Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste-Notre-Dame-des-Infirmes

France > Nouvelle-Aquitaine > Pyrénées-Atlantiques > Eaux-Bonnes

Naissance d'une paroisse thermale

Au 19e siècle, malgré la montée de l'anticléricalisme, l'église demeure un élément fondamental de l'organisation sociale et urbaine, y compris dans les stations de villégiature de bord de mer et de montagne. Rapidement après la construction de l'établissement thermal néoclassique d'Eaux-Bonnes, il est donc décidé d'édifier, dans son environnement immédiat, un lieu de culte catholique. Une première chapelle néoclassique, aux proportions modestes, est alors bâtie par l'ingénieur Cailloux en 1828 pour la somme de 25.000 francs. Cet investissement conséquent démontre bien, dès cette époque, l'ambition affichée par la commune désireuse d'offrir tout le confort et les équipements nécessaires à la vie des villégiateurs. Le site est placé sous le patronage de saint Jean-Baptiste, par référence au culte des eaux qu'il inspire, ainsi qu'à Notre Dame des Infirmes, pour invoquer sa protection des malades.

La nécessité d'un édifice à grande capacité d'accueil

Cette chapelle primitive accueille les curistes jusque sous le Second Empire mais l'affluence de la station est telle que son exigüité impose un agrandissement voire une reconstruction, projetée dès 1859. La commune sollicite pour ce faire l'appui de l’État, en insistant sur le caractère indispensable du projet à l'égard "du bien-être de la colonie étrangère et de la prospérité de la commune", d'autant que le chemin de fer n'atteint pas Eaux-Bonnes. Une nouvelle église, devant accueillir environ 790 fidèles, permettrait donc de palier ce handicap. Pour ces raisons, est envisagé en 1863 un édifice bien plus vaste, dont le projet et l'exécution sont confiés à l'architecte départemental Gustave Lévy, qui intervient régulièrement dans la commune. C'est pour un style néogothique, radicalement opposé à celui de l'édifice précédent, qu'optent les édiles, la fabrique et l'architecte. Ce parti esthétique, répondant mieux au contexte du Concordat, témoigne des exigences de la société et du clergé du 19e siècle, où la référence gothique constitue le style consacré de l'architecture chrétienne, d'autant plus aux yeux des visiteurs anglo-saxons. Selon les principes des grands théoriciens du nationalisme architectural comme Augustus W. Pugin en Grande-Bretagne ou Eugène-E. Viollet-le-Duc en France, le gothique permet en effet un retour aux sources et à l'identité du territoire national.

Première phase chaotique de la construction de l'église néogothique (1864-1869)

La construction de ce nouvel édifice est engagée en 1864 dans un style néogothique obéissant aux conventions de l'architecture sacrée du 19e siècle. Dès le commencement, la marche des travaux est entravée par les plaintes des propriétaires voisins, en l'occurrence M. Loumiet, qui déplore les dommages occasionnés sur sa maison - le futur presbytère - par les fouilles, ainsi que Sophie Tourné, propriétaire de la maison de ce nom, qui rend les travaux responsables du tarissement de la source dont elle jouissait depuis 60 ans. Une partie de la maçonnerie est toutefois exécutée durant cette période, de même que la sculpture des chapiteaux réalisée par le marbrier sculpteur Paulin Battault et son rival François Weiller, dont la mise en concurrence par l'architecte cause une nouvelle affaire administrative. Les conditions du chantier dans cet environnement escarpé et boisé s'avèrent parfois dangereuses, si bien qu'un ouvrier nommé Pareilh est tué par la chute d'une souche le 22 avril 1864, provoquant l'arrêt du chantier pendant une journée, mais surtout la désertion d'une grande partie de la main d’œuvre craignant de nouveaux accidents.

