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Minoterie, usine de feutre pour papeterie, actuellement Cie des feutres et des tissus industriels
France > Nouvelle-Aquitaine > Charente > Gond-Pontouvre

Bâtiment de tissage, façade sud.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Les bureaux vus du nord-est.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Plan-masse et de situation. Extrait du plan cadastral de 1990, section B, au 1/1000, diminué.
Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Plan-masse de l'usine, fourni par l'entreprise, sans date.
Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Plan géométrique de l'usine du Gond, vers 1825. A. D. Charente, S 359.
Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Plan masse de l'usine (Martinet à cuivre), vers 1825. A. D. Charente, S 359.
Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

En-tête d'une lettre de la Société A. et J. Callaud cousins, minotiers au Gond. S.d. (fin XIXe siècle ?). A. D. Charente, S 359.
Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente

Vestiges d'une roue de type Sagebien.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Bâtiment de tissage, façade est.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Bâtiment de tissage vu du nord-est.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Bâtiment de l'entretien, façade ouest.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Bâtiment de feutrage non tissé.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Nouveaux bâtiments de tissage vus de l'est.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Machine à carder de 1952. Protection enlevée.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Continue à filer, vers 1970.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Métier à tisser, vers 1948.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Aiguilleteuse pour feutrer.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Feutreuse à vapeur de 1929.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel

Plan général de l'usine Callaud, s.d..
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente

Plan général des usines du Gond, 1853.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente

Plan de détail, 1826.
Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente
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Titre : Minoterie, usine de feutre pour papeterie, actuellement Cie des feutres et des tissus industriels
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Période : 2e quart 19e siècle , 4e quart 19e siècle , 1er quart 20e siècle , 2e quart 20e siècle , 3e quart 20e siècle
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Localisation : Charente , Gond-Pontouvre , 150 route de Vars
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Charente
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Phase du dossier : repéré
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Date d'enquête : 1988
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Auteur du dossier : Van Riesen Wulf
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Copyright : (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Historique
Cette minoterie est construite entre 1840 et 1852 pour J. Callaud et Cousins (Brisson fils et Glaumont aîné), à la place de deux moulins à blé et de deux martinets à cuivre, dont l'un est, jusqu'en 1810, une forerie à canons. A partir de 1885, les filateurs Régnier et Pellevoisin, puis E. Régnier construisent les bâtiments d'une usine à feutre. La minoterie (reprise vers 1890 par Brisson puis par Dindinaud) fonctionne jusque dans le deuxième quart du 20e siècle. Vers 1920, le bâtiment de la feutreuse à vapeur est construit, puis, entre 1940 et 1945, le bâtiment de tissage, vers 1950, l'atelier de la filature et, vers 1960, l'atelier de l'aiguilletage. Le métier à tisser de 18 m, date de 1948, de Rosenfors. La roue en bois à palettes fait 3, 30 m de largeur et 4, 50 m de diamètre. L'effectif en 1988 est de 409 personnes.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 2e quart 19e siècle Principale : 4e quart 19e siècle Principale : 1er quart 20e siècle Principale : 2e quart 20e siècle Principale : 3e quart 20e siècle |
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Description
L'ancienne minoterie à un étage, est en pierre de taille, avec toit à longs pans et croupes couvert de tuile creuse. L'atelier de réparation et un des ateliers de fabrication sont en moellon enduit, avec toit à longs pans et lanterneau couvert de tuile mécanique ou de ciment amiante. L'atelier de feutrage à vapeur est en parpaing de béton et couverture en ardoise. Le bureau à un étage est en béton.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Étages |
1 étage carré |
Couvrements |
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Couvertures |
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Énergies |
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Typologie |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA00066285 |
Dossier réalisé par |
Van Riesen Wulf
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Cadre d'étude |
|
Aire d'étude |
Charente |
Phase |
repéré |
Date d'enquête |
1988 |
Copyrights |
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Minoterie, usine de feutre pour papeterie, actuellement Cie des feutres et des tissus industriels, Dossier réalisé par Van Riesen Wulf, (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/a8a2f629-a9a8-4beb-a572-4099b9c9895e |
Titre courant |
Minoterie, usine de feutre pour papeterie, actuellement Cie des feutres et des tissus industriels |
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Dénomination |
minoterie usine de feutre |
Précisions sur la dénomination |
usine de feutre pour papeterie |
Appellation |
dite usine de feutre Régnier, actuellement Compagnie des feutres et des tissus industriels (COFPA) |
Parties constituantes non étudiées |
atelier de fabrication atelier de réparation bureau logement patronal cheminée d'usine |
Statut |
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Intérêt |
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Documents d'archives
1818, 12 novembre. Rapport de l'Ingénieur sur une pétition du sieur Callaud.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente, Angoulême
Côte : S 359
ISBD/Commentaire :
1818, 12 novembre. Rapport de l'Ingénieur sur une pétition du sieur Callaud.
1811, 20 mars. Compte rendu du Conseil de la Préfecture de la Charente.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente, Angoulême
Côte : S 359
ISBD/Commentaire :
1811, 20 mars. Compte rendu du Conseil de la Préfecture de la Charente.
Usine à cuivre et moulins du Gond, moulin de Bourlion à Gond-Pontrouve.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Charente, Angoulême
Côte : S 359
ISBD/Commentaire :
Usine à cuivre et moulins du Gond, moulin de Bourlion à Gond-Pontrouve.
Bibliographie
COFPA. Publicité de l'entreprise. Vers 1985.
ISBD/Commentaire :
COFPA. Publicité de l'entreprise. Vers 1985.
" La laine et ses utilisations ". Images de Charente. Revue géographique et industrielle de France, n° 29. Paris, 1964.
Mention : p. 97-98
ISBD/Commentaire :
" La laine et ses utilisations ". Images de Charente. Revue géographique et industrielle de France, n° 29. Paris, 1964.
Quenot, J. P. Statistique du département de la Charente. Paris, 1818.
Mention : p. 460
ISBD/Commentaire :
Quenot, J. P. Statistique du département de la Charente. Paris, 1818.
Annexes
Extrait de : Quenot, J.-P. Statistique de la Charente, Paris, 1818, p. 460.
VIII. Martinet à cuivre rouge.
Il existe sur la Touvre, dans un village appelé le Gond, commune de l'Houmeau, trois usines de martinet à cuivre rouge, dont la première fut établie en 1764. Le nombre des ouvriers qui y sont employés n'est que de six ; ils gagnent 1 franc 5o centimes par jour, et les produits qu'ils établissent peuvent s'élever, tous frais défalqués, à 9 ou 10,000 francs. On y façonne toutes sortes d'ustensiles, comme chaudières pour les raffineries de sucre, pour les teintures, pour la distillation des eaux-de-vie chaudrons, casseroles, bassines, etc. Le mécanisme de ces établissemens est aussi grossier qu'il est possible d'imaginer.
IX. Chaudronnerie.
La chaudronnerie est bornée ici à la vente et au raccommodage ; c'est dans l'arrondissement de Cognac qu'il y a le plus d'ouvriers, et où ils trouvent plus sûrement de l'occupation, à cause des nombreuses distilleries dans lesquelles on se sert d'ustensiles de cuivre. Il est difficile de connaître quels peuvent être les revenus de cette branche si peu importante de l'industrie de ce département ; mais en supposant que les ouvriers qui s'y livrent gagnent, l'un portant l'autre, 800 francs par an, on aura un produit approximatif de 40,000 francs.
X. Horlogerie.
Les horlogers ne fabriquent aucune pièce d'horlogerie, et leur travail se borne à ajuster celles qu'ils font venir de Paris et de Genève ; mais plus aujourd'hui de Paris que de cette dernière ville. On en compte vingt-sept dans le département, et la principale occupation de la plupart consiste dans le raccommodage. Quelques-uns, à Angoulême et à Cognac, jouissent d'assez de réputation, et beaucoup réunissent à leur état l'orfèvrerie et la bijouterie. On porte à 90,000 francs le produit de l'ouvrage qu'ils font annuellement.
Société Anonyme des Établissements Régnier. Extrait de l'Illustration économique et financière, 1922, p. 94.
Cette usine est située sur la Touvre aux eaux claires et courantes, au milieu des arbres de la vallée, à quelques centaines de mètres de son confluent avec la Charente, au lieu dit Le Gond.
