 2° Tribune… 40 fr. / 3° Peintures… 91. / 4° Ridaux (sic)… 29 […] » Les gros travaux payés par : « Recettes : 5° Reçu de Mr Montmorency (*)… 310. / 6° d’un particulier… 160. / 7° de la commune… 880. » [* Eugène-Alexandre, marquis de Montmorency-Laval (1773-1851), marié en 1802 à Maximilienne Augustine Henriette de Béthune-Sully, petite-fille et héritière de Charles-Léonard de Baylenx, dernier marquis de Poyanne et seigneur de Saint-Geours-d’Auribat (1718-1781).]
- Séance du 2 octobre 1829 : « Évêché d’Aire / Fabrique de la paroisse de Saint-Geours-d’Auribat. / Dominique-Marie Savy, évêque d’Aire […] nous avons nommé et nommons membres du conseil de la fabrique de l’église paroissiale de St Geours d’Auribat MM. Farthouat Jean, Coudroy Jean, Lestage Vincent, Domenger Bertrand, Marsan Jean ».
- Séances des 3 octobre 1829, 18 avril 1830, 3 avril 1832, 1er dimanche d’octobre 1832, dimanche de quasimodo 1833, 14 avril 1833, dimanche de quasimodo 1835, 10 avril 1836, dimanche de quasimodo 1837 : R.A.S.
- Séance du 1er dimanche de juillet 1837 : « Vu l’état présenté par MM. les Marguilliers constatant la nécessité de devoir renouveller (sic) plusieurs ornements indispensables pour la décence du culte, tels que chape, voile pour donner la bénédiction du St Sacrement, étole pastorale, chazuble (sic) noire et Banière (sic) / Vu l’offre de Mr le trésorier [Jean Farthouat] de vouloir faire les avances pour l’acquisition des ornements sus-mentionnés […] » [la proposition est approuvée]. Les ornements « par leur vétusté sont en lambeaux ».
- Séance du 17 octobre 1837 : la dépense prévue pour les achats projetés [voir juillet 1837] est de 387 francs ; on demande au conseil municipal de rembourser l’avance de Jean Farthouat.
- Séance du dimanche de quasimodo (avril) 1838 : « Érection du chemin de la croix » par Mgr Savy, évêque d’Aire » : érigé canoniquement le 24 février 1839.
- Séances des dimanche de quasimodo 1839, dimanche de quasimodo 1840, 26 mars 1842, 7 avril 1842, dimanche de quasimodo 1842, 1er dimanche d’avril 1842 : R.A.S.
- Séance du 1er dimanche d’avril 1843 : « Donation pour une fondation de 24 messes basses faite par Mr et Mme Vanoosterom devant Me Joseph Ducos, notaire royal à Montfort, comprenant : 1) lopin de terre servant de jardin au presbytère, 2) rente annuelle et perpétuelle de 25 fr. ».
- Séance du 23 avril 1843 : R.A.S.
- Séance extraordinaire du 30 avril 1843 : acceptation de la donation Vanoosterom.
- Séances des dimanche de quasimodo 1844, 30 mars 1845, 2e dimanche d’avril 1845, 1er dimanche de juillet 1845, 19 avril 1846 [pages manquantes], 7 avril 1850, dimanche de quasimodo 1851, dimanche de quasimodo (4 avril) 1853, 15 avril 1855, 30 mars 1856 : R.A.S.
- Séance du 5 octobre 1856 : acceptation de la donation de Jean Lorreyte, propriétaire à Poyanne et ancien marguillier de Saint-Geours, devant Me Viveron, notaire à Poyanne, d’une rente annuelle de 65 francs en faveur de la fabrique de Saint-Geours.
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C. Budget de la fabrique : liasse de formulaires imprimés (années 1886, 1888, 1895-1907 [manquent 1887 et 1889-1894])
- Comptes des dépenses (et recettes) courantes : pain, vin, huile, cire, frais d’entretien, honoraires du prédicateur, gages du sacristain, du sonneur et du suisse, loyer du presbytère, location des chaises, etc.