Cette reconstruction permet d'ériger l'édifice en succursale de l'église paroissiale d'Aas par décret impérial du 4 avril 1868, avant même son achèvement. Les travaux sont toutefois interrompus l'année suivante à cause de problèmes financiers et d'un différend avec l'entrepreneur de travaux Courtade, également propriétaire d'un important parc immobilier près de l'église. Ce dernier se plaint dès 1865 de la disparité du projet initial et des plans fournis aux entrepreneurs, ce qui ralentit considérablement son intervention, tandis que l'architecte l'accuse, pour sa part, d'erreurs d'exécution et va jusqu'à ordonner la destruction de plusieurs de ses réalisations. En 1868, la commune s'est alors endettée à hauteur d'un million de francs auprès du Crédit Foncier de France afin de mener à bien le chantier, qui restera cependant suspendu jusqu'en 1876. Elle est toujours dépourvue de lieu de culte décent, ce à quoi le docteur Pidoux remédie en consentant à ce que les messes soient célébrées au sein de l'établissement thermal.

Après de longues démarches administratives, le marché avec Courtade est résilié en 1872 pour être remplacé, à la reprise des travaux, par Victor Grousset, également entrepreneur local. L'ingénieur Turon est, quant à lui, sommé d'effectuer à plusieurs reprises le métré et le décompte des travaux exécutés, alors que diverses expertises continuent d'immobiliser le chantier. D'autres conflits avec les entrepreneurs persistent mais sont définitivement réglés en 1878.

La reprise et l'achèvement du chantier (1876-1884)

Dans le même temps, en 1875, le préfet et la commune approuvent le règlement des travaux en date du 14 juin 1874, le dénommé Courtade souhaitant désormais en "terminer amiablement". Suite à l'issue positive de cette affaire qui a duré plus de cinq ans, Gustave Lévy commande une nouvelle expertise à l'architecte Loupot (qui dessine par la suite le somptueux maître-autel), afin de repartir sur de nouvelles bases. Une fois le chantier relancé en 1876, au même moment que le début de la construction du casino, l'abbé Daguerre, charismatique et apprécié curé de la paroisse, sollicite auprès de la commune un financement de 5.000 francs en vue de la commande d'un maître-autel particulièrement raffiné, auquel il souhaite consacrer 9.000 francs. Il s'engage en contre-partie à obtenir une partie de la somme nécessaire auprès des malades étrangers, mais sa requête est, dans un premier temps, rejetée.

En 1877, Pierre Gabarret, architecte départemental en charge de la maîtrise d’œuvre depuis le début des années 1870, assure le suivi du gros œuvre et commande l'exécution de la cloche auprès du fondeur renommé Ursulin Dencausse établi à Tarbes. La même année, la manufacture du maître verrier Jules-Pierre Mauméjean, installée à Pau, fournit les rosaces des portes latérales et de la tour-clocher. Un an plus tard, c'est, on ne sait pour quelle raison, à un autre maître verrier que s'adresse Gabarret en commandant à l'artisan clermontois Louis Chastain les verrières de l'abside. Ces trois verrières doivent les éloges prononcées par la presse locale probablement au statut de leurs mécènes, le prince Michel Stourdza (1794-1884), ancien prince régnant de Moldavie, et sa seconde épouse la princesse Smaragda. Les vitraux de la nef, dus à l'artisan bordelais Gustave Pierre Dagrand, ont été réalisés en 1881. Le perron et la balustrade relevant de l'aménagement du parvis de l'église sont, quant à eux, exécutés entre 1878 et 1879. Le chauffage central, prévu dès l'origine du chantier, est fourni par l'entreprise anglaise Calorifères Gurney, succursale de Paris, dont les travaux furent présentés à l'Exposition universelle de 1878 (sans grand succès, car son système provoquait de fortes vapeurs mal adaptées aux milieux humides - et sans doute à l'église d'Eaux-Bonnes).