Vieille de trois quarts de siècle, cette usine a suivi les progrès et les exigences de la papeterie, et, là où tournaient jadis de vieilles roues à palettes et où battaient en geignant les métiers à bras, une centrale électrique avec turbo-alternateur distribue l'énergie nécessaire aux ateliers de filature, de tissage et d'apprêts.
Parmi les plus importantes et les mieux outillées, elle fabrique pour la France et l'exportation des feutres susceptibles d'habiller les plus grandes machines à papier et celles fabriquant les papiers les plus fins.
M. E. Régnier, l'industriel qui a réorganisé cette usine depuis 1885 et l'a agrandie et perfectionnée, a transformé cette affaire en Société anonyme avec le concours de ses fils.
Usine moderne, en pleine activité, où se conservent sous une direction familiale, les vieilles traditions de bonne fabrication.
La laine et ses utilisations ; le feutre de papeterie. Extrait de : Images de Charente, 1964, p. 97-98.
l.a Charente ayant été au cours du XIXe siècle le berceau de la papeterie française, il était tout naturel que s'implantent à Angoulême et dans sa banlieue immédiate, plusieurs usines de feutres pour papeteries.
L'activité de cette profession parfaitement inconnue du grand public, consiste dans la fabrication des tissus techniques destinés à l'habillage des différents postes de la partie humide et de la partie sécherie des machines à papier, à carton et à cellulose.
Les feutres de papeteries sont donc un élément essentiel, et indispensable à la fabrication du papier. Il existe un assez grand nombre de types de machines à papier, à carton et à cellulose. Sur chacun de ces types de machines sont fabriquées différentes sortes de papier.
Les qualités de papiers et cartons sont extrêmement variées puisqu'elles vont du condensateur aux cartons les plus épais, en passant par les papiers d'impression et d'écriture, d'emballage, les papiers krafts, les papiers paille, les papiers cigarette, bible, etc.
La diversité des papiers fabriqués et des machines qui les produisent, implique une très grande variété des types de feutres nécessaires. Les vitesses de ces machines, dont les largeurs varient de 1,50 m à 8 m, font que l'éventail des qualités de feutres est extrêmement ouvert. Ces tissus techniques, improprement appelés " feutres " puisqu'ils sont tissés et composés d'une chaine et d'une trame, sont établis en laine, en coton, en synthétique, en laine synthétique, en coton synthétique, en coton amiante, etc. Leur poids au mètre carré varie de 450 à 4 000 g ; leur longueur est au minimum de 8 m et au maximum de 80 m ; leur largeur varie de 1,50 m à 8 m. La quasi-totalité de ces feutres est livrée circulaire. Il y a une grande différence entre les feutres de partie humide et les feutres de sécherie. La durée de ces feutres sur machines peut varier dans de grandes proportions suivant les machines et suivant qu'ils sont employés en partie humide ou en sécherie. La durée des feutres habillant la partie humide varie entre 1 et 8 semaines ; ceux qui habillent les différents postes de sécherie ont des durées allant de 3 mois à 2 ans.
On voit donc qu'il s'agit d'une industrie très spécialisée.
Chaque fabrique de feutres pour papeteries est une usine intégrée, c'est-à-dire qu'elle possède ses ateliers de filature, de tissage, de raccommodage, d'épissage et d'apprêts. Les matières premières sont la laine, le coton, l'amiante, les fibres synthétiques. Dans chacune de ces matières premières, la diversité des qualités est très importante. En laine, sont employées principalement celles d'Angleterre, d'Australie, de Nouvelle-Zélande. En fibres synthétiques sont utilisés les polyamides, polyesters, acryliques. D'autre part, toutes les autres fibres synthétiques sont essayées et utilisées au fur et à mesure de leur évolution.
Etant donné l'importance que représente l'habillage en feutres d'une machine à papier, les rapports entre fabricants de feutres et fabricants de papiers sont très étroits, tant sur le plan technique que sur le plan commercial. Les résultats de chacun des feutres utilisés sont suivis par les clients d'une façon très précise en durée, tonnage fabriqué, kilomètres parcourus et sont statistiqués par les ingénieurs papetiers en tonnages de papiers produits par kilo de feutre, ou en prix de revient à la tonne de papier fabriqué. La concurrence de qualité est extrêmement vive étant donné l'importance, pour le fabricant de papier, non seulement de la durée mais des capacités d'égouttage, de non marquage, de séchage, d'économie de vapeur, etc., qui sont demandées à tel ou tel feutre pour tel ou tel poste.
Il existe une révolution technique extrêmement importante dans l'industrie du papier ; elle l'est davantage encore en ce qui concerne les feutres de papeteries : l'emploi de fibres synthétiques dès 1945, les progrès de la chimie (traitements chimiques, polymérisation, vers 1950) et, enfin, les nouvelles techniques de l'aiguilletage et des toiles plastiques, ont bouleversé, bouleversent et bouleverseront les processus de fabrication et les moyens techniques nécessaires.
Cette évolution, qui entraine la fabrication de nouveaux articles, donne un meilleur service à la clientèle, ce qui a pour conséquence une diminution de la consommation de feutre à la tonne de papier produite. L'avenir des fabricants de feutres est donc dans la recherche d'une extension de leurs marchés et dans l'expansion de l'industrie papetière française, européenne et mondiale.
Ce rapide tableau brossé, il est utile de rappeler qu'en France il existe 14 fabricants de feutres. Six firmes sont implantées en Charente, dont cinq dans Angoulême et dans sa proche banlieue :
Bricq et Cie à Montbron,
Debouchaud et Cie à Nersac,
Deschamps et fils à Nersac,
Régnier au Gond-Pontouvre,
Triaud-Cauvain à Bourrisson,
Weiller à Angoulême.
Il est raisonnable de penser que 50 % de la production française est réalisée en Charente.
Certaines sociétés, tant en Charente que sur le plan national, ont une activité autre que les feutres pour papeteries.
L'exportation, peu importante avant la guerre, a pris dès 1948 une certaine importance qui n'a fait que s'accroitre depuis, grâce aux très gros efforts de prospection technico-commerciale réalisée dans ce domaine par la plupart des feutriers charentais. Elle varie, suivant les entreprises, entre 20 et 40 %. Cette exportation n'est pas seulement dirigée vers les pays du Marché commun, mais vers tous les pays d'Europe et certains pays lointains. L'ensemble des six fabricants indiqués ci-dessus emploie un personnel d'environ 1 328 personnes dont 1 087 ouvriers et 241 employés, techniciens, agents de maîtrise et cadres.
Industrie très technique et très spécialisée, elle emploie donc un pourcentage relativement important, et de plus en plus important, d'ouvriers spécialisés, de techniciens, d'ingénieurs textiles, mécaniciens et chimistes. En 1963, la situation de cette profession (dans ces six sociétés) se présente de la façon suivante :
- Évolution technique très grande nécessitant d'importants investissements en matériels nouveaux ;
- Investissements également très importants en hommes pour emplois dans les bureaux de recherches, bureaux d'études et laboratoires ;
- Obligation d'un très grand dynamisme technique et technico-commercial en France et à l'étranger.
Galerie d'images 23