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D. Documents divers (1843-1895)
- Ordonnance de la visite pastorale de François-Adélaïde-Adolphe Lannéluc, évêque d’Aire (20 août 1843). « Art. 1. La pierre sacrée du maître-autel sera renouvelée, ainsi que celle de l’autel de la Vierge […]. Art. 3. Deux statues de plâtre peint, représentant deux petits anges adorateurs, seront enlevées et remplacées quand les ressources de la fabrique le permettront, par des statues de matière, de forme et de grandeur convenables […]. / Art. 9. Le tabernacle de l’autel de Ste madeleine sera muni d’une serrure, et son intérieur garni d’une étoffe de soie rouge. / Avant le quinzième jour du mois de janvier 1844 […]. »
- Mandat de la maison « COLOMIES & CABANES, ornements d’église, style Renaissance Moyen Age, 23 rue St-Rome, Toulouse, orfèvrerie sacrée et bronzes » (2 octobre 1882).Mandat de 411,75 francs à l’abbé Pierre Mauriac, curé de Saint-Geours-d’Auribat, pour « valeur fournie en ornements d’église ».
- Facture de la « Librairie religieuse de Mlle MATON, rue de l’Évêché, près de la cathédrale de Dax ». Pour fourniture d’une « boîte à encens » - 4 fr. » (26 décembre 1895).
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Extrait de la monographie paroissiale de Saint-Geours-d'Auribat, par le curé Pierre Mauriac vers 1890 (AD Landes, 16 J 18/19)
- Confréries : du Saint-Sacrement (fondée en 1749, érection canonique en 1770) ; de Saint-Georges (non documentée).
- Inventaire de l'église en 1791 : le linge mis à part, se trouvaient alors dans l'église deux calices, un ciboire, deux vases pour le saint chrême, un vase pour les saintes huiles, un porte-Dieu, un crucifix "pour donner la paix le dimanche", une grande croix de procession, un encensoir avec navette, le tout "en argent massif" ; deux pluviaux, un voile de bénédiction (rouge et or), deux dalmatiques en damas cramoisi, une chasuble blanche neuve à galon or, une vieille chasuble blanche, trois chasubles de damas cramoisi, une verte en damas à galon argent, deux chasubles noires, l'une en damas à galon blanc, l'autre en laine, deux bonnets carrés ; un grand antiphonaire, deux vespéraux, deux missels, deux processionnaux, deux offices des morts, un petit rituel, un grand rituel.
Le tout fut envoyé à Tartas le 25 novembre 1792 et disparut par la suite. Seule une cloche fut conservée dans l'église.
- Autels anciens : un dans la chapelle de sainte Quitterie.
- Église Saint-Georges. "IX. L'église nouvelle. Époque de sa construction. [...] Elle [la paroisse] peut aussi montrer son église, d'une seule nef et en forme entièrement neuve, bâtie dans le style du XIIe siècle et tout empreinte du caractère grave et pieux qui signale les œuvres de M. Ozanne. Il y a peu d'années, Saint-Geours n'avait pour maison de prière qu'un édifice lourd, sans grâce et dégradé par les injures des siècles. M. Lagor, curé de Sainte-Eulalie, de Saint-Sever, qui desservait la paroisse de Saint-Geours en 1858, projeta le premier de concert avec le maire M. Farthouat d'importantes réparations. Ce dessein, dont la réalisation avait été suspendue, a été repris par le nouveau curé M. Batistant et le nouveau maire, l'excellent M. Coudroy, et cette fois mené à bon terme. Par les conseils de M. Ozanne, l'idée d'une restauration fut abandonnée et la reconstruction résolue. / Les ressources vinrent de la commune et du Gouvernement, l'architecte hâta les travaux et bientôt les habitants de Saint-Geours purent assister aux offices sacrés dans leur église renouvelée et embellie. / Le principal était fait : l'accessoire devenait une question de temps. Ce fut d'abord le tout des vitraux qui sont sortis des ateliers du jeune M. Dagrand, de Bayonne, et sont du plus bel effet. Enfin, M. Auguste Coudroy, chrétien sincère et dévoué, a commencé avec intelligence l'ameublement de l'église par trois autels en marbre blanc d'Italie, fournis par M. Geruzet de Bagnères et admirés de tous les visiteurs (extrait de la Petite Revue catholique, 1872, p. 43)."
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Extraits de documents concernant l'église de Saint-Geours-d'Auribat et son mobilier (AD Landes, 2 O 1797)
I. Ancienne église :
1819. Réparations à l'église et au clocher par le chevalier de Caupenne, commissaire voyer de l'arrondissement de Dax, exécutées par les entrepreneurs Sourrouille et Dudès.
1825. Réparations à l'horloge et "dégagement du lambris".
1829 (16 octobre). Procès-verbal de réception de travaux de réparations au plafond de l'église, exécutés par le maître plâtrier Pierre Dumant, sous la direction de Pierre Boubé, expert.