Malgré la reprise du chantier, les difficultés financières de la Fabrique et de la commune se succèdent, notamment lors du paiement de l'achèvement des tourelles, du beffroi et de la tribune en 1880 ou du règlement de la facture de Dencausse en 1881. Les cloches sont par la suite refondues entre 1890 et 1892 par le même artisan, qui accepte par ailleurs de graver gratuitement les inscriptions d'usage. Outre le financement de la commune et de la Fabrique, l'église bénéficie également des dons en nature de la famille Moreau-Nélaton, dont le père - Adolphe Moreau - avait partiellement financé l'aménagement de la Promenade Horizontale. Son épouse, sa belle-fille et son petit-fils, membre de l'Académie des Beaux-arts, offrirent successivement à la ville plusieurs tableaux religieux (une réplique agrandie de La Vierge consolatrice des affligés conservée à l'église Saint-Denis-du-Saint-Sacrement à Paris, une copie de La Visitation de Raphaël alors conservée au Louvre), du mobilier liturgique (un calice en argent, six chandeliers, une vierge en argent, ainsi qu'une vierge de l'Ave Maria encore placée sur l'autel du Mont-Carmel) et commandèrent directement l'autel Saint-Étienne installé dans l'un des bas-côtés. Pour ses généreuses actions envers la communauté, le conseil municipal va jusqu'à baptiser le parvis d'après le nom de cette famille en 1878, devenue l'une des plus importantes donatrices de collections muséales à l'attention de l’État français.

L'église et le maître-autel sont finalement consacrés lors d'une cérémonie fastueuse donnée le jour de l'Ascension, le 29 mai 1884, en présence de monseigneur Ducellier, évêque de Bayonne, mais aussi du grand vicaire Lasserre, du chanoine maître des cérémonies Salefranque, du chanoine honoraire archiprêtre Conderanne et des prêtres anciens et en fonction des paroisses de la région (Laruns, Aas, Louvie-Soubiron, les Eaux-Chaudes, Bétharram, Oloron). La présence du clergé régional et d'une foule de curistes montre à quel point cette consécration fut un évènement de premier ordre dans la vie thermale et religieuse pyrénéenne. Les reliques et le procès-verbal de la consécration, placés dans une boîte portant le sceau épiscopal, furent entreposés dans l'établissement thermal, un lieu "propre et décent" avant la cérémonie. Les douze croix d'or sur fond bleu disséminées sur les piliers furent exécutées à l'occasion de cette cérémonie et sont destinées à en demeurer un témoignage symbolique.

Remaniements ponctuels après la Première Guerre mondiale

Désormais achevée, l'église n'en était pas moins exposée aux contraintes de son environnement spectaculaire. Des travaux, placés sous le contrôle du conservateur des Forêts, sont engagés en 1891 pour la préserver des éboulements de la raillère la surplombant ainsi que d'éventuelles chutes d'arbres. L'édifice fut également victime de malveillance, comme en 1898 où furent dérobés l'ostensoir, estimé à 350 francs, et le ciboire, évalué à 2.000 francs.

La splendeur de l'édifice n'empêcha pas, toutefois, durant l'entre-deux-guerres, l'intervention du céramiste biarrot Édouard Cazaux, qui dota la nef d'un original chemin de croix en faïence et ornementa le chœur d'un somptueux décor de céramique polychrome de style Art Déco, venu dissimuler les peintures murales néogothiques originelles. Diverses opérations d'entretien, notamment de la couverture, sont réalisées durant les Trente Glorieuses, sans altérer la physionomie d'ensemble de l'édifice, hormis par la dépose de la flèche. La fréquentation de l'édifice s'est fortement tarie avec la décroissance de l'affluence de visiteurs dans la station à partir des années 1970.