Plan-masse et de situation. Extrait du plan cadastral de 1990, section B, au 1/1000, diminué.
Auteur de l'illustration : Rivoire Aurélie
Plan-masse de l'usine, fourni par l'entreprise, sans date.
Auteur de l'illustration : Rivoire Aurélie
Plan géométrique de l'usine du Gond, vers 1825. A. D. Charente, S 359.
Auteur de l'illustration : Rivoire Aurélie
Plan masse de l'usine (Martinet à cuivre), vers 1825. A. D. Charente, S 359.
Auteur de l'illustration : Rivoire AurélieLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente , Gond-Pontouvre , 150 route de Vars
Milieu d'implantation: en écart
Lieu-dit/quartier: les Greliers
Cadastre: 1990 B 770, 3014
Les bureaux vus du nord-est.

Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Plan-masse et de situation. Extrait du plan cadastral de 1990, section B, au 1/1000, diminué.

Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Plan-masse de l'usine, fourni par l'entreprise, sans date.

Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Plan géométrique de l'usine du Gond, vers 1825. A. D. Charente, S 359.

Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Plan masse de l'usine (Martinet à cuivre), vers 1825. A. D. Charente, S 359.

Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
En-tête d'une lettre de la Société A. et J. Callaud cousins, minotiers au Gond. S.d. (fin XIXe siècle ?). A. D. Charente, S 359.

Rivoire Aurélie
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente
Vestiges d'une roue de type Sagebien.

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Bâtiment de tissage, façade est.

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Bâtiment de tissage vu du nord-est.

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Bâtiment de l'entretien, façade ouest.

Deneyer Marc
(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
Bâtiment de feutrage non tissé.

Deneyer Marc
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Nouveaux bâtiments de tissage vus de l'est.

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Continue à filer, vers 1970.

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Métier à tisser, vers 1948.

Deneyer Marc
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(c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel
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Plan général de l'usine Callaud, s.d..

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Plan général des usines du Gond, 1853.

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Plan de détail, 1826.

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Plan général, 1826.

Deneyer Marc
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Affiche pour maintenir l'usine à cuivre, 1825.

Deneyer Marc
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Bâtiment de tissage, façade sud.

Deneyer Marc
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