1840. Réparation du clocher sur devis de Pierre Bastiat, maître charpentier à Poyanne, pour la somme de 517,25 francs.
1842. Réparation de l'horloge par Dominique Despessailles, horloger à Gamarde.
1863 (10 décembre). Délibération du conseil municipal : "L'église paroissiale de cette commune est dans un état tout à fait délabré [...]. / Vu le plan de restauration dressé par M. Louis Capdeville, expert-géomètre, dont l'exécution nécessite une dépense de douze mille trois cent vingt-huit francs cinquante-neuf centimes [...]", le conseil sollicitera un secours de l'État.
1864 (26 janvier). "Plan et devis pour la restauration de l'église de Saint-Geours-d'Auribat" par Louis Capdeville, expert-géomètre à Brassempouy (cahier broché) : "Nécessité de restaurer l'église de St-Geours d'Auribat. / De grosses et urgentes réparations sont à faire à l'église de St-Geours d'Auribat. C'est d'abord dans sa nef principale. Le blanc-beurre, qui lui sert de voûte, menaçant de tomber, a été retenu provisoirement et reste retenu depuis plusieurs années au moyen de quelques pièces de bois, qui, le prenant à l'intrados dans toute sa longueur, l'accrochent en le perçant à la charpente de la toiture. Mais convient-il de refaire cette voûte en blanc-beurre, sans lui donner plus d'élévation ? N'ayant qu'une hauteur de 4m50 sur une largeur de 5m92, et sur une longueur de 25m, cette voûte choque énormément la vue, et l'arcade qui la sépare de son unique collatéral rend cette église très bizarre par la disparité et l'irrégularité de ses arceaux et par l'étendue et la grosseur de ses supports. On désire donc et tout demande que ces supports, qui empêche toute vue entre les nefs, et du collatéral vers le chœur, soient diminués de leur grosseur, que l'arcade prenne une forme plus régulière, et que les murs de la grande nef et du chœur soient exhaussés pour donner à la voûte une hauteur convenable. Le mur extérieur de ces deux parties de l'édifice, quoique salpêtré dans son pied, ne laisse pas d'être très solide à raison de son épaisseur et de ses contreforts. / Mais le clocher, se trouvant construit sur le mur de la façade et sur les deux murs latéraux de la grande nef, et formant un carré parfait de 8m00, il est impossible de toucher au premier arceau de l'arcade ni à ses deux supports sans avoir à craindre d'ébranler le clocher, et si l'on élève de 3m00 ou de 4m00 les murs de la nef, ce clocher que ce travail va masquer, et dont la flèche sera presque atteinte par la toiture de la nef va prendre la forme la plus bizarre. On ne peut donc donner plus d'élévation à la voûte de la nef, ni refaire une arcade qu'autant que ce clocher sera déplacé et reconstruit autrement. Cette restauration est d'ailleurs presque exigée par le mauvais état où se trouve ce clocher, par la réparation qu'il demande. Il est d'une forme des plus ridicules par sa largeur si disproportionnée avec son peu d'élévation, et par cette énorme flèche de forme conique, qui posée sur ce pâté de maçonnerie a tout-à-fait la figure d'un éteignoir. La couverture de cette flèche en lames de bois peint ne peut plus abriter ce qu'elle couvre étant toute vermoulue. Les deux angles de sa maçonnerie au couchant lézardés et disjoints dans leur dernière hauteur, seraient à refaire dans cette partie, par la raison surtout que quelques pierre de taille, dévorée par l'intempérie des temps, devraient être remplacées. Mais ce qui est plus grave, c'est que les deux autres angles se trouvent compromis par un vice de construction. Ils reposent sur une poutre placée au-dessus et en travers de la nef, d'un mur à l'autre, et destinée à soutenir une cloison en torchis qui forme la quatrième face du clocher. Or l'extrémité de cette poutre, qui traverse toute l'épaisseur de l'angle ou du mur et dans une largeur de 0m35, se trouve exposée au mauvais temps, paraît déjà pourrie, et lorsqu'elle sera écrasée sous le poids de ce qu'elle soutient, ces deux angles s'écrouleront nécessairement, et la flèche tombera avec eux sur la toiture de la nef. / Le collatéral construit à deux reprises différentes, présente aussi d'énormes irrégularités et exige bien des réparations. Un arceau tout lézardé, placé en travers sur le milieu, le coupe en deux. C'est un mur qui a été ouvert pour bâtir le reste de ce collatéral, dont la première partie n'était qu'une chapelle, et qui n'est éclairé que par quelques ouvertures disparates et mal distribuées, et sa largeur plus grande sur le milieu qu'à ses deux extrémités est loin d'être en rapport avec le peu d'élévation de