Périodes

Principale : 2e quart 19e siècle

Principale : 3e quart 19e siècle

Principale : 4e quart 19e siècle

Principale : 2e quart 20e siècle

Dates

1828, daté par source

1864, daté par source

1873, daté par source

1884, daté par source

Auteurs Auteur : Lévy Gustave

Architecte départemental des Basses-Pyrénées, en poste entre 1856 et 1879. Il travailla notamment pour les églises de : Garlin (reconstruction, 1856-1864), Rontignon (achèvement, 1857-1861), Arzacq (construction, 1857-1868), Eaux-Bonnes (temple protestant, thermes, mairie, écoles..., 1857-1861), Aubertin (construction, 1859-1867), Bougarber (clocher, 1861-1868), Bilhères (agrandissement, 1863-1867), Eaux-Bonnes (église, 1862-1869), Saint-Palais (deux projets de construction refusés, 1863 et 1864), Lamayou (construction, 1864-1876), Maucor (reconstruction, avant 1867), Beuste (construction, 1864-1869), Bordes (construction, 1864 puis 1872-1885), Saint-Faust (construction, 1866-1867), Arbus (reconstruction, 1867-1868), Portet (reconstruction, 1867-1870), Abère (projet de reconstruction non exécuté, 1868), Ponsons-Dessus (construction, vers 1868), Saint-Vincent (projet de construction d'un clocher, non exécuté, 1868), Soumoulou (projet de construction non exécuté, 1870), Boeil-Bezing (reconstruction, 1871), Arrien (projet de reconstruction non exécuté, 1872), Esquiule (reconstruction, 1874-1879).

Plusieurs travaux et équipements importants lui sont attribués à Pau : réaménagement de l'ancien asile d'aliénés départemental et construction d'un nouveau (Saint-Luc, 1865-68) ; hôtel de ville-théâtre (1862) ; prison départementale (1863) ; Grand Hôtel (1862)...

, architecte départemental (attribution par source)
Auteur : Gabarret Pierre

Architecte communal des Eaux-Bonnes dans les années 1870-1880.

, architecte communal (attribution par source)
Auteur : Cailloux Pierre Raymond

Actif dans les Basses-Pyrénées, notamment aux Eaux-Bonnes et aux Eaux-Chaudes, dans la seconde moitié du 19e siècle.

, ingénieur (attribution par source)
Auteur : Laplace Jacques, carrier (attribution par source)
Auteur : Battault Paulin

En activité aux Eaux-Bonnes en 1866.

, sculpteur (attribution par source)
Auteur : Courtade, entrepreneur (attribution par source)
Auteur : Turon Jules

Conducteur de travaux, actif dans la seconde moitié du XIXe siècle aux Eaux-Bonnes et aux Eaux-Chaudes.

, conducteur de travaux (attribution par source)
Auteur : Weiller François

Actif aux Eaux-Bonnes en 1866.

, sculpteur (attribution par source)
Auteur : Grousset Victor

Entrepreneur de travaux aux Eaux-Bonnes dans les années 1870.

, entrepreneur (attribution par source)

La chapelle néoclassique : l'enseigne thermale

La première chapelle relevait du style néoclassique, habituel dans les stations sanitaires afin de revêtir le caractère thermal et de constituer un ensemble cohérent avec l'établissement thermal voisin. En effet, les thermes, contraints d'être implantés au pied de la montagne de la Butte au Trésor où se trouve la Source Vieille, présentaient leur façade principale en parallèle du chemin d'accès, si bien que seul le lieu de culte, situé face à la route au pied d'une autre montagne, pouvait signaler, dans les dispositions urbaines, la présence de l'établissement.

Cette première chapelle, aux proportions modestes, se composait d'un plan en croix byzantine et d'une élévation principale, devenue emblématique pour les visiteurs et maintes fois représentée par les artistes en villégiature. Ces derniers mettaient fréquemment en scène son entrée dominée par un fronton triangulaire, un arc en plein-cintre percé d'une baie transparente et surmontée d'un clocheton, caractéristiques de l'architecture du 17e siècle dont elle s'inspirait. Cette homogénéité urbaine et cette fonction communicative au service de l'activité thermale sont rompues avec le profond remaniement de l'édifice.

L'église néogothique : plan et élévations

L'église d'Eaux-Bonnes, dans sa physionomie actuelle, résulte des conventions habituelles de l'architecture sacrée de la seconde moitié du 19e siècle, en application des principes rationalistes et nationalistes plébiscités par Viollet-le-Duc et l'école diocésaine. Implantée sur la première chapelle détruite, dont elle conserve certains vestiges, elle se fonde sur un vaisseau rectangulaire achevé par une abside à cinq pans. La nef est dotée de bas-côtés surmontés d'une série d'arc-boutants soutenant les hautes voûtes d'ogives et la charpente de la nef. Malgré un respect maximal des conventions liturgiques, l'église ne put en revanche être orientée en raison des contraintes topographiques et de l'environnement bâti existant. Elle est de surcroît implantée au-dessus du cours d'eau de la Sourde, dont le lit a été ménagé dans un canal souterrain.