son blanc-beurre. Son mur extérieur, d'une mince épaisseur, tout bossu et miné par son pied, ne paraît pas d'une grande solidité, à raison de sa vétusté. D'ailleurs si la nef principale et son arcade sont exhaussés [sic], il faut nécessairement que le collatéral le soit aussi, parce que le blanc-beurre de ce dernier viendrait masquer la nouvelle arcade, qui s'élèverait au-dessus. Qu'y a-t-il à faire pour restaurer cette église ? Pas de meilleur parti à prendre que celui de construire un autre clocher sur l'entrée actuelle de l'église et à l'intérieur, où le mur de la façade, qui par son épaisseur est d'une solidité à toute épreuve, peut servir de quatrième face ; que de renverser, pour la refaire, l'arcade actuelle avec la partie du mur qu'elle soutient pour exhausser les murs de la nef et du chœur, et donner à la voûte une hauteur convenable ; et que de reconstruire sur un alignement plus direct et plus rapproché le vieux mur du collatéral avec son retour vers le clocher. L'église sera plus petite, mais elle sera plus que suffisante, attendu que la paroisse n'a plus aujourd'hui que la moitié de son ancienne population et de son étendue. / Ce plan de restauration sera plus amplement décrit par le détail qui va suivre. / Détail descriptif des travaux à exécuter pour la restauration de l'église de St-Geours avec les dimensions et dispositions à donner à chaque partie. [...] / Détail descriptif des travaux à exécuter pour la restauration de l'église de St-Geours avec les dimensions et disposition donnée à chaque partie. [non transcrit]
[En annexe : plan, coupes et élévations de l'église avec les modifications projetées : ill. 20244002075NUC2A à 20244002079NUC2A.]
1864 (14 mars). Lettre du sous-préfet de Dax au préfet des Landes : lui transmet les pans et devis de "M. Capdeville, expert-géomètre" pour la restauration de l'église de Saint-Geours, avec ce commentaire : "Sans vouloir discuter les aptitudes de cet expert, comme architecte, je crois devoir vous soumettre une observation qui s'applique généralement à tous les travaux de ce genre votés par les conseils municipaux. Aussitôt qu'une commune a manifesté l'intention d'élever une construction ou d'entreprendre quelque restauration, il se trouve presque toujours dans le voisinage quelque expert qui se propose pour faire le projet. Le plus souvent, ces experts, très bon géomètres sans doute, n'ont qu'une connaissance très superficielle en architecture ; leur insuffisance ne les arrête pas ; le plus souvent soutenus et patronnés dans le sein du conseil municipal par quelque parent ou quelque complaisant ami, ils font adopter leur plan par l'assemblée et, malgré leurs sacrifices, les communes se trouvent dotées d'édifices peu solides, mal construits et dépourvus de tout art et de tout style. C'est ainsi que dernièrement, à Capbreton, un membre du conseil municipal se chargeait lui-même du projet de construction de la salle d'asile et le faisait accepter par ses collègues de l'assemblée [...]. La clientèle des communes appartient généralement aux moins capables, et les maires sont les premiers, sous le prétexte d'une économie illusoire, à achalander le cabinet de ces prétendus architectes. Sans vouloir ranger dans la catégorie de ces projets mal conçus le travail de M. Capdeville, je crois qu'il serait utile de le faire sérieusement examiner par la Commission des bâtiments. Ce serait une précieuse garantie pour la commune de St-Geours."
1864 (21 mars). "Commission des bâtiments civils [...]. Restauration de l'église de la commune de St-Geours d'Auribat. / La commission après examen du projet a reconnu qu'il était l'œuvre d'une personne n'ayant aucune notion d'architecture et ne connaissant même pas le dessin. Elle s'associe complètement aux observations générales présentées dans la lettre de M. le sous-préfet de Dax et qui s'appliquent en tout et pour tout au travail qui lui est soumis. / Les dessins incorrects et grossiers ne permettent de juger, ni de l'aspect actuel de l'église, ni des parties qui seront conservées, ni de celles qui seront démolies. On ne peut pas davantage apprécier l'aspect de l'édifice après sa restauration, son style, son caractère. / Dans sa conception générale, le plan n'est pas heureux. [...] Ne vaudrait-il pas mieux démolir et reconstruire l'église que de la démolir presque entièrement pour la restaurer d'une manière fâcheuse ? Dans les dimensions de l'église actuelle, une église neuve de style roman ne coûterait pas beaucoup plus que la restauration proposée." Projet rejeté.
1864 (3 avril). Délibération du conseil de fabrique : demande de secours au conseil municipal pour financer le projet de restauration de l'église.
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II. Nouvelle église :
1865 (4 mars). Avis du sous-préfet de Dax : "Vu les plans et devis pour la reconstruction de l'église, considérant que le projet adopté par le conseil municipal réunit toutes les conditions désirables sous le rapport du style architectural et de la destination de l'édifice [...]", le sous-préfet approuve une demande de secours présentée à l'État.
1865 (29 mars). Lettre du préfet des Landes à l'évêque d'Aire Louis-Marie Epivent : lui transmet une demande de secours "pour la construction d'une église" à Saint-Geours.
1866 (30 avril). L'État accorde un secours de 4.000 francs payable en trois annuités (1.500, 1.500 et 1.000).
1866 (13 mai). Délibération du conseil municipal : "Vu la demande faite par M. le maire de Saint-Geours-d'Auribat à M. le Vicomte de Vidart, rentier, demeurant à Paris, tendant à obtenir l'échange de deux parcelles de terrain communal figurant sur le plan cadastral de ce lieu sous les n° 81 et 82, section G-5, d'une contenance totale de soixante-dix-sept ares trente-un centiares contre une parcelle d'une égale contenance prise sur les n° 76 et 78, section G-5 du même plan que ci-dessus, appartenant au dit M. de Vidart, sur laquelle parcelle la commune se propose de construire la nouvelle église [...]."
1866 (22 juin). Lettre à l'évêque d'Aire Louis-Marie Epivent au préfet des Landes : lui transmet avec avis favorable la demande de secours présentée par la commune de Saint-Geours.
1866 (24 juin). "Commune de Saint-Geours-d'Auribat. / Enquête de commodo et d'incommodo relative à un échange de terrains communaux." : "[...] échange de terrain entre ladite commune et M. le Vicomte de Vidart pour un emplacement nouveau où l'on se propose de reconstruire l'église paroissiale [...]".
1866 (27 juin). Lettre du sous-préfet de Dax au préfet des Landes : "Saint-Geours-d'Auribat. Echange de terrains entre la commune et le vicomte de Vidart". Avis favorable.
1867 (12 avril). Délibération du conseil municipal :
1867 (12 avril). Délibération du conseil municipal : "Demande tendant à obtenir l'approbation des pièces fournies par M. Pémartin, géomètre à Montfort, au sujet d'une parcelle de terrain que la commune se propose d'acquérir pour agrandir le pourtour de l'église paroissiale [...] en construction actuellement." La parcelle de dix-huit ares est vendue au prix de 30 francs l'are par Mme de Chauton, née Labat, domiciliée à Saint-Geours-d'Auribat.
1867 (1er juillet). Délibération du conseil municipal : même objet que celui de la délibération précédente.
1867 (2 septembre). Acte de vente du terrain destiné à agrandir la parcelle sur laquelle se construit l'église paroissiale, par Adèle de Chauton, née Labat, épouse d'Adrien de Chauton, devant Maître Ducos, notaire à Montfort, pour la somme de 633 francs.
1869 (10 octobre). Délibération du conseil municipal : "Séance extraordinaire du 10 8bre 1869. / L'an mil huit cent soixante-neuf et le dix du mois d'octobre, le Conseil municipal de la commune de St-Geours d'Auribat s'est réuni en séance extraordinaire en vertu d'une autorisation de M. le Sous-Préfet de Dax, en date du six de ce mois. / [...] / M. le Maire [André-Auguste Coudroy] expose au Conseil : - que les chapelles de la nouvelle église sont dépourvues d'autels ; - que ce serait satisfaire au vœu unanime des habitants que de faire faire deux petits autels pour meubler les chapelles ; - qu'une bonne occasion se présente : le sieur Barrau, sculpteur à Toulouse, s'engage de fournir à la commune deux autels en marbre blanc d'Italie avec les panneaux en marbre rosé vermeil, le tout pour la somme de 1140 f. y compris la pose ; - que lors des concessions faites aux sieurs Campet et Ducos d'une partie des landes de la commune, le Conseil ne donna son avis favorable que sous la condition expresse que la somme provenant desdites concessions serait employée à meubler ladite église ; - que les ressources de la fabrique sont épuisées et que son budget se solde par un déficit important ; - que dans ce cas, conformément au décret du 30 décembre 1809 (chap. IV, art. 92), la commune est obligée de venir à son secours ; - qu'il engage en conséquence le Conseil à voter la somme de 1140 f., à prendre sur le prix des concessions faites aux sieurs Campet et Ducos, pour l'achat de deux autels pour les chapelles de la nouvelle église. / Le Conseil, Ouï l'exposé de M. le Maire, Considérant que le vœu des habitants est que les chapelles de la nouvelle église soient pourvues d'autels ; Vu l'engagement du sieur Barrau, sculpteur à Toulouse ; le décret du 30 décembre 1809 sur les fabriques ; / Attendu que la fabrique ne peut pas la dépense nécessaire pour l'achat des deux autels ; / Vote la somme de 1140 f. à prendre sur les concessions faites aux sieurs Campet et Ducos, pour l'achat de deux autels pour les chapelles de la nouvelle église. / Fait et délibéré à St-Geours d'Auribat les jour, mois et an que dessus. Ont signé au registre les membres présents. / Pour extrait conforme, St-Geours d'Auribat, le 24 8bre 1869. Le maire, A. Coudroy. [En marge : "Appr. le 29 8bre le traité passé avec le sieur Barrau. Dax" ; "Vu et soumis la délibération ci-jointe à l'approbation préfectorale. Dax le 27 octobre 1869. Le sous-préfet [...]" ; "Approuvé : à Mont-de-Marsan, le 29 octobre 1869. Le Préfet des Landes, [lisible : de Lespinasse de Pebeyre]."]
1869 (24 octobre). Lattre du maire Auguste Coudroy au préfet des Landes : lui transmet la délibération du conseil municipal sur le vote de la somme de 1.140 francs destinée à l'achat de "deux autels en marbre blanc d'Italie".
1869 (7 novembre). Délibération du conseil municipal : "M. Ozanne, architecte du département, vient de remettre le décompte général des travaux de la nouvelle église." Total : 30.054,97 francs (dont 2.500 francs en vieux matériaux et 17.554,97 francs en numéraire).
1869 (13 décembre). "Commune de S-Geours d'Auribat. Construction d'une église. Certificat de réception définitive des travaux. / L'architecte du département des Landes, soussigné, certifie que les travaux ci-dessus mentionnés exécutés par le sieur Jules Charpentier, entrepreneur, sont terminés et reçus définitivement. / En conséquence, l'entrepreneur peut toucher le solde de son compte et recouvrer son cautionnement. / Montant du décompte approuvé... 28.417 f. 40. / A-comptes payés, savoir : matériaux... 2500 f. 00. Numéraires... 21.5000 f. 00. Ensemble... 24.000 f. 00. Reste à payer... 4471 f. 50. / Mont-de-Marsan le 13 décembre 1869. Ozanne."
1870 (7 novembre). Délibération du conseil municipal : "Les grilles des deux croisées des sacristies de la nouvelle église ont été faites par M. Lartigoueyte, forgeron à Louer [...]. D'après une note de M. Ozanne, architecte du département, en date du 30 août dernier, le prix des dites grilles n'a pas été porté sur le décompte final". Prix à payer : 35 francs.
1893 (9 juin). Délibération du conseil municipal : "Refonte d'une cloche et réparations au clocher. Vote de 239 f. 35. / [...] Vu le sous-seing privé passé entre M. le maire et le Sr Délestan fondeur, pour la refonte de la cloche, montant à la somme de... 239 f. 35. [...] Considérant que la refonte de la cloche est nécessaire pour établir l'harmonie dans la sonnerie [...]. Le conseil [...] est d'avis à l'unanimité que la commune prenne à sa charge la refonte de la cloche et les réparations au clocher [..]."
1919 (19 octobre). Délibération du conseil municipal : "Démolition de la flèche du clocher de l'église. Adjudicataire. [...] Le conseil municipal reconnaît la nécessité que cette démolition est de toute urgence par rapport aux accidents qui pourraient en résulter [...] La flèche du clocher menace de s'effondrer et d'entraîner de grands dégâts et de grands accidents. [...]" Les travaux de démolition sont adjugés à Louis Guélin, couvreur-zingueur à Mugron, pour la somme de 850 francs. Les autres soumissionnaires étaient : Léopold Lantrade et Charles Sarrés, tous deux de Montfort-en-Chalosse.
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Inventaire des biens dépendant de la fabrique de Saint-Geours-d'Auribat, 8 mars 1906 (AD Landes. 70 V 311/7)
"Inventaire des biens dépendant de la fabrique paroissiale de St Geours d'Auribat.
L'an mil neuf cent six, le huit mars à 1 heure du soir, En présence de MM. Layar, curé, desservant de St Geours d'Auribat, de Chauton, président du conseil de fabrique à St Geours d'Auribat. / Nous soussigné, Bailacq, receveur des Domaines à Montfort, dûment commissionné et assermenté, spécialement délégué par le Directeur des Domaines à Mont-de-Marsan, avons procédé ainsi qu'il suit, à l'inventaire descriptif et estimatif des biens de toute nature détenus par la fabrique paroissiale de St Geours d'Auribat.
Chapitre I. Biens de la fabrique. / Eglise. / Nef & bas-côtés. / 1. 2 bénitiers en marbre blanc scellés au mur - 5. / 2. 1 Fonts baptismaux, en marbre à couvercle cuivre - 10. / 3. 1 confessionnal chêne de 2.80 de haut & 2.80 de large - 15. / 4. 1 chaire à prêcher escalier tournant, avec abat-voix, sujets relief dorés, revendiqué - 80. / 5. 1 Christ plâtre sur croix bois noir - 4. / 6. 14 chemins de croix [sic] papier chromo et baguettes dorées - 10. / 7. 80 chaises dont 30 à la fabrique, dessus paille - 25. / 8. 3 lustres, un en cristal et 2 cristal & métal cuivre - 20. / 9. 6 bancs dont trois avec dossier, bois blanc - 3. / à gauche : / 10. 1 autel marbre blanc, surmonté d'une statue de la Vierge de 1m10 de haut, avec dessus d'autel blanc et 3 candélabres bois, revendiqué - mémoire. / 11. 4 bouquets de fleurs papier - 0,50. / 12. 8 vases verre de porcelaine - 1. / à droite : / 13. 1 autel marbre blanc, surmonté d'une statue de St Joseph de 1m10 de part avec dessus d'autel, 4 candélabres - mémoire. / et 14. 4 bouquets fleurs papier - 0,50. / 15. 4 vases verre de porcelaine - 0,50. / 16. 2 statues : Sacré-Cœur et St Antoine, 1m20 de haut, plâtre, revendiqué - 40. / 17. 1 tronc en bois doré - 0,50. / 18. 2 vases porcelaine - 0,20. / 19. 4 chandeliers verre - 0,20. / 20. 6 vitraux grisaille - 15. / 21. 1 vitrail grisaille à la tribune - 2. / 22. 1 tableau représentant le baptême de St Jean Baptiste, sans valeur - 1. / Chœur. / 23. 1 grille en fer de 0m80 de haut - 10. / 24. 1 pendule cartel - 20. / 25. 2 statues : St François Xavier et St Georges, plâtre, 1m10 de haut - 35. / 26. 3 lustres, 2 en cristal et 1 métal doré - 25. / 27. 1 autel marbre et filets or, tabernacle vide avec : - mémoire / 28. 6 candélabres bois - 2. / 29. 4 chandeliers - 1. / 30. 1 croix d'autel métal doré de 0m60 de haut - 5. / 31. 3 vitraux représentant le Sacré-Cœur, St Georges et la Vierge - 40. / 32. 1 tapis de 2 mètres carrés - 2. / 33. 1 lampe veilleuse verre - 0,50. / Sacristie. / 34. 1 armoire, chêne, servant aux ornements - 15. / 35. 1 prie dieu bois - 2. / 36. 1 lavabo fer blanc - 0,50. / 37. 2 chaises dessus paille - 0,50. / 38. 4 aubes - 3. / 39. 2 chapes : une dorée et une noire - 25. / 40. 1 voile pour bénédiction - 3. / 41. 8 ornements complets : 3 blancs, 1 rouge, 1 violet, 2 noirs - 100. / 42. 5 surplis - 4. / 43. 4 costumes d'enfants de chœur rouges - 15. / 44. 6 nappes d'autel - 5. / 45. 6 devants d'autel - 4. / 46. 6 essuie-mains - 1,50. / 47. 2 nappes de communion - 1,50. / 48. 4 amicts - 4. / 49. 4 corporaux - 0,50. / 50. 12 purificatoires - 1. / 51. 14 lavabos - 1. / 52. 2 étoles pastorales, 1 couleur et 2 noires - 5. / 53. 1 porte missel - 2. / 54. 2 missels - 1. / 55. Drap mortuaire - 10. / Vases sacrés. / 56. 1 ostensoir argent de 0m63 de haut - 30. / 57. 1 calice argent, coupe dorée, de 0m24 de haut - 15. / 58. 1 ciboire argent, de 0m24 de haut - 12. / 59. 1 bénitier en cuivre avec goupillon - 6. / 60. 1 cuvette cuivre pour fonts baptismaux - 3. / 61. 1 encensoir avec navette en cuivre - 10. / 62. 2 paires de candélabres en cuivre - 2. / Divers. / 63. 1 croix de procession métal et manche bois - 10. / 64. 1 burette et plateau verre - 0,50. / 65. 1 boîte à hosties fer blanc - 0,20. / 66. 1 sonnette cuivre - 1. / 67. 1 plat à quêter bois - 0,10. / 68. 15 bouquets fleurs artificielles - 2. / 69. 10 vases à fleurs porcelaine et verre - 1. / Clocher. / 70. 2 cloches de 0m65 x 0m65, inscriptions illisibles - mémoire. / Evaluation du sol de l'Eglise : deux cents francs - 200. / L'Eglise est de construction fort ancienne [sic !]. / Les estimations émanent du receveur seul.
Chapitre II. Biens de l'Etat, du département ou de la commune dont la fabrique n'a que la jouissance. / L'Eglise et le Presbytère avec champ attenant sont la propriété de la commune.
Déclarations concernant l’actif et le passif. Actif : d'après les documents de la fabrique, l'actif comprend les titres de rentes sur l'Etat français suivants : 1° 11 francs série D n° 3642, 2° 15 francs série D n° 3643, 3° 20 francs série D n° 3644. Total : 46 f. / Passif : fondation de messes à concurrence de cette dernière somme.
Observations d’ordre général. Protestations déposées par MM. le Curé et le président du conseil de fabrique annexés au présent procès-verbal. [...]
En conséquence, nous avons clos le présent inventaire contenant 4 rôles, - renvoi et - mots rayés seuls, le huit mars 1906 à 3 heures du soir et, après lecture faite, nous l'avons signé seul, les comparants ayant refusé de le revêtir de leur signature. / A St Geours d'Auribat, le 8 mars 1906. / Bailacq."
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Galerie d'images 21

Extrait du plan cadastral du début du XIXe siècle, section dite de Sourbé, 4e feuille (AD Landes, 286 W 260).
Auteur de l'illustration : Maisonnave Jean-Philippe
Plan cadastral de Saint-Geours-d'Auribat au début du 19e siècle, avec l'ancienne église en bleu au centre (AC Saint-Geours d'Auribat).
Auteur de l'illustration : Maisonnave Jean-Philippe
Plan de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées, par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Auteur de l'illustration : Maisonnave Jean-Philippe
Coupe et élévations de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Auteur de l'illustration : Maisonnave Jean-Philippe
Élévation extérieure de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Auteur de l'illustration : Maisonnave Jean-Philippe
Élévation extérieure de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Auteur de l'illustration : Maisonnave Jean-Philippe
Extrait d'un rapport du géomètre Louis Capdeville sur l'ancienne église de Saint-Geours avec détails de la charpente du clocher et de sa flèche, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).
Auteur de l'illustration : Maisonnave Jean-Philippe
Plan schématique. Dess. J.-Ph. Maisonnave, 2013.
Auteur de l'illustration : Maisonnave Jean-Philippe, Maisonnave Jean-PhilippeLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Landes , Saint-Geours-d'Auribat
Milieu d'implantation: en village
Cadastre: 2014 C 360
Extrait du plan cadastral du début du XIXe siècle, section dite de Sourbé, 4e feuille (AD Landes, 286 W 260).

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan cadastral de Saint-Geours-d'Auribat au début du 19e siècle, avec l'ancienne église en bleu au centre (AC Saint-Geours d'Auribat).

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées, par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Coupe et élévations de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Élévation extérieure de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Élévation extérieure de l'ancienne église de Saint-Geours avec les modifications projetées par Louis Capdeville, expert-géomètre, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Extrait d'un rapport du géomètre Louis Capdeville sur l'ancienne église de Saint-Geours avec détails de la charpente du clocher et de sa flèche, 26 janvier 1864 (AD Landes, 2 O 1797).

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan schématique. Dess. J.-Ph. Maisonnave, 2013.

Maisonnave Jean-Philippe, Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Détail du clocher.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chevet vu depuis le sud.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Chapelle et sacristie sud.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ensemble depuis le nord-est.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue intérieure.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue intérieure.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Un culot du porche.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Un dosseret dans le choeur.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Un chapiteau du choeur.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Détail de la charpente du clocher.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Croix-monument aux morts dans l'enclos de l'église, au sud-est.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Croix-monument aux morts dans l'enclos de l'église, au sud-est : détail de la plaque.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ensemble depuis le sud-est.

Maisonnave Jean-Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossiers en lien avec Église paroissiale Saint-Georges
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