La façade est composée de trois travées et dominée par une tour-clocher. Le portail d'entrée, établi dans la travée centrale, est surmonté d'un tympan avec arc en ogive percé d'un oculus quadrilobé orné d'un vitrail. Les deux travées latérales sont, quant à elles, dotées de portes également surmontées de tympans gothiques percés d'oculus circulaires garnis de verrières. Une rosace se dresse au niveau des tribunes, tandis que le clocher, point de mire saisissant depuis le bout du chemin et signal du centre de l'activité urbaine, surplombe l'ensemble, renforcé par deux tourelles en poivrière et des arcs-boutants. Les élévations latérales composées de six travées délimitées par les arcs-boutants sont dotées de baies en ogives aux niveaux des bas-côtés et des tribunes.

A l'intérieur, le vaisseau de la nef est séparé des bas-côtés par une arcature néogothique tandis que la tour du clocher accueille un porche dans-œuvre et une tribune voûtée protégée par un garde-corps, lui-même ajouré d'arcs trilobés typiques de l'architecture néogothique. Dans le chœur, les trois murs de parement centraux de la voûte d'ogives à cinq quartiers sont percés de baies en ogive où s'insèrent des vitraux, alors que ceux en position latérale sont aveugles.

L'utilisation de matériaux traditionnels et modernes

En ce qui concerne les matériaux, la pierre de taille d'Arudy est fournie par le carrier Laplace, alors que les moellons sont prélevés dans la toute proche promenade de l'Impératrice. Les mémoires de travaux signalent en outre l'emploi de tuf pour la maçonnerie des voûtes, du bois de sapin et de chêne pour les charpentes, l'utilisation de pavés de marbre taillés à la boucharde pour le passage central de la nef, le porche et le perron, ainsi que des parquets en chêne. A l'instar de l'ensemble des constructions d'Eaux-Bonnes et de la vallée d'Ossau, le maître d’œuvre opte pour une couverture en ardoises pyrénéennes, ayant l'avantage d'être un produit de proximité, relevant de surcroît de l'architecture vernaculaire.

Des matériaux modernes dont l'usage se développe fortement sous le Second Empire et la Troisième République sont également utilisés, tels le ciment pour le jointoiement, le béton pour la terrasse du clocher, mais aussi des agrafes de fer dans la charpente du sanctuaire, et du gros fer pour les chaînages. Des aqueducs souterrains sont de plus réalisés à l'arrière de l'église pour faciliter l'écoulement des eaux omniprésentes dans ce flanc de montagne. L'édifice est en outre doté dès l'origine d'un chauffage central dont les bouches sont fermées par des grilles en fonte.

L'histoire de la construction démontre en somme que ce chantier s'inscrit pleinement dans ce moment de transition entre techniques traditionnelles et innovation matérielle et technologique qu'instaure la seconde moitié du 19e siècle.

Murs
  1. Matériau du gros oeuvre : pierre

    Mise en oeuvre : pierre de taille

  2. Mise en oeuvre : moellon

    Revêtement : enduit

  3. Matériau du gros oeuvre : tuf

  4. Matériau du gros oeuvre : fer

  5. Matériau du gros oeuvre : bois

Toits
  1. ardoise
Plans

plan allongé

Étages

3 vaisseaux

Couvrements
  1. voûte d'ogives
Couvertures
  1. Forme de la couverture : toit à longs pans

  2. Forme de la couverture : toit en pavillon

Décors/Technique
  1. peinture (étudié)
  2. sculpture (étudié)
  3. vitrail (étudié)

Localisation

Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Pyrénées-Atlantiques , Eaux-Bonnes , place de l' Église

Milieu d'implantation: en village

Cadastre: 2018 AN 